Chapitre 15

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Le basilic se dressa de toute sa hauteur. Hormis les créatures dans l'arène, les autres otages n'étaient pas non plus armé. Certtain devait être des brigands ayant perdu aux jeux, des paysans endetté ou des encore des innocents qui se trouvaient au mauvais endroit au mauvais moment.

Il y avait, au centre de l'arène, tout près d'une acromantulas une boite remplie d'armes ent out genre. Des arcs et des flèches, des poignards, des épées et des boucliers en dépassaient. Elenwë se lança rapidement vers le centre. Le basilic se répétrant déjà d'une pauvre femme qui hurlait de douleur mais dont les cris étaient étouffé par la clameur du public qui s'enflammait déjà de voir les premiers morts et le sang couler. Jedusor sortit sa baguette et se dirigea vers le groupe d'enfant elfes qui pleuraient dans un coin. Il arriva in extremis pour pârer une attaque de doxy. Il les immobilisa avec un sort de "pétrificus totalus" et se protegea des nués de doxy qui l'accablait avec le sort "Portego". Ces maudites fées étaient tellement nombreuses qu'il ne voyait même pas le reste de l'arêne devant lui. Il refusait de se laisser nuire par des créatures aussi faibles. Il sectionna le reste de l'essain avec le sort "diffindo". Les Doxys tombèrent comme des moucherons sur le sols sans emettre le moindre son. Lorsque la vue se dégagea, le sorcier s'entit gronder en lui un plaisir bien particulier. Celui de voir le chaos se déchaîner. Il y avait du sang partout, des survivants qui rampaient vers un jambe qu'ils essayaient de remettre sous le coup de la folie. D'autres étaient pétrifiés, le regard figé dans l'horreur.

  • Ne regardez pas le basilic dans les yeux ! hurla t-il par dessus les cris de joies du public aux enfants. Ne bougez pas !

L'idée de devoir les couver l'écoeura. Cette maudite elfe l'obligeait à faire ce qu'il le révulsait le plus au monde, se préoccuper d'autrui. Le basilic semblait pour le moment occuper à déchiqueter des centaures qui le ruaient de coût de sabots. Il n'aperçevait pas Elenwë et pendant un infime moment, la panique le saisit aux entrailles. Elle avait récupérer deux dagues et filait à une vitesse vers les ennemis. Mais elle immergea derrière une acromantulas et lui sectionna les pâtes de son flan droit. Elle était recouverte de sang mais le jeune sorcier se surpris à penser pour la première fois qu'elle était, à cet instant précis, tout simplement époustouflante. Elle chargeait à une vitesse hors du commun, sautait et évitait les attaques des araignées géantes sans difficulté. Elle glissa sous le ventre de la tarantule et lui ouvra les entrailles qui tombèrent de la bête et lui arracha un cris glutural qui resona dans toute l'arêne. Même le public semblait retenir son souffle. Elle avait terasser une créature à elle seule. Elle se releva et se dirigea vers le basilic. Le regard brulant, le visage recouvert du sang de l'acromantulas et ces deux dagues prêtes à tuer. Le combat semblait l'obnubiler, rien ne pouviat l'arrêter. Tout son corps semblait demander à détruire, et réduire ces adversaires au silence. Jedusor remarqua qu'aucunes marques n'étaient apparu. Le petit elfe aux yeux globuleux avait donc raison, elle n'avait pas de magie, et ne pouvait pas l'utiliser. Cela ne l'empéchait pas de terasser ces adversaires de manière surnaturelle. Les autres otages acculés au fond de l'arène la regardait avec effroi. Le jeune sorcier lui ne pouvait s'empécher de la contempler.

Tom apperçu deux autres elfes qui semblaient eux aussi réussir à maîtriser bien qu'ils manquaient de souplesse et de vitesse par rapport à Elenwë. La femme Elfe avait des marques sur les avants bras qui brillait d'un bleu azur, elle repoussait les attaques de la tarantule avec des sorts d'eau qui semblait bien faibles. Quant à l'autre elfe, ses marques brillaient beaucoup moins, elles étaient d'un rouge ternes, mais il invoquait une magie télurique qui bloquaient les membres de l'araignée.

D'autres doxys fondaient vers le sorcier qui para leur attaque en les réduisant en cendre grâce au sort d'Incendio. QUi aurait cru que ce sort de pacotille apris à Poudlard durant ces années d'études allaient un jour lui être autant utile. Il ne pouvait pas utiliser la magie noire ici. C'était trop dangereux et il ne savait pas qu'elles seraient les conséquences d'user de ce type de magie derrière le Voile. S'il avait pu l'utiliser il aurait mis fin à cette mascarade en quelques minutes. Mais il ne voulait pas être démasqué, pas encore, il vallait mieux se faire discret et utiliser la magie élémentaire.

Le basilic se détourna de son festin lorsque Elenwë lui lacera son flanc gauche, elle évita de justesse en sautant la queue du monstre qui remuait dans tous les sens et détruit une grande partie du terrain. Jedusor lanca le sort de Protego horribillis vers les elfes acculés et les enfants afin de les mettre à l'abris. Ils pleuraient à chaude larme et furent parcouru de soulagement lorsqu'il virent le sort les protéger des doxys qui fondaient vers eux. Cette bande de faible ne méritaient pourtant pas d'être protéger par sa magie. Une fureur saisit Jedusor aux entrailles et il se jura de réduire en cendre cet endroit après avoir trouver la source magique qu'il convoîtait tant. Il entendit Elenwë crier et courra vers le basilic. Le monstre l'avait envoyer se fracasser contre un pan de mur de l'arène. Mais elle se releva à une vitesse incroyable. Jedusor courra le plus vite possible pour lui venir en aide, où plutôt parce que son instinct bestial voulait voir la mort et le danger de plus près. Lorsqu'il fût suffisament proche du basilic, le sorcier lança Impedimenta pour le ligoter de la queue à la gueule. Elenwë se rua droit vers la tête du monstre et lui creva les yeux en plantant ses deux dagues dans les pupilles. Le sorcier dût y mettre beaucoup plus de force qu'à l'ordinaire pour maintenir le basilic en place. Il enchaîna en enclerclant la créature avec des sorts d'Expulso qui transpercèrent le serpent. Mais il en fallait plus pour le terraser. ELenwë evita avec souplesse les ruades du basilic devenu aveugle. Il hurlait et commença à détruire une partie des estrades de l'arêne. Le public malchanceux qui s'y trouva fût immerger dans les décombre, des cris d'horreurs se mélant aux cris d'euphorie. Voilà donc ce qu'appréciait le peuple de la fôret, voir les faibles mourir et se gaver de ces spectacles.

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