- Tu es tellement sexy comme ça, lui dis-je amoureusement en la rejoignant.

Mon baiser tendre lui confirma ce que je venais de lui dire. J’ouvris la porte avec la carte, mais elle me la prit des mains, rentra en m’enfermant dehors. Nous rigolons tous les 2.

- J’ai le droit à quoi si je te laisse rentrer ?, minauda-t-elle.

- Tu vas avoir droit à une bonne punition !, répondis-je faussement sévère.

Elle ouvrit la porte et me laissa passer. Malgré son aspect plein de luxure, elle baissait la tête, faisant semblant d’être honteuse. Ha, elle voulait jouer un rôle, pas de soucis !

- Va m’attendre sur le lit !, lui ordonnais-je en me dirigeant vers notre valise.

J’avais vu tout à l’heure une boîte, qui j’en étais sûr, contenait quelques jouets… J’y trouvais une paire de menottes et un bandeau, ce qui serait parfait, et ne m’attardais pas sur le reste du contenu. Je la rejoignis assise sur le bord du lit, tête toujours baissée mais un sourire coquin au bord des lèvres, ravie que je rentre dans le jeu et que j’ai trouvé les jouets.

Je la fis lever, lui enleva la robe qu’elle avait toujours autour de la taille et lui mis le bandeau. Je lui attachais alors les mains dans le dos et lui ordonnais de s’accroupir. Elle se doutait de ce qui l’attendait visiblement, car à peine un genou à terre, elle avait déjà la bouche grande ouverte. Je sortis donc mon sexe et la laissa faire ce dont nous avions envie tous les deux. Ne pouvant se caresser, ni me branler, ni même me regarder, elle se concentrait uniquement sur son aspiration et les mouvements de sa langue. Mes mains dans ses cheveux, je commençais de légers va-et-vient pour me donner encore plus de sensations. Elle se dandinait pour tenter de frotter ses cuisses sur son clitoris. Mon plaisir montait en flèche et je voulais continuer notre jeu de rôle. Je sortis mon sexe de sa bouche et lui ordonnais de la garder ouverte.

Elle était là, accroupie au milieu de la chambre, nue, les mains attachées dans le dos et les yeux bandés. Son visage et ses seins étaient encore maculés de mon jus, et elle attendait la bouche ouverte d’en recevoir encore. Je pris mon smartphone en mode silencieux et immortalisa la Sexualité même qui n’attendait que moi. Tout en remettant ma bite entre ses lèvres pour qu’elle reprenne sa pipe, je pris quelques photos en couleurs et en noir et blanc, avant de passer en vidéo. Je la filmais, attachée, bandée et soumise, en train de me sucer goulument. Lorsque j’arrivais à l’extase, je mis le mode ralenti, ce qui me permettrait de bien voir chacun des jets que je lui expédiais sur sa langue tirée.

- N’avale pas ! Montre-moi tout ce que tu as dans ta bouche !

Je pris de nouveau des photos plus qu’excitantes, avant de poser mon mobile sur la table de nuit et de lui ordonner de tout avaler. Elle essaya de respecter la consigne, mais du sperme lui coulait de la commissure des lèvres et se rependait à nouveau sur sa poitrine.

- Tu n'as pas tout avalé, y’en a plein qui coule ! On dirait que tu n’as pas compris, tu vas devoir être encore punie !

Je tirais sur les menottes pour la relever et la guidais délicatement jusqu’au lit. Je la fis monter dessus à genou et enlevais une menotte pour pouvoir attacher ses mains sur le devant. Je les posais ensuite sur la tête de lit, et la fis reculer jusqu’à ce qu’elle soit presque à l’horizontale. Ainsi offerte, je pelotais ses seins d’une main et caressais son clito de l’autre. Lorsqu’elle commença à gémir, je tirais sur son téton et lui administra une fessée bien sonore :

- Je ne veux pas t’entendre !

Elle ferma la bouche et essaya de ne pas faire de bruit. Je fis plusieurs fois ce manège, la faisant osciller entre plaisir et douleur, alternant caresses et fessées lui rougissant le cul. Ses cuisses étaient trempées de mouille et je ne résistais pas longtemps à l’envie de la prendre en levrette. Elle se maintenait du mieux qu’elle pouvait malgré mes coups de bassin violents et de nouvelles claques qui volaient sur ses fesses. Elle gémissait de plus en plus, et je voyais son anus s’ouvrir et se refermer, comme pour m’appeler. Je léchais donc abondamment mon pouce et tenta de l’enfoncer dans son petit trou. Si il s’était refermé depuis la sodomie du début de soirée, il n’y eu pas vraiment de résistance. Elle ouvrit la bouche alors que mon doigt et mon sexe allait et venait en elle, et me dit entre les à-coups :

- Han … je ne peux… hum... pas m’empêcher … de désobéir ... han… il faut … me punir … encore plus !

Si elle réclamait du plus violent, j’aurais été con de refuser ! Je pris donc ma bite en main et lui enfonçait directement au fond de son cul. Elle hurla, je pense autant de plaisir que de douleur, mais m’ordonna:

- Défonces moi le cul, vas-yyyyy !

Si elle voulait souffrir un peu, elle allait être servie. Tout en l’enculant violement, je tirais ses cheveux et pinçait un de ses tétons. Ses cris bestiaux emplissaient la chambre, mais elle poussa un long râle lorsqu’elle jouit. Je sortis mon sexe et serra ses fesses pour me branler entre elle. Mon orgasme propulsa de nombreux jets qui vinrent lui strier tout le dos et les cheveux.

Je lui enlevais le bandeau et les menottes, la pris dans mes bras avec un long baiser passionné, et nous avons sombré tous deux dans un lourd sommeil.

***

Houla, je me suis un peu trop emporté dans le côté domination/violence, non?

Si oui, peut-être faudra-t-il que je censure le "pire" chapitre (le plus trash) de l'histoire ??? De toute façon, il me reste un peu de temps pour une éventuelle réécriture, ça devrait être normalement le chapitre 14 ("l'Appel de la Nature", ça donne déjà un aspect bestial non?).

Bref, pour la suite immédiate, le prochain chapitre sera plus court, mais plus léger et plus romantique: "Réveil en douceur".