Chapitre 33

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- Alexis... Tu daigne enfin te montrer.

- Loa? Tu es en colère, et je te comprends tout à fait...

- Tu te souviens de Sarah, Wyatt, et Bastien?

- Vous avez remis le couvert! Dit-il avec ironie.

- Non nous n'avons pas remis le couver... Comme tu dis. Bref! Je ne t'ai pas appeler pour ça.

- Je suis désolé, je ne peux pas resté longtemps. Allons discuté ailleurs. 

Il ouvrit une sorte de portail. Et m'invita à y entré.

- Ils viennent aussi.

- À ta guise... veuillez entré.

Quand le portail se referma, il n'y avait que lui et moi. Dans une pièce sombre éclairé par une cheminée. Alexis s'assied sur un fauteuil en cuire rouge orné de bouton, le sol tapissé également de rouge, me faisait penser à la maison de mon grand père.

- Où sont ils?

- ne t'en fait pas pour eux...

- Où sont mes amis Alexis?

Il s'approcha de moi, je le regardais de haut avec méfiance.

- Il sont à l'abris.

Il ouvrit un genre de portail, où se trouvaient Sarah, Wyatt et Bastien, mais ils n'étaient pas seul, je m'y trouvais également avec Alexis.

- Mais qu'est ce que...

 - Ce n'est qu'une illusion! J'avais besoin de m'entretenir seul avec toi.

- Alexis, je ne sais pas ce que tu veux mais...

Il me coupa.

- Non! Toi qu'est ce que tu veux?! Me dit-il comme un homme d'affaire qui parle à un client. Les jambes croisé, la main frottant son menton, il me fixait.

- Ce que je veux? Je repris ma respiration. Je veux connaître l'histoire de cette pierre que tu m'a offerte.

Il se leva s'approcha de moi, caressa la pierre de mon cou, me regarda dans les yeux, cette connexion qu'il y avait entre nous n'avait pas totalement disparu, je le voyais dans son regard.

- Cette pierre à une longue histoire, très longue...

- Alors raconte la moi.

- Pourquoi?

- Parce que je me sent comme connecté à elle!

- C'est normal! Elle t'appartient. Dit il en avalant une gorgé de son verre de cognac.

- Oui tu me l'a donner, quel rapport?

- Non, non,non! Tu ne comprends rien! Elle t'appartenais déjà avant.

- Cette pierre est à moi? Mais comment?

- Crois-tu aux vie antérieur?

- Oui, j'en avais une avant je te signal!

- Nous sommes dans les année soixante, à cette époque la mode était les bar et ses chanteuse. Un jours où je m'ennuyais profondément sur mon trône en enfer, je décida de faire un tour à New-York, ville de tout les pêcher. J'ai ouvert un hôtel et cela ma plus, l'argent, les femmes, le pouvoir, être le maître de ces misérable humains. Cigare à la bouche, carte en main, j'allais battre le maire au poker, il ne savait pas mentir cet idiot. et c'est là que mon garde du corps est entré dans la salle de jeux te traînant par un bras.

- Moi? C'est impossible!

- Impossible existe encore dans ton vocabulaire? Tout est possible, une infinité de petite choses qui en entraînes d'autres.

- Continu.

- Ton regard! Si sur de toi, limite provocant à fait naître en moi ce sentiments que je pensais ne jamais connaître. Tu portais ce collier, et je te désirais, si fort que j'avais l'impression de retrouver mon âme, cette envie brûlante d'être avec toi, l'idée même de partager mon trône me vînt à l'esprit. Mais je l'avoue, je m'y suis mal prit.

- Que c'est il passer ensuite?

- Tu m'à craché à la figure, parce que je voulais te volé un simple baiser! Puis cet idiot d'Azaël est arrivé et tu es partis comme tu es venu. Néanmoins j'ai pu te prendre cet objet, qui pendants des année nourrissait mon désir de te revoir. Et un jours tu est réapparu, dans toute ta splendeur. J'ai retrouver cette hargne en toi, ce désir qui se cachait à l'époque au fond de toi. Bien que légèrement différente, tu es elle, Diana. Enfin c'est comme ça que tu te faisais appeler. 

- Je me souvient de ce jours! C'est vrai. J'était venu sur terre avec Azaël plusieurs fois déjà, j'étais captivé par la vie humaine. 

Flashback

- Il y a cette chanteuse qui passe ce soir à New-York, j'aimerais tant la voir Azaël...

- Je ne sais pas si c'est une bonne idée.

- Allez s'il te plaît! le suppliai-je.

- Bien, allons-y. Mais avant, j'ai un cadeau pour toi.

Il me le passa au cou.

- Il est magnifique Azaël...

- Pour que tu ne m'oublie jamais.

- Pourquoi voudrais-tu que je ne t'oublie.

Je lui prît les main et tourna avec lui dans un champs de blé.

☆☽●☾☆

Nous avons pu entrée sans que personne ne nous voit. Toute ces lumières! 

- Je vais aller nous chercher à boire, attends moi ici.

Pendant que je contemple, la beauté des lieu, un homme me prît par le bras.

- Petite salope, je t'ai vu entrée sans payer, le patron ne va pas être content.

Il me tira jus-qu'un couloir sombre, il ouvrit la porte,

- Patron?

- Lâchez-moi.

- Elle est entrée sans payer...

Cette homme me fixait, son regard répugnant sur moi, il s'avança me sera les joue, s'apprêtant à m'embrasser je lui cracha dessus, il tira un mouchoir de sa poche et s'essuya le visage, ricanant, cela avait l'air de lui plaire. Azaël entra dans la pièce, poussa le garde avant de s'enfuir avec moi. Le collier qu'il m'avait offert plus tôt avait disparu.

- Je m'en souvient. Lui-dit je en soupirant.

- Tu à l'aire d'être déçu Loa Heurt!

- J'ai eu ma réponse. Au revoir.

- Tu es en colère n'est ce pas?

- À ton avis?!

- Tu n'es toujours pas au courant n'est ce pas?

- Au courant de quoi? 

- De ce que ton petit copain à fait...

- Je ne veux pas parler d'Azaël, encore moins avec toi.

- Je t'ai manquer, n'est ce pas?

- Alexis.

Il se leva s'approcha, poignant mes cheveux, il m'embrassa, je lui rendit son baiser avant de le mordre. Reculant doucement il s'essuya les lèvres, son regard posé sur moi, désirant encore plus, je cracha le reste de sang dans ma bouche à terre, sans baisser les yeux. Toujours dans la provocation il s'avança de nouveau sur moi, m'empoignant les mains, m'allongeant sur son bureau, désireux d'avoir son dût. Mais que fais-tu Loa? Me dis-je à moi même. Son corps chaud de désir, il recula enleva son t-shirt, me prit par les hanches, me soulevant, pour me poussé vers le mur, il me regarda,

- Dit le. Dit le que je t'ai manquer...

Je ne savais plus ce que je faisais, il était si attirant, son regard si envoûtant, désireux de m'avoir pour lui, désireux de me possédé totalement, il m'embrassa la clavicule, je releva sa tête pour qu'il m'embrasse, en réfléchissant à un moyen de lui dire stop, car c'était si bon, mais ce n'était pas ça que je voulais, il faut que je me reprenne me répétai-je sans cesse dans ma tête, pour enfin le repoussé.

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