Chapitre Huit : Bonnes conduites

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Chapitre Huit : Bonnes conduites

On fut en 2029, le président de la république fit ses meilleurs vœux comme à son habitude.

J’arrivai à l’accueil de l’école policière.

Chloé me souhaita bonne année et bonne chance.

Un professeur nommé André Riquin, assez charismatique et beau m’amena dans la salle principale.

« On va commencer par les gestes de bonnes conduites, je suis André. Je ne veux aucune dispute entre vous, on doit s’entraider ! »

Après une heure de cours, Chloé me convoqua.

« J’ai une mission spéciale, tu vas jonglé entre cours et défendre les juifs. Ça te tenait à coeur non ? »

« évidemment ! Merci. »

Ma mission commença. Je revis le groupe de l’autre jour, jouaient au basket.

« Merci ! » Dit Gabin.

« La vie est un éternel apprentissage, le courage c’est d’avoué la vérité ... »

« Vous voulez jouer ? »

« Pourquoi pas ? »

Je jouais avec eux, Gabin avait l’air heureux.

La politique parla d’antisémitisme, ça a fait un couac !

Je m’occupa de ma mission.

J’avais une liste de noms que m’avaient laissé grand-père et Chloé.

Il y avait parmi eux, un politique nommé Pascal Netvith.

Il habitait près de l’Élysée.

Je l’interrogeai.

« J’ai été agressé vingt fois en trois ans. »

« D’accord. »

« Toujours au même endroit. »

« Où ? »

« Au métro. »

« Effectivement, ça pose problème. Le même groupe ? »

« Non, des étrangers souvent, on m’a volé mon téléphone aussi une fois. »

« Je vais vous garder sous surveillance quelques temps. »

« Merci madame. »

Il me fit rougir. Il avait cinquante quatre ans.

Je fis intervenir des collègues pour défendre Pascal.

Ce jour-là on se rendit au métro.

Un groupe allemand s’approcha et crièrent « Ein Hitler ! »

Je compris que ça allait dégénérer !

Ils commencèrent à frapper des passants et certains allèrent vers Marianne.

Ils étaient une trentaine.

Ce fut la bagarre générale dans le métro.

Pascal essaya de s’enfuir au toilette mais un de ces gars le bloqua et le violenta, des baffes violentes … des coups de pieds.

Je perdis connaissance.

Ma mission avait échoué.

Les gars tuèrent Pascal.

Chloé essaya de me contacter.

Je releva la tête, j’étais sur un brancard.

« Ou suis-je ? »

« à l’Hôpital Madame, vous avez perdu connaissance ! »

« Mais ... »

Tous les élèves policiers et l’équipe furent présent et m’applaudirent.

Chloé s’avança.

« J’ai essayé de te contacter, ce fut trop tard. »

« Merci du soutien ! »

« Tu as de l’audace ! »

André m’offrit un livre sur les juifs.

« Nous savons ou est ton domaine, fonce, c’était ton rêve. Arrête les pour nous ! Ces anti-religieux … L’antisémitisme ne devrait pas exister ! »

Le groupe que j’avais réussi à gracier était là.

« Madame, vous avez des valeurs, vous représentez la future société, l’avenir. »

« Merci ! Ça me touche, je suis jeune. »

« Vous avez … ? »

« Vingt-six ans … vingt-sept, cette année ! »

« Bon, on va reprendre notre travail. Soigne toi bien. »

Trois jours qui suivirent, je me sentis mieux.

Je comptais retrouver ceux qui ont réussi à tué Pascal.

À l’aide de l’école et le poste, je fus très déterminée, j’irais au bout de cela pour la vie de Pascal.

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