Acte 19 - Réveil

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La première chose que vit Camille était une lueur blanche, un blanc éclatant, éblouissant. Il ne savait pas où il se trouvait et ne se souvenais plus exactement ce qui venait d'arriver. Excepté que quelqu'un l'ai amené dans une rue. Après quelques instants de réflexion, les souvenirs commencèrent à remonter, il se souvenait de la peur, la gêne, la souffrance et le désèspoir qui précédait sa perte de conscience. Puis il se remémora quelqu'un, Hugo, il était là et il le frappait, fort, avec acharnement. Et enfin, une scène qu'il aurait elle, préféré oublier, celle où il allait se faire violer. Mais alors que faisait-il ici ? Hugo est-il aller au bout de son acte ? Qu'est-ce qu'il devait faire à présent ? Il commença à se redresser et contasta qu'il était dans un lit d'hopital, dans une chambre blanche, épuré avec du matériel médical un peu partout. Il se sentait extrêmement fatigué et ressentait une vive douleur un peu partout dans son corps, mais il était néanmoins en un seul morceau. En inspectant ses bras il vit qu'ils étaient couvert d'hématomes plus ou moins foncés, une perfusion était égalment placés à son gras gauche. En touchant son visage, il sentait qu'il était gonflés et encore sensible, il n'imagiat même pas à quoi est-ce qu'il devait ressembler à l'heure acuel, il n'esperait pas avoir été totalement dévisagé. Au bout de quelques minutes, quelqu'un pénétra dans la pièce, c'était un médecin en blouse blanche, il semlbait avoir la cinquantaine et avait une paire de lunettes posé sur le front, il regarda Camille et dit :

"Oh vous êtes réveillez monsieur ! Comment vous sentez vous ?

  • Je me sens... J'ai mal quoi, qu'est-ce qui m'est arrivé exactement ? demanda Camille, encore troubler.
  • Alors trois de vos amis vous ont aider lors d'une agression, ils vous ont amener ici ensuite. L'un d'eux est même en salle d'attente et a demandé à vous voir lorsque vous serez reveiller. Est-ce que vous vous sentez prêt pour le voir ?
  • Un ami ? Et bien, oui je pense, c'est qui ?
  • Et bien je ne sais pas ! Mais je vous l'amène et ensuite je vais faire un topo de ce que vous avez d'accord ?
  • Oui, d'accord docteur, merci."

Ainsi, après avoir verifier l'état de santé de Camille, qui ne présentant rien de grave, ni d'anormal, le médécin partit aller chercher ce mystérieux ami. Quelques minutes plus tard, il entendit les bruits de pas de quelqu'un qui court à tout allure dans les couloirs, puis ouvrir la porte brutalement. C'était Ivan, il était en sueur et semblait ne pas avoir dormis de la nuit, en rentrant il cria :

"Camille ! Tu va bien ? T'as bien dormis ? T'as faim ? T'as soif ? Tu veux un truc ?!"

Le plus petit, totalement abasourdi par la présence de son stagiaire dans la pièce, surtout quand il repensa au fait que c'était lui qui l'a sauvé et amené à l'hôpital. Après quelques secondes de réflexion, il répondit :

"Oulah, tu pose trop de question Ivan..."

Tout de suite après ces quelques mots, le plus grand pris alors le blessé dans ses bras, Camille sentait son coeur résonné et battre vélocemment, il l'entendait aussi pleurer, la tête entièrement enfoui dans ses cheveux. Ce tel flôt d'émotions le fit alors craquer à son tour, et il sanglota également, le visage caché dans le cou de Ivan, il prenait alors totalement consicence de ce qui lui était arriver lors de cette malheureuse soirée. De longues minutes passèrent, et le stagiaire bien qu'étant en larmes, essayait de conforter son maître de stage :

"C'est fini maintenant, t'es en sécurité et ça t'arrivera plus, je te le promet ! Je suis vraiment désolé de ne pas être revenu dans la journée, pardon... Confessa alors Ivan

  • Ce n'est rien, merci énormement, je ne pourrais jamais assez te remercier, merci d'être là, merci pour tout ce que tu fais Ivan. Jamais personne n'avais fais autant pour moi. répondit le plus petit, la voix tremblante d'émotion.
  • Ne dit pas ça voyons... C'est trop triste je te connais depuis quelques jours seulement !
  • Et bien c'est triste alors, mais putain que c'est vrai..."

Lorsqu'ils se lachèrent, le docteur expliqua ce que le corps Camille a subit :

"Alors, Monsieur Aall a eu de multiples contusions, des hématomes, quelques plaies ouverte, notamment au niveau du crane, de l'arcade et de la paumette. Il a eu deux côtes cassés, l'épaule déboité, un déchaussement d'une molaire, une fracture à l'os mallaire, donc à sa paumette et enfin un choc au fois ! Bon alors la liste est grande mais il n'y a heureusement rien de grave, vous resterez quelques jours selon votre états hospitalisé et ensuite vous aurez besoin de repos ! Ce serait super si votre ami pourrait vous aider chez vous d'ailleurs, du moins s'il le peu.

  • Bah ouai moi je suis chaud ! s'exclama Ivan jovialement.
  • Superbe ! Je vous laisse un peu tout les deux, si vous avez besoin de quelque chose, n'hésitez pas à apppeller une infirmière ! Je reviendrai vous voir dans quelques heures monsieur Aall !"

Une fois le docteur sorti de la pièce, les deux se regardèrent dans les yeux, ils pouvaient à présent parler plus librement.

"Ivan... Qu'est-ce qui c'est passé ? Comment tu m'as trouvé et sauvé ? demanda Camille

  • Et ben... En gros on allait chez toi avec des amis, je voulais m'excuser et peut-être t'expliquer quelques petites choses. Enfin bref, ont part pour chez toi et là, on te voit, au loin avec un autre type, je vois que ça se passe mal, donc je fonce en ramenant les autres, je vois que c'est Hugo, on l'a dégagé et on s'est occupé de lui. Ensuite je t'ai amené aux urgences avec mes potes et je suis resté jusqu'à ce que tu te réveille. Raconta Ivan
  • Wow... Et les flics sont au courant ?
  • Oui.
  • Ohw, Hugo est au commissariat du coup ? Vous allez pas être dans la merde pour l'avoir tabassé ?!
  • Non.
  • Hein ? Pourquoi ?
  • Il est pas au commissariat, on a dit que l'on t'as trouvé tel quelle.
  • Mais... Et Hugo ? Il est où ?
  • Et bah il a disparu. Mais c'est pas grave ça ! Il ne viendra plus jamais te faire chier, plus jamais."

Quoi ? Qu'est-ce qu'il venait de dire ? Hugo avait disparu ? Ce n'était pas une blague en tout cas, Ivan était on ne peu plus sérieux, son regard exprimais le fait qu'il n'était pas innocent à la disparition de l'aggresseur. Est-ce que Ivan aurait fait un acte innomable ? Le pécher originel ?

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