Pour Avant vos Seize Hivers, Les Garçons

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J'écris à l'enfant de sept ans de l'emblavure,

S'en roulant dessus, s'enroulant dedans, et où s'y s'emboquant, certains l'aimeraient percevoir ; l'or, or « facile » qu'il est d'imiter vêtir,

Sans cent pour-cent connaître le sens du sang,

Une moins-que-rien, une saignée de larmes, qu'il, sans soucis, s'en sourcille de l'effacil, de s'en guérir ; ces genoux écorchés,

Qui diverge entre dévierge, et que devient avec lui vierge la légende de la berge qui gère les converges qui mènent à la bergerie maline,

Et qui, s'il dut faire ses épousailles, il la prendrait pour épouse, la mère de la mer ; l'océan.

Une idylle des vignes de vie, tu bois de la jouvence.

Neuf moi éparpillés, neuf mois avant de t'adulaient, neuf toi soldats neufs.

Tes chimères brouteront de l'ambroisie, tandis que tu aboieras après celles fugitifs.

Le rouge-gorge gorgera tes songes, t'égorgera si tu ne vois pas rouge, mais cependant bleu,

Si tu cueilles le muguet pour Amphitrite.

Moi, au Ain, je lui ai offert un bambin.

Sans mauvais teint, dans son bain, je m'y suis tu, tel un gamin inhumain.

Le déluge était pour les lucifuges et ceux qui formaient le tapis qu'écrasaient les juges d'en haut,

Et sur ma luge, partis trouver refuge,

Mais il eut, dans le futur, en réduit, les absences d'un peu plus de la dolence, reflet dans ces yeux de faïence, que j'eus retrouvé, moi indécents, dans cet accoutrement troué, au port,

Lorsque j'avais repensé au bord des accords,

De mes morts, qui me sont forts.

Immature vêture de la nature des « rotures »,

Par l'épée, la paix est une épopée déité.

Épéiste de peste, ou peste des épéistes,

Bête à conquêtes,

Ou requête de quête pour sa tête,

Bêleras-tu, ou héleras-tu le salut d'Hadés ?

J'écris les cris des dits « camarades », percés dans un Bercé, que les écrits, de décris, décrivent ; plus que des gris os,

Ces princes du désert,

Pour le grain du dessert, que servent les noces, et qui servira, en sûreté encore un demain, les cerfs-volants de l'ère de pierre des guerres, ce qui est couvert à peu en être fière : à découvert l'honneur, ou du billet vert ; et même dans la manière du verre sur l'ouvert de leur esprit : à l'honneur de leur bon air.

Des tonnerres pour du nerf à se faire foudre.

Ton innocence te berce,

Le soldat te perce, même pas pour ton inceste.

La vague séchera, et ta bague échera une lague sur le lac,

Myroblite.

La dague,

Tu poignarderas grâce,

Avec drague, tu traqueras le cartilage du pays,

Et avec l'itague, tu pendras ce qu'il faudra.

Je te décris en écrits,

Ces cris qui parviennent de ces pays gris,

Abri des débris,

Où les gerris tortorent ces péris,

Zombies,

Des grains de riz,

Qu'ils ont fauché pour n'être dépéris de vie.

Une manie qui enfin servit pour de la mie, ces vies, débarrassées.

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En réponse au défi

Le Poème

Lancé par Cœur de Lune

Bonjour à tous. Mon défi va être très simple cette fois-ci.

• Je veux que vous écriviez un poème de plus de 5 lignes sur le thème que vous voulez.

• Par contre, je ne veux toujours pas de mots vulgaires s'il vous plait.

• Et surtout, amusez-vous !

Bonne chance à tous !

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