Sous le lila je lis de la poésie,

Respirant l'air fleuri

De ce petit coin de Paradis.

Les feuilles dansant sous ce doux vent

Semblent me parler tendrement

En me chantant cet air réconfortant.

La rose non loin de là éclore doucement.

Bientôt, elle répendra ce parfum odorant,

Enivrant petits et grands.

Son déjà là depuis longtemps

Ces primevères annonçant le printemps.

Chaque fleur à son temps.

À côté, dans le chant verdoyant

Des vaches broutant avec appétit

Me laissent entendre la forte mélodie

De leurs cloches en symphonie.