Immédiatement ils voient que je suis de retour de la boulangerie immédiatement. Les sacs papiers trahissent mon achat. Mes parents sont ravis malgré tout et me remercie.

A aucun moment ils ne me parlent de mon enlèvement peut-être que c'est moi qui fait une fixation actuellement. Je me dit qu'ils ne souhaite pas m'y faire penser afin que je profite de mes vacances et de ma jeunesse.

Je vais dans ma chambre et je réveille gentiment ma belle Amandine. Elle ouvre les yeux doucement.

- Amandine : Coucou toi.

- Moi : Coucou ça va ?

- Amandine : Oui et toi ?

- Moi : Nickel.

- Amandine : C'est moi ou tu es déjà habillé ?

- Moi : Non c'est pas toi je suis sortit chercher le petit déjeuner.

- Amandine : Tu est vachement matinal.

Je lui raconte rapidement que j'ai fait un terrible cauchemar qui m'a mis dans un état pas possible et que de sortir m’a fait du bien. Je lui dis immédiatement que je lui raconterai le détail dans la journée.

Amandine se lève alors et on se dirige vers la salle à manger. Mes parents sont eux aussi en pyjamas et mettent la table. On s'installe tous les quatre autour de la table.

- Maman : Tu as pris beaucoup Pierrot.

- Moi : Ah oui.

- Maman : On va garder les Kouign-amann pour ce soir si on mange ici en plus c'est meilleur chaud.

- Moi : Ah tu connais les Koun machin.

- Maman : Kouign-amann.

- Moi : Oui c'est ça.

- Maman : Oui je connais. Mais je suis surpris que tu en ai pris alors que tu ne connais pas.

- Moi : C'est la vendeuse qui me les a offerts.

- Maman surprise : Offerts ? Pourquoi ?

- Moi : Je sais pas trop. Elle a été très gentille et elle m'a dit que la prochaine fois on lui achètera.

- Maman : Ok je vois le genre.

On déjeune tranquillement les viennoiseries sont très bonnes. On met pas trop longtemps à être repus on mange à notre faim et on retrouve ce qu'il reste pour notre Jean qui dort.

On se prépare alors dans la foulée enfin moi je suis rapidement prêt je n'ai que mes dents à bosser. J'attends donc le reste de la famille sur le canapé.