Chapitre Six : Les secrets de grand-père

Je trouva des photo de juifs menacés de morts encore aujourd’hui.

« Je dois tout faire pour rentrer à la police rapidement.»

J’allai rejoindre Chloé.

« J’ai du travail. Non tu n’es pas encore policière.»

« Juste un essai d’un mois.»

« C’est illégal.»

« Je veux faire mes preuves.»

« Tu es ambitieuse. Bon d’accord mais ne dis rien à personne.»

« Promis.»

« Tu veux commencer par où ?»

« J’ai ces dossiers.»

« Mais … ce sont des dossiers confidentiels. Comment les as tu eu ?»

« C’est mon secret aussi.»

« Bon débrouille toi, je dois m’occuper d’un cas là.»

« Je pris le cas d’un octogénaire nommé Evan.»

Je le contactais.

« Qui êtes vous ?»

« Je sais que vous êtes menacés de morts par un groupe secret, je suis policière.»

« D’accord ...»

« Je vais vous protéger durant un temps indéterminé avec d’autres.»

« Des attaques j’en subis tous les jours, vous savez ...»

« Oui mais ...»

Il avait raccroché au nez.

Je me rendis chez lui en urgence.

Un groupe d’antisémite l’observa au même moment derrière des arbres.

J’arrivai sur le lieu.

Le groupe se dévoila et m’agressa !

Je me défendis, un avait un pistolet.

Le groupe me mis à genoux.

« Tu es de la police meuf ! »

« ça se voit pas ? j’ai l’habit. »

« Achevez là ! »

Ils donnèrent des coups de pieds.

« Entre les jambes » Ajouta leur chef.

Ils étaient une dizaine, j’avais des bleus … je souffrais.

« C’est bon, on va tuer le vieux, les juifs ne doivent pas dominer ce monde ! »

Je me releva doucement.

Le vieux assez téméraire les entendirent casser la porte, il se cacha derrière l’une d’elle avec son fusil.

« Allez viens nous affronter, on va juste arracher ta tête de juif ! »

Je couru vers la maison de l’octogénaire rapidement.

Je pris mon pistolet électrique, j’en électrocuta six sur onze.

Le chef assez malin ouvrit la porte de la cuisine cependant, le vieux lui lança des casseroles. Il s’évanouit.

« Vous êtes tous en état d’arrestation ! » cria victoire Marianne.

Le vieux la remercia et donna un petit cadeau, un badge.

« Merci à vous. »

« Ce n’est qu’un geste, ils sont pas cool les jeunes de nos jours ... »

Je rentra au poste avec les onze jeunes stupéfiaient par ma réactivité.

« Pourquoi tuer les juifs ? »

« Je m’appelle Gabin, je les hais. Ce sont des voleurs de notre système ! »

« Vous vous trompez … Je veux juste comprendre votre geste et vos intentions. J’étais professeur de philosophie, j’ai plusieurs cordes à mon arc. »

« On préfère être jugé que ... »

« Vous préférez la prison ? »

« Gabin, ne sois pas naïf. » Dit le chef assez gêné.

« Réfléchissez à vos actes, dans un de mes dossiers. Vous vouliez tuer à plusieurs reprises des juifs … Vous avez ? »

« On a tous entre vingt et quarante ans. »

« Vos actes sont répréhensible par la loi. Donc condamnable. »

Le chef dit avec un courage ceci :

« On préfère être jugé et payé, on veut pas de seconde chance ! »

« Je note ça. »

Les jours passèrent et je dénichai des secrets profonds de grand-père dans ses dossiers.

« Protéger ces gens, c’est notre famille. À la base, nous sommes une famille juive. »

Je fus choqué. Moi juive sans le savoir ?

Mes origines furent au final bien cachés.

J’appris cela comme un coup d’éclat, y avait un arbre générationnel, toute ma famille était juive, on me le cachait, pourquoi ? Pour me protéger des menaces actuelles et jadis ?