Chapitre Onze : Qui a raison ?

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Chapitre Onze : Qui a raison ?


Marianne fut agressé dans sa maison par des hommes cagoulés. Ils essayèrent de me violer !

Je me défendis. Je perdu connaissance.

Je me retrouva dans un bureau Allemand, avec deux hommes costauds.

« Ou suis-je ? »

« Serais-ce vous la lanceuse d’alerte ? Contre les actes antisémites ? »

« Oui pourquoi ? »

Pendant ce temps, une guerre gronda entre l’Allemagne et la France. La troisième guerre mondiale venait de commencer !

Killyan s’était enfui tel un lâche, un traître sans courage.

Je pensais faire bien, j’étais prisonnier de ces gars Allemands.

« Qui a déclarer la guerre ? »

« Les juifs se cachent, on essaye de les rassembler ; on a des camps de concentrations à Auschwitz ! »

« C’est vous ! »

« Non Killyan. »

« Qui sont les instigateurs ? »

« L’Allemagne évidemment. Nous avons tué la chancelière, y a quelque jours, et Clair Patrobe est monté au pouvoir. »

« Clair ? »

« Oui une dictatrice, son partie … nommé … Pour un retour hitlerien ! »

« Vous faites pitié ! »

« Tuez là ! »

Et là je tombais doucement au sol tel un choc, j’avais reçu des vingtaine de balles partout de la tête aux pieds.

Des articles de journaux circulaient autour de moi dans le monde entier.

« Qu’avais-je fait pour mériter cela ? Tout espoir semblait pourtant revenir … Je croyais … Mais croire ... »

Chloé fut choquée.

Elle contacta mes ancien élèves, on me rendit hommage partout en France.

La guerre continua, l’Allemagne détruisit la France et les Juifs.

Y avait t-il encore espoirs ou tout semblait perdu d’avance ?

Frank Kidiar traita l’Allemagne de mensonges et manipulations sociétal et presse journalistiques française !

La mort de Marianne le perturba, lui qu’avait peu de sympathie auprès de cette femmes pleines de valeurs !

« C’était une femme brillante. »

Les étudiants firent une marche en plein Paris, malgré la guerre ; La philosophie, les valeurs de cette Femme rassembla pour tous ce qui l’avaient jadis connu !

« Un philosophe ne sait que philosopher que si il meure, dans l’esprit des gens une vie a peu d’importance mais pas pour moi. Je leurs apprendrai la voie de la justice pour qu’ils apprennent de leurs erreurs. » Dit Gérard, un élève dont j’avais su lui apprendre l’écoute des autres et la communication.

Le président Guillaume fit un discours politico-philosophique en hommage à Marianne.

« Cher peuple Français, nous sommes en guerre par des gens de la haine. Cette femme que vous avez de vos mains tués, pour ses valeurs qu’elle défends et défendait. Elle avait des luttes justes, vous avez manipulé nos médias comme ceux du monde entier pour déclencher une guerre raciste, religieuse et virulentes ! Vous voyez notre colère ! On apprit en chacun ayant sa propre philosophie, qu’il faut vivre et garder espoir ! Que l’espoir est ce qu’il y a de plus puissant dans le monde ! »

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