En arrivant chez Elodie, ma grand-mère, je me dirige vers la fameuse trappe et trouve un escabeau. Je monte et insère la clé. Je découvre l’immense salle qui était inconnue aux yeux de tous. Ma mamie veut me léguer un livre mais d’abord, il faut que je le trouve dans le débarras. Il y a tellement de choses, il fait noir, j’aperçois l’interrupteur et j’allume. Des tas de poussières, toiles d’araignées, moutons tout y est. Je découvre des choses sans valeur, même des poupées en très bonne état, je me demande si elle jouée avec. Puis une pile de livres posées sur l’étagère. Comment veut-t-elle que je trouve le bon ? Après avoir chercher et lu les titres, j’ai un coup de cœur, un livre à la forme bizarre, il est en bois avec une inscription en italique. « Laura, ce livre est pour toi met-le en sécurité », je l’ouvre avec précaution, car il est vieux. Je sens une énergie à l’intérieur, je l’ouvre et il dévoile un joli médaillon en forme de cœur. Je m’en souviens, elle avait porté lors du mariage de mes parents. Et à quelques rares occasion mais elle le cacher pour que personne ne le découvre. Ce collier a une valeur sentimentale, Elodie ne disait rien mais elle m’aimait beaucoup malgré les remarques incessantes. Ce collier est accompagné d’une lettre :

« Pour ma bien aimé Elodie, je n’ai pas toujours été l’homme que tu voulais, mais ce collier sera pour toi, un cadeau de notre mariage. Si un jour, ils nous arrivent quelques choses de grave, je veux que tu lègues le collier à Laura. Mais promet-moi qu’elle seule pourra le prendre. C’est notre petite fille qui a su veiller sur nous, les parents pourront prendre ceux qu’ils veulent. Je veux que tu saches Laura, tu es notre unique petite fille, fait attention à ce collier, ah j’allais oublier ce collier est une clé, nous avons un coffre à la banque de Toulouse. Tu dois y retirer le contenu. De ton cher époux Alphonse »

Je venais de comprendre la lettre, le livre, le collier, ce sont des clés pour ouvrir à leur tous le coffre où contient des trésors. Je me mis en route vers la banque qui allait fermer ses portes, sur le collier, il y a un numéro d’inscrit le numéro 212. Que je demandais à l’employer de mi emmener, ce qui fit. J’avais que quelques minutes pour récupérer ce qu’il contenait. Lorsque j’inséré le fameux médaillon dans la serrure, je sentie un frisson me parcourir le corps. J’ouvre la porte doucement, je sens des soufflements derrière mon dos. Je découvre des tas et des tas de choses, des précieux trésors qui n’ont pas prix. Je reste figer mais je me vois dans l’obligation de prendre les choses et je les enfourne dans mon sac sans les abimés.

Je me précipite vers un endroit où je me sens bien chez moi, je ressors les objets sur ma table. Il y a une figurine de grenouille, un carnet intime, leurs deux alliances, je n’ose pas les séparé, cela me fend le cœur, j’ai l’impression que je m’'immisce. J’enferme le tout dans le livre qui s’ouvre pour les remettre. Je n’ai pas le cœur à ouvrir le carnet intime de ma grand-mère ce sont ces secrets.