Chapitre 48

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Notre décisions est prise. Après avoir discuté durant des jours, nous avons décidé de rentré au paradis, aux six moi de Ava. Je voulais voir le monde, et profité de n'être que nous quatre, profité d'être libre avant de géré le paradis. Un peu comme des vacances...

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À peine arrivé qu'une nuée d'ange se jette à nos pieds, ou plutôt au pieds de Ava, tous étaient venu pour l'admiré, si sérieux habituellement, ils étaient tous devenu gaga. Je m'en étonna! On nous conduisit à notre nouvelle demeure qui était à l'identique de celle que nous avions sur terre. Dieu n'avait pas fait les choses à moitié. 

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Ava grandissait à une t-elle vitesse, déjà un mois terrestre que nous étions installé. Elle était le bonheur du paradis, j'allais souvent sur terre voir si tout allait bien, mais si je ne l'avait pas vu de moi même, jamais je n'aurais vu le temps passer d'une t-elle façon. Ava marchait déjà, elle savait dire "papa", je pouvais profité au maximum de ma fille et de ma famille sans avoir à m'inquiété de manquer de temps.

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Les années passèrent et Ava devenait de plus en plus belle, tant qu'à nous, à peine avions nous prit de l'âge. Ava commençais à être très forte dans l'art du maniement de l'épée, et c'est son grand-père lui même qui la coaché. En fait les vacances de Dieu n'était autre que de passé du temps avec sa petite fille.

- Maman, tu as vu comme je suis forte?

- Oui, ma chérie. Je suis fière de toi.

- Dit maman, quand est ce qu'on va visité la terre?

- Pas maintenant chérie, il faudra attendre encore quelque années... 

Azaël, menait à bien sa mission d'être sur le trône. Tout allaient parfaitement bien dans le meilleur des mondes. Je désirais avoir un autre enfant, mais le fait de vivre au paradis, il m'était impossible d'en avoir par voie naturel, ici tout était si facile et comme je m'en doutait, il m'arrivait de m'ennuyé... J'avais hâte de retrouvé ma famille, mon métier, mes amis et ma maison.

- Ça va chérie?

- Oui, tout va bien.

Comme à son habitude Azaël ne pouvait s'empêcher de s'inquiété pour moi, et je pense que même si il me voyais malheureuse, il préférait l'ignoré car il n'avait pas le choix d'être ici. Ce qui comptait c'était sa fille et moi je ne passai qu'au second plan. La routine c'était installé dans notre couple, que nos instants de bonheur semblais si loin derrière nous maintenant. Je savais que ça n'était qu'une passade, et que bientôt je serais de nouveau là où je doit-être.

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Ce soir, seule, je décide de rejoindre ma ville natale, elle n'a strictement pas changer, d'ailleurs même les gents n'ont pas changer. Je me sent vide, je pensais que la vie serait plus belle, je pensais qu'Azaël n'était là que pour moi! Non que je ne sois jalouse de ma fille, non, car elle est tout pour moi, je m'accroche à elle, à sa force de supporté le monde, à son âge je n'avais pas une t'elle force. Azaël me rejoint,

- Sa fait si longtemps que nous ne nous sommes pas retrouvé ici.

- Et seul qui plus est.

- Et seul! Je n'en peux plus Azaël. Soufflai-je.

- Je sais!

- Alors rentrons, je t'en supplie avant que tout ne s'efface rentrons chez nous.

Il regardait le vide en bas de l'immeuble.

- Tu sais Loa, quand Ava est née, c'est vrai, je t'ai un peu oublier...

- Azaël c'est ta fille, c'est normal. Je ne t'en veux pas pour ça.

- Alors qu'est ce qui ce passe? Pourquoi es-tu si loin?

- Je me suis perdu quelque part, entre hier et aujourd'hui..

- Je veux te retrouvé, je veux retrouvé celle pour qui le monde était merveilleux. Aujourd'hui je te regarde, et tout semble si gris autours de toi. Ton sourire à disparu, et j'ai même l'impression parfois d'avoir perdu... Ton amour.

- Je veux juste rentré chez moi. j'ai l'impression d'avoir pris de l'âge et pourtant je reste si jeune! Je veux vieillir, je veux vivre Azaël.  

- Si je comprends bien tu veux suivre le cour de ta vie? 

- Oui. 

- Et nous?

- Ensemble, bien-sur. C'est toi que je veux, et personne d'autre, mais je ne suis pas heureuse où je suis. Et ne me dit pas que tu ne le vois pas Azaël. Tu fais mine de ne pas comprendre, mais tu disais que nous étions maître de notre destin. Mais au final, c'est ton père qui à choisis, et cela à chaque fois.

- Ne l'accuse pas! Il n'à rien fait de tout ça, il ne voulait que le bonheur de Ava.

- Moi aussi je voulais son bonheur! Aujourd'hui je me sent manipulé par toi, je me sent inutile et faible, bien plus faible que quand j'étais sur terre. J'ai grandi et j'ai vécu sur terre sans le moindre problème et j'ai dut tout abandonné du jour au lendemain, et tu sais bien que ça n'est pas comme ça que sa devais ce passer.

- Manipulé par moi? Tu ne sais plus ce que tu dis.

- Je veux rentré Azaël.

- Ava n'est pas en âge.

- Elle à dix-sept ans! Elle veux voir la terre. Je partirais avec ou sans toi.

- Tu n'en as pas le droit Loa.

- J'en prendrai le droit. 

- Tu es égoïste...

- Égoïste? Et toi? Dit moi, tu es un saint? 

- Pourquoi tu me fais ça? 

- Parce qu'il ne sert à rien de resté avec quelqu'un si ce n'est pour être malheureux. L'amour que je ressens pour toi est bien là quelque part, mais toi tu n'en as plus pour moi. Tu ne m'aime pas pour ce que je suis, tu m'aime pour ce que je t'ai donné.

- Non!!! C'est faux.

- Alors dis moi, imagine que nous n'avions pas eu Ava, m'aurais-tu gardé près de toi dans ces même condition?

- Oui!!! Oui, car je t'aime. 

- Tu m'aurais gardé près de toi, dans la tristesse? 

- Non, car je n'ai jamais voulu te voir malheureuse.

- Et aujourd'hui je le suis pourquoi ne me laisse tu pas partir?

- Parce qu'il y à Ava! Oui tu as raison.

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