Ophélie parvient de justesse à convaincre Sam de ne pas céder lui aussi aux sirènes du suicide. Rapportant le corps de la créature au laboratoire, elle confronte le jeune homme sur l’acte qu’il a failli commettre, sur sa dépression latente et sur son indifférence à son égard.

Tandis que leur dispute les amène à des propos impardonnables, un craquement les interrompt soudain. Le corps de la créature semble animé d’un étrange phénomène. Ophélie, entomologiste, est la première à comprendre : la créature n’est pas morte ; elle se métamorphose.