Chapitre 38

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Enfin!!! Une bonne douche sa fait du bien... Me dis-je en ouvrant la porte de la salle de bain qui donne sur ma chambre. Je sursauta, à la vu d'une silhouette à ma fenêtre.

- Tu m'a fais peur!

J'enleva la serviette qui enroule mes cheveux.

- Alors comme ça tu n'as "pas de mots"?!

Je rougis.

- Tu nous écoutais?

- Désolé, je n'ai pas pu me concentré sur autres chose qu'à toi, et à entendre comment bats ton cœur, tu es dans le même états d'esprit que moi.

- Ce n'ai pas bien d'utilisé ses sens pour me troublé... Lui dis-je en m'approchant.

Il me prend par la taille, 

- Ce n'est pas bien d'utilisé ces charmes afin de provoquer un ange...

Il enleva la serviette autour de moi, la laissa tombé à terre, je lui enleva sa tunique, ce qui lui procura le même effet que la première fois, je l'embrassa sur l'épaule, 

- Que veut dire ces symbole sur ton corps? Tu n'en avais pas avant!

Il me prit la main et me les fît toucher un à un,

- Celui-ci veut dire infinité. La marque représentait une spirale. Ici est écrit le nom de mon père, celui-ci, le mien. Puis tout en continuant de glissé ma mains sur son corps, j'arriva à son cœur. Et cette marque-ci, je te laisse deviné...

- Mon... Nom?

Il me prît dans ces bras, me posa sur le lit, 

- Oui, ici est écrit ton nom, Loa.

Son corps chaud se posa sur moi, m'embrassant encore et encore, avant de nous perdre l'un d'un l'autre. Les draps de la veille, serré entre mes doigts, explorant le plaisir de nos ébats, de plus en plus exaltant. 

                                                                                     ☆☽●☾☆

- Quel âge as-tu en vrai?

Se retournant vers moi, il dit,

- J'ai un certain nombre d'année, c'est vrai!

- Oui, mais quel âge?

Il se retourna pour regardé le plafond, m'attrapant discrètement la main.

- Cela à t-il vraiment une importance?

- Je voudrais juste le savoir.

- Si je te disais un million d'année, ou trois milliard d'année, cela changera t-il quelque chose?

- Non. Tu as raison.

- Ce n'ai pas que je ne veuille pas te répondre, mais le temps n'existe que sur terre. Au paradis j'ai... Il souffla. Neuf-mille-cent-vingt-cinq jours. Ce qui équivaut à peut prêt à vingt-cinq année sur terre. 

- Ça va, tu n'est pas si vieux!

- N'oublie pas que les jours au paradis sont différents comparé à la terre.

- Hum, c'est compliqué tout ça...

- Et toi tu parle beaucoup trop! Que veux tu faire aujourd'hui?

- Je veux d'avantage te connaître, je veux passé un maximum de temps avec toi...

- Alors vien avec moi.

- Tu sais bien que je ne peux pas. Même si être avec toi est la chose la plus fantastique du monde. Mais, j'ai ma famille ici, mes amis aussi.

- Je sais!

- Et je sais aussi, que tu devras partir un jours ou l'autre. Car les portes sont fermé et je t'ai invoquer. D'ailleurs, combien de temps dur une invocation?

- Je voulais t'en parler.

- Tu dois partir?

- Oui. Malheureusement, je n'ai droit qu'à quelques jours.

- Et si je t'invoquais encore?! Lui dis-je avec un sourire.

- Je viendrais. 

- Ça marche comme les génies?

- Les génies?

- Oui tu sais, le génie de la lampe?!

Il eu un fou rire, c'était la première fois que je le voyais rire à ce poing.

- On va dire ça, oui.

- Pourquoi tu ris alors?

- Tu me compare à un génies!

Boutonnant son jean, il continuait à rire silencieusement.

- Reste encore un peu, et cesse dont de te moquer.

- Je ne peux pas, tu le sais bien!

À genoux sur le lit, vêtu d'un grand t-shirt, je l'invita à me rejoindre avec un geste de la tête,

- C'est très tentant tout ça, mais je ne voudrai pas me retrouvé nu au paradis par mégarde.

- C'est vrai, que sa déplairait à Angèle!

Il arqua un sourcil en me fixant.

- Il n'y a rien entre elle et moi, tu le sais.

- Et entre elle et son imagination?

Secouant la tête, il vînt m'embrassé.

- Je doit y allé, père doit m'attendre en plus. Je l'ai complètement oublié. Les foudres vont tombé du ciel.

- Et moi je vais te rappeler...

- Alors rappel moi ce soir.

Il m'embrassa encore une fois, et tout en le ramenant vers moi je déboutonna subtilement sa tunique.

- Quand j'ai demandé ce que tu voulais faire aujourd'hui je ne pensais pas spécialement à ça. Chuchota t-il.

- Et moi j'ai supposé que tu en avais encore le temps...

Il souris.

                                                                                  ☆☽●☾☆

- Loa?

Je me réveilla en sursaut, Azaël était déjà partis. Je me leva pour enfilé un peignoir.

- Oui maman?

- Tu descends manger? Tu es resté dans ta chambre toute la matinée?

Ma mère à travaillé toute la matinée et l'heure ou elle est arrivé devait-être l'heure ou Azaël est partis.

- J'arrive.

                                                                                         ☆☽●☾☆

- Alors, ça va mieux?

- Oui, beaucoup.

- Loa, ça fait un ans que je ne t'ai pas vu et je constate que malgré tout ce que je vien d'apprendre tu ne me parle pas d'avantage. Ai je fait quelque chose qui t'a déplu?

C'est vrai que je ne l'ai pas beaucoup parler depuis ces derniers événement et j'en ai même oublier qu'elle savait tout maintenant.

- Excuse moi maman. J'oubliai que tu sais tout maintenant. C'est dernier mois n'ont été que révélation et surnaturel pour moi, et je ne pouvais rien te dire.

- Je comprends tout à fait, mais il n'y à rien d'autre de normal dans ta vie? Par exemple, tu ne m'a pas parler de tes rencontres à Paris...

- Oh ça... Tu sais déjà tout.

- Ah.

Je lui parlais la bouche pleine en regardant ce qui se passait à la télévision et c'est en levant la tête que j'ai pu lire la tristesse sur son visage. Et j'ai compris mon erreur.

- Pardonne-moi maman.

- Te pardonner de quoi?

- D'être partis comme ça, sans pensé à toi.

- Non ma chérie! Tu ne dois pas pensé comme ça. Je suis si fière de toi, de ce que tu es...

- Si tu veux, à partir d'aujourd'hui je te raconterai absolument tout.

Un sourire se dessina sur ces lèvres.

- Je veux bien! Donc tu me racontera ce qui se passe ces derniers jours dans ta chambre.

Je manqua de m'étouffé avec ma dernière bouché de riz. Je balbutie en essayant de lui répondre en ramenant mon verre d'eau à la bouche.

- Il... Il ne ce passe rien. Pourquoi?

- Je suis ta mère! Dit-elle avec innocence pour finir.

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