Chapitre Neuf : Interpol

Je me releva des cendres tel un phœnix.

Je me rendis à l’école pour me former.

Aujourd’hui, leçon de guerre par Bénédicte Aroland.

« Vous êtes en retard madame ! »

« Je sais, veuillez m’excuser. »

Des gars d’Interpol arrivèrent.

« Garde à vous ! » autoritairement Bénédicte.

« Je suis Jim Loogard, d’Interpol, réputé bon attrapeur de proies. Qui est Marianne s’il vous plaît ? »

« C’est moi. »

« Approchez vous et regardez nous. »

Je m’avança avec angoisse et doute.

« Quelle est votre philosophie ? »

« Réussir. »

« Venez avec nous, on va chopper ces Allemands du métro. »

Je me rendis dans un centre très sécurisé d’Interpol.

Je rencontra le directeur Konoé afridou.

« Le problème est claire, nous avons trente trois Allemands dangereux en fuite et recherchés dans notre pays. »

« Voici Marianne Chef. »

« Donnez moi ce dossier. »

Il lu et s’aperçut de mes origines juives.

« Ou avez vous eu ces dossiers ? »

« Je veux pas le révéler. »

« Soyez honnête ! »

« Chez mon grand-père, qui n’est plus de ce monde. »

« Professeur de philosophie, intéressant. »

« Je peux ... »

« Buvez tenez ... »

« C’est quoi ? »

« Du thé, ça remonte le morale non ? Vous m’avez l’air timide. »

« Je défends des valeurs morales, et je suis contre la haine religieuse et en générale. »

« Bon votre mission a échoué, on pourrait vous renvoyer … Vous n’avez pas peur ? »

« Qu’est ce que la peur si on la prend pas avec philosophie ? »

« Vous n’avez pas les compétences nécessaires. »

« Chef ! On a trouvé les Allemands, ils agressent des femmes dans un supermarché. »

« Marianne, agissez, levez vous et allez y, foncez ! »

« Oui oui … j’agis je réagis. »

Avec une troupe de soldats, on se rendit au supermarché.

Les Allemands nous injuriaient. Ils menacèrent la clientèle avec leurs armes à feux.

« Ein Hitler ! Juifs à mort ! »

Le chef Allemand, se dévoila et parla couramment français.

« C’est toi la Juive. »

« Comment savez … vous ? »

« C’est moi qu’est tué ton père. »

« C’était un piège. »

« Bien vue petite. »

« Qui êtes vous ? »

« On me nomme Killyan ! »

Il pointa l’arme contre moi.

« Si tu bouges, tu meurs. Dis à tes interpol c’est ça ? De nous laisser partir. »

« Ils ont volés tout. » Dit la commerçante en pleure.

« Qu’est ce qu’on fait ? » Dit un soldat.

J’avais envie de donner une leçon à ces Allemands.

« La haine contre les juifs s’appelle l’antisémitisme, pourquoi déclarer des guerres à ceux qui n’ont rien faits ? »

« Une leçon, d’accord ... »

« Tirez lui dessus. » Dit un Allemand.

Ça dégénérait, je couru me cacher. Le chef essaya de neutraliser Interpol.

Des hélicoptères policiers arrivèrent, les journalistes s’en mêlèrent.

Frank était sur le plateau BFM TV.

« Je n’approuve pas ces méthodes policières. »

« D’après nos informations, Marianne est là, cause juive ou coup de com ? »

« Coup de com, évidence. »

« Qu’en pensez-vous Yohan Duhamel ? »

« La politique fait bien son travail, cette dispute n’est qu’un théâtre. »

« Vous avez raison. » Dit Frank Kidiar.

Dans le supermarché, tout fut dévalisé, des juives tuées.

Marianne affronta Killyan.

Les Hommes d’Interpol tombaient tels des dominos.

Il était minuit.

Marianne se cacha. Killyan la menaça.

« Je te retrouverai. »

Les policiers apprirent la mort de cinquante hommes d’Interpol.

« Ils sont entraînés, c’est évident. » Dit Chloé.

Je me rendis chez Chloé avec ses amies.

« Ne te montre plus nulle part. » Me conseilla t-elle.

« Merci Chloé. »

Le gouvernement Allemand réagissait aux informations.

« La France a envoyé des déséquilibrés qui veulent une guerre mondiale. »

« Connard de politiciens ! » colérique Chloé.

« On nous cache des choses. » Continua Marianne.

« C’est sûre. »

« Allons dormir, Marianne, Killyan veut ta peau. Tu travailleras ici demain. »

« Je comprends. »