Chapitre trois : l'état se défend

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chapitre Trois : L’état se défend


Après ce débat assez musclé et qui divisait les élus.

Le premier ministre Orland Dopen se défendit devant des milliers de téléspectateurs.

« Cher peuple, je souhaite éteindre le feu. Nous défendons les juifs, nous avons appris de l’histoire. Nous ne mentons pas, en aucun cas. L’antisémitisme doit être détruit.

Nous condamnerons les agressions et criminels qui salissent notre république sous tensions sociales. Nous réagirons a chaque actes de gens dépravés ! »

Marianne avait écouté et ne fut pas convaincue.

Elle se rendit au commissariat.

Elle discuta avec André, un homme âgé de trente cinq ans et assez imposant, obèse.

« Pour te répondre Marianne, l’état se défends mais nous ment. Ils font tout pour dissimuler des chose pour une guerre civile voire des crimes prémédités. »

« J’avais bien raison, ce sont que des paroles pour endormir le peuple. »

« Katia va bien ... »

La cheffe de service Chloé Pergan donna une feuille à Marianne.

« J’ai réussi le test sportif. »

« Oui de quelques secondes, la culture générale, tu t’en sors ? »

« Un peu. »

« On peut pas te pistonner, c’est dans le mental. On veut bien être gentil, tout se fait par concours. »

« Et l’école de police ? »

« Juste à deux kilomètres d’ici. »

« Merci. »

« Je peux te faire visiter en attendant. »

Marianne et Chloé visitèrent l’école.

« Voilà comment on forme nos futurs policiers. »

« Y a du travail. »

« En effet. »

« Nous avons une dizaine de classes et une quarantaine de professeurs. »

« J’étais enseignante philosophique. »

« Vous aurez votre place, j’en suis certaine. »

« Tu dois faire respecter les valeurs de notre société. »

Deux semaines passèrent, Marianne révisa sa culture générale.

Elle travailla dure.

Pas de temps de pauses.

L’affaire sur Katia progressa.

Marianne se perfectionna dans le domaine de l’antisémitisme.

Cette nuit là, elle fit un horrible cauchemar.

Katia se faisait tuer par des fous sous les yeux de Marianne.

« Non ! » Cria Marianne.

Celle-ci sursauta et rapidement s’habilla.

Elle prit son téléphone et envoya un message à Katia pour la rassurer.

Le jour qui suivit, le gendarme Louise de belfort entra chez Marianne.

« Que voulez vous ?»

« Nous devons faire un état des lieux.»

« Que se passe t-il ?»

« Vous pensiez devenir policière, est ce exact ?»

« Oui pourquoi ?»

« Nous devons passer l’éponge dans votre toit, un élève nous a avoué que vous l’avez harcelés.»

« Mais … que … ?»

« Vous m’avez bien entendu, Madame !»

« Harcelé ?»

« Il nous la dénoncer y a quelque jours.»

« Qui est-ce ?»

« Fabien Costere.»

« Je le connaissais.»

« Pourquoi l’avez vous harcelés ?»

« à toute chose, y a des explications, laissez moi respirer.»

« Vous m’avez l’air épuisée.»

« En effet.»

« Venez demain au poste de gendarmerie, et on va pas rire. Policier, pas de casier judiciaires, vous êtes mal partie !»

« Merci !»

Marianne claqua la porte et s’agenouille, pleura.

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