Chapitre 47

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- Enfin à la maison!!!

À peine arrivé que Ava se mit à pleuré, je ne me lasse pas d'entendre sa petite voie. Elle doit avoir faim.

- Je m'en occupe. Se pressa Azaël.

Il est un vrai papa poule, il ne l'a pas lâcher d'une semelle.

- Je vais allé me reposé un peu.

- Prends ton temps.

En essayant de fermer les yeux, j'entendait Azaël parler avec sa fille, il est merveilleux. Jusqu'à ce qu'un toc-toc me surprit, et m'enleva du lit. C'était Angèle.

- Bonjour, Loa.

- Bonjour.

- Angèle est venu voir Ava.

Je n'avais plus de rancune envers elle, mais nos relation restaient froides, et quasi inexistante. Elle se pencha sur son landau, et son visage s'illumina en la voyant. Elle me faisait presque peur, jamais elle n'avais souris.

- Tu veux boire quelque chose?

- Même si vos cocktail son délicieux sur terre, je ne vois pas l'utilité d'en boire.

- C'est pour être polie qu'elle te le demande.

- Excuse-moi, je ne connais pas vraiment les coutumes des êtres humains. 

- Ce n'ai rien.

- Pourquoi es tu venu jusqu'ici?

- Pour voir ton... Votre enfants. Se rectifia t-elle.

- Laisse moi en douter.

- Et aussi, parce que père veut te voir. En fait, il veut vous voir tout les deux.

Dieu nous avait proposé quelque mois en arrière, qu'il souhaitait partir en vacance et qu'il voulais nous laisser la gestion du paradis pendant un certain temps. Il attendait sans doute notre réponse.

- Si cela concerne la gestion du paradis...

Elle me coupa.

- Je ne sais pas de quoi il s'agit. Je ne suis qu'une simple messagère.

- Bien! Nous irons le voir en fin de semaine.

- Immédiatement.

Elle m'était de nouveau insupportable à cet instant. Comment voulait-il que je gère le paradis avec cette teigne en plus?!

- Très bien, j'habille Ava et nous partons, immédiatement. Articulai-je en la regardant.

- Je peux la garder.

- Hors de question. M'empressai-je.

Azaël me regarda avec de gros yeux.

- Je vous attends dehors.

- Quoi? Je ne vais pas lui laisser la garde de mon enfants, on ne sais jamais!

- Elle est comme ça...

- Je ne la comprendrai jamais alors!

Il sourit. 

Ces derniers mois on été juste magique, préparé la venu de Ava a été un vrai bonheur, ces petites affaires, sa chambre, ces jouet, tout ce passait bien jusqu'à ce que Dieu nous fasse cette proposition. Qui j'ai vu à fait hésité Azaël, ses fonctions au paradis devais sans doute lui manquer, c'est pour ça que je n'ai rien dit et lui non plus d'ailleurs. Je ne sais pas ce qu'il pense à ce sujet, nous n'en parlons jamais. Je me suis dis que peut-être, il attendait la naissance de notre enfant, et nous sommes à présent à l'instant cruciale. Il était pourtant convenu que nous vivions sur terre et que parfois nous irions au paradis, mais aujourd'hui je ne sais pas ce qu'il en ai.

                                                                                                                 ☆☽●☾☆

- Bonjour mes chers enfants.

Sa voie résonnait dans tout le paradis, sans que je ne puisse dire d'où elle venait.

- Bonjour père. S'empressa Azaël de l'embrassé après l'avoir vu au loin. Tu as fais de nouveaux emménagements.

- L'évolution oblige.

- Tu voulais nous voir?!

- Oui.

Je les suivaient à l'écart.

- Approche toi Loa! Montre moi donc ma petite fille.

Il lui chatouilla le menton avec son doigt.

- Aussi belle que sa mère.

J'avais encore du mal à m'habitué de sa familiarité envers moi.

- Merci. Angèle nous à dit que vous vouliez nous voir immédiatement. 

- Oui. Avez-vous pris une décision en ce qui concerne, "le paradis"? Chuchota t-il.

- En fait nous n'en avons pas vraiment parler.

- Pour ainsi dire, nous n'avons pas parler du tout. Je pense qu'il est inopportun de se projeté dans une t'elle aventure pour le moment. Ava n'est encore qu'un nourrisson et je voudrais qu'elle puisse profité un peu plus de la vie sur terre.

- Pourquoi ne la laisseriez vous pas choisir elle même ce qu'elle désir quand elle sera en âge? Ici elle pourra apprendre qui elle est, ce qu'elle est capable de faire, et plus tard elle pourra faire le choix de resté, ou de partir.

- Et si elle me le reproche un jour?

- Elle n'est pas toi mon enfant!

-J'en suis consciente.

- Ici elle serait surtout en sécurité. Plus elle vivra sur terre, plus elle en sera fragilisée.

- Fragile?

- Toi même tu l'as été tellement de fois. Vivre sur terre t'as rendu faible.

- Et vous ne m'en en parler que maintenant?!

- Je pensais que tu le savais.

- Et toi Azaël, tu le savais?

- Non! De toute façon, notre choix se tournera toujours vers le bien être de Ava.

- Je le sais.

- Mais cela t'arrange, avoue-le!

- Je ne prendrais jamais comme excuse le mal être des autre Azaël. Tu connais si mal ton père?

- Laisse nous en discuté et nous reviendrons vers toi bientôt.

- Ne tardez pas!

- Pourquoi ça?

- Je veux aussi profité de ma petite fille...

                                                                                        ☆☽●☾☆

- Si c'est une manigance de ton père, alors, je ne le savais pas aussi cruel.

- Je ne pense pas qu'il est tout manigancé. Et puis, il à raison! Ava pourrait grandir au paradis, et quand elle aura dix-neuf ans ou vingts ans, nous retournerons sur terre. Elle sera puissante, bien plus que toi et moi réunis.

- Et si on y retourne et qu'elle préfère le paradis?

- Ça sera son choix. De toute façon, n'oublie pas que nous sommes éternel...

- Tu as raison. Il faut pensé à son bien-être.

Moi même j'ai été tellement choqué d'apprendre que j'était un ange, que je ne veux pas que ma fille passe par le même chemin que moi. J'irais rendre visite à ma famille de temps à autres. Après tout, la seule chose qui change c'est le lieu. Et puis le temps qu'elle grandisse au paradis, sur terre, il ne se passera pas beaucoup de temps. Je crois que j'appréhende, la disparition de mes proches un jours. 

Je regarda la sublime petite fille que je tenait dans mes bras, et un sourire se dessina sur son doux visage d'ange. J'était conquise de par sa beauté, et de l'amour immense qu'elle me procurait. Elle se tourna vers moi pour me regardé, elle avait les yeux bleu de son père, en elle je voyais l'infinité des choses...

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