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Sophie et Méli sont parties en fin d’après-midi après avoir passé leur temps à dormir et à s’adonner à des activités de découvertes mutuelles. Quand on leur demandait de baisser d’un ton, Méli nous répliquait qu’elles avaient besoin de faire connaissance avant de passer le plus clair de journées ensemble.

De notre côté, nous avons vainement cherché à repérer les quatre zigotos manquants. Philippe André était toujours à oilpé dans sa chambrette sans vue. Il avait quand même eu droit à de l’eau et un casse dalle.

Avant de partir, Sophie a tenu à lui dire adieu en compagnie de Steph. Il semblerait que de voir sa chère et tendre en train de bouffer le minou de notre collègue ait beaucoup excité monsieur le directeur. Par contre, quand Fred est venu pour s’occuper des deux gougnottes, il a un peu baissé pavillon. Mais il n’a pas moufté.

Quand elle a eu fini sa partie de radada, elle s’est gentiment dirigée vers lui pour lui dire au revoir. D’après Steph, elle s’est montrée grande princesse.

Debout, entièrement nue, du foutre qui lui tapissait les roploplos, elle l’a même remercié.

- Tu vois mon chéri, finalement, je dois te dire merci. Depuis que tu as essayé de me faire tuer, j’ai rencontré des gens extraordinaires. En deux jours, j’ai avalé plus de sperme que dans toute ma vie de femmes, j’ai découvert la sodomie en même temps que la double pénétration. J’ai aimé me faire déguster le minou par une femme et j’ai adoré le faire moi aussi. Je te dois tout cela, donc ce serait incorrect de ma part de ne pas faire un geste pour te remercier.

Elle s’est accroupie et a commencé à lui branlé la nouille.

- Il ne sera pas dit que je ne suis pas une épouse reconnaissante des largesses de son mari. Et puis comme cela, tu auras un souvenir de moi.

Bien qu’il ait été visiblement choqué par ‘ de sa femme se faisant ramoner le derche, Philippe André a repris forme humaine entre les doigts de Sophie. Il gémissait de bonheur. Si bien que quand il a été à deux doigts de lâcher la purée, il a râlé que celle-ci stoppe brusquement la branlette et se relève. Il ne devait pas s’attendre à la suite.

Sophie André, sa tendre épouse, lui a envoyé un grand coup de savate dans les roustons. Fred en a eu mal pour lui parait-il. Il en est tombé dans les vaps le grand caïd.

C’est vers vingt et une heures que Steph a reçut le message. En provenance du portable de Méli. Nous avons d’abord cru qu’elle nous prévenait d’une pause sur la route du chalet.

Le message en lui-même n’avais rien de très intéressant, de simples coordonnées GPS. La photo était beaucoup plus inquiétante.

Elle montrait Sophie et Méli à genoux dans ce qui ressemblait à une forêt. Entièrement nues toutes les deux. Pas que ce soit désagréable à lorgner, mais on voyait bien que quelqu’un avait prit cette photo sans leur consentement. Et puis le visage des deux beautés ne semblait pas indiquer un futur très joyeux.

La confirmation de nos craintes est arrivée quelques secondes plus tard.

« On va un peu s’amuser avec les dames en vous attendant. »

Et un autre encore.

« N’oubliez pas le patron »

Au moins, c’était clair. On a chargé une bagnole, on a collé le « patron » dans le coffre et on a foncé.

Trois heures plus tard, nous étions sur place, remontés comme des réveils, mais surtout, équipés comme des chars d’assaut. Enfin Steph et Fred. Gilets par balles, lunettes de vison nocturne, fusils d’assaut équipé de lunette. Tous les deux habillés de noir. Steph est partie sur la droite du point de rendez-vous, Fred à gauche.

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