Chapitre Sept : Le premier jugement

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Chapitre Sept : Le premier jugement

Deux mois s’étaient écoulés. Chloé me félicita pour avoir arrêter ces individus.

Je me rendis au tribunal, toujours les mêmes personne et avocats.

Tout le monde se disait « Bonjour » et se serrent la main.

Le groupe que j’avais interpellé arriva avec un avocat.

Le procès démarra, le groupe se défendit. L’octogénaire était là et les écouta.

« Oui nous avons agressé ce vieux. »

La présidente posa des questions gênantes.

« Pourquoi un ... »

« Il est juif, on hait les juifs dans le monde ! »

« La haine n’est pas un moyen de défense ! » Riposta l’avocat du sénior.

La défense du groupe fut faible.

« Ils sont jeune, c’est une erreur. On peut haïr les juifs mais ils le referont plus ! »

« ça manque de ... » Dit la présidente.

Chloé me soutenu, on était assisse l’une à côté de l’autre.

Je me leva et donna une morale venant du coeur !

« Ce groupe a du courage, faites les grâcier, ils sont honnêtes ... »

« Que fais tu ? » Dit Chloé surprise.

« J’improvise. » Murmurai-je.

« Je continue, le courage c’est affronter sa peur, affronter nos erreurs, apprendre de nos fautes. »

Tous les gens de la salle applaudirent sauf la présidente.

« Vous êtes avocate ? »

« Non, j’étais enseignante de philosophie ! »

« Vous devriez vous taire ! »

Les avocats prirent ma défense.

« Graciez-les »

« Bon, vu l’accord de tous, pas de prison. C’était prévu cinq ans de prison de dix mille euro d’amandes. »

Les onze individus furent sauvés. Ils me remercièrent et sourirent.

« Vous serez sauvé une fois, pas deux. » Prévint Marianne.

La nuit tomba sur Paris.

On était noël. Je rencontra toute ma famille.

On parlait de grand-père, mes parents étaient indisponible sinon y avait mes cousins, mes beaux-frères …

« Grand-père ... » Pensais-je.

« ça va Marianne ? » Dit mon grand cousin Ryan.

« Oui. »

« On a vu le débat contre Frank y a deux mois et demi ... »

« Et alors ? »

« Quelle défense remarquable. Impose toi. »

« Merci ! »

Je révéla à Ryan les dossiers secrets de mon grand-père.

« Je savais qu’on était juif. »

« Tu savais ! Pourquoi me l’a t-on cacher ? »

« Pour éviter les conflits entre les gens, tu as une valeur importante dans la société actuelle. Des juifs meurent tous les jours. »

« Tu le dis à personne ? »

« Toute la famille le sait, ou as tu pris ces putains de dossiers ? »

« Chez mon grand-père. »

« Fais gaffe à toi, c’est tout. »

Les enfants ouvrirent leurs cadeaux.

Je reçu une lettre, je lisais. J’avais fait trois fautes, j’étais prise en tant que policière.

Ryan me félicita.

Les enfants jouèrent avec leurs tablettes.

Je me mis à écrire un nouvel essai philosophique sur l’avenir et le devenir de l’être humain.

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