Kitty

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Moi, c'est Amandine. J'ai 8 ans et j'ai toujours voulu un chat. Un petit chat comme ma meilleure amie Cécile. Mais mon papa, il voulait pas. À la maison, on avait déjà Oslo. C'est notre chien, qui est gros et grand. Mon papa, il m'a raconté que les gros chiens, ça mangeait les petits chats. Mais je suis sûre que c'est faux. Maman aussi ne veut pas. Et mon grand-frère de 12 ans, il s'en fiche complètement. Mais c'est pas grave, je n'abandonnerais jamais.

Un soir, je suis rentrée de l'école avec mes deux super copines. Et ma copine Lucie, elle a parlé d'un sujet trop intéressant.

- Hé les filles ! Ma tata, elle a une chatte qui lui a donné 4 petits chats. Ils sont trooop mignons.

- Quoi ?! C'est vrai ? S'exclama Cécile. Moi aussi, j'ai un petit chat. Peut-être que je pourrais l'emmener et il pourrait se faire des copains.

- Moi, j'aurais le droit d'en avoir un quand j'aurais 9 ans. Ça sera le roux. Je vais l'appeler Toulouse.

- Comme dans les Aristochats ! S'écria Lucie.

- Vous avez trop de la chance les filles. Dis-je en déprimant. Moi, je veux trop un petit chat, mais mes parents ne veulent pas.

- C'est trop nul ! Nos petits chats auraient été copains tous les trois si tu en voulais un. Mais si la tata de Lucie est d'accord, on viendra chez elle à Bordeaux. Proposa Cécile.

- Trop bonne idée ! En arrivant à la maison, je vais demander à ma maman de l'appeler au téléphone. Demain à la récré, je vous dirais si elle a dit oui.

- Ah la récré ? Lui demandais-je.

- Bah oui ! Demain matin, j'irais chez le médecin pour mes poumons. Bon, à demain les filles, ma maison est juste-là.

- Ah, c'est vrai ! Se rappela mon amie Cécile. Alors à demain Lucie.

- À demain. Dis-je à mon tour.

Je suis partie de mon côté et j'ai dit au revoir à ma meilleure copine. J'avais complétement oublié le rendez-vous chez le médecin de Lucie. En marchant sur le chemin de ma maison, j'étais trop contente. Je vais peut-être voir les petits chats de la tata à ma copine Lucie. Je ne sais pas si je vais le dire à mes parents. Mais tant pis, je vais prendre mon goûter, faire mes devoirs et après, j'irai jouer avec Oslo avant l'arrivée du travail de papa et maman.

Le lendemain, j'ai crié de joie avec ma meilleure amie, quand on a appris que la tata de Lucie avait dit oui. Ce soir, en rentrant de l'école, je le dirais à mon grand-frère et puis à mes parents quand ils reviendront du travail. J'espère trop qu'ils seront d'accord. Mais souvent, ils disent oui aux invitations de personnes que mes copines connaissent.

Au dîner, j'ai beaucoup parlé de ça. Tellement que mon grand-frère n'a pas arrêté de soupirer en mangeant ses petits-pois. Mes parents ont aussi dit oui ! Ils ont appelé les parents de Lucie pour confirmer que j'allais venir chez la tata de Lucie et je pense que ses parents appelleront la tata de leur fille pour lui confirmer. J'étais tellement contente ce soir-là, que j'ai mis beaucoup de temps à m'endormir, dans mon lit bien chaud.

Le jour J (ce sont mes parents qui appellent un jour spécial comme ça.), Papa m'a emmené à Bordeaux, chez la tata de Lucie. C'était bien dans la voiture. J'ai vu les paysages de Bordeaux, avec les grandes rues et les immeubles au loin. C'est chouette d'habiter à côté d'une aussi grande ville. Mon papa, il n'a pas arrêté de me raconter des blagues. J'ai un peu eu le mal des transports, mais grâce aux blagues de mon super papa, j'avais pas trop mal au ventre.

Quand j'ai ouvert la portière, j'ai pris la main de papa et je l'ai suivi jusque dans la maison où j'étais invitée avec mes copines. Au début, j'étais un peu timide, mais dès que j'ai revu Lucie et Cécile, je suis tout de suite venue les voir. Mon papa, il a discuté avec la tata de Lucie. Quand je suis venue lui dire bonjour, il n'a pas aimé que je dise tata. Il préfère que je dise plutôt "tante". La dame était très gentille. Ça ne l'a dérangeait pas que je dise "la tata de Lucie". Et puis papa m'a embrassé et m'a dit avant de partir :

- Amuse-toi bien avec les chatons.

- À ce soir papa. J'ai dit en l'embrassant.

Il est parti et il a cligné d'un œil. J'ai un peu rigolé et puis, je suis vite revenue voir mes copines. La tata s'est levée et a décidé de nous montrer les chatons. Nous étions très excités, surtout Cécile et moi. Alors elle a ouvert la porte de la cuisine et elle nous a montré un panier ou se tenait la maman et les petits chats. On s'est approché et ont les a tous trouvés trop mignons. Lucie nous a montré Toulouse, le petit chat roux qu'elle aurait pour son anniversaire. Les trois autres étaient gris et blond. Mon préféré, c'était le petit chat gris avec des rayures. Cécile préférait le blond. La tata nous a dit que le gris était un mâle comme Toulouse et le blond une femelle.

J'ai adoré cette après-midi, avec les chatons, la gentille tata et mes copines. J'étais un peu triste quand papa m'a récupéré. J'ai dit au revoir à mes copines et je suis rentrée à la maison. Toute la soirée, je n'ai pensé qu'aux chatons. J'en voulais tellement un. Mais mes parents n'étaient pas d'accord, toujours pas. J'avais essayé de leur redemander, mais ils avaient encore dit non. Tout ça à cause d'Oslo, c'était injuste.

Cette nuit, j'ai rêvé que j'adoptais le petit chat gris. Mes parents avaient finalement dit oui et nous étions allés le chercher chez la tata de Lucie. Mais il s'est arrêté avant même que j'ai pu lui donner un petit nom, car ma maman m'a réveillé pour aller à l'école.

Le mercredi après-midi, je n'allais pas à l'école. Ça faisait plusieurs jours que je dessinais des chats dans mes cahiers d'écolière et que je rêvais d'en adopter un la nuit. J'en avais marre. Je détestais faire des caprices, comme le petit frère de Cécile, qui s'était roulé par terre pour avoir une sucette.

Alors, j'ai commencé mes devoirs et j'ai soupiré. J'en avais vraiment marre de ces devoirs de mathématiques. Mon frère avait de la chance, il avait des bonnes notes à l'école, presque sans travailler. En plus, il était allé voir son meilleur copain, comme il avait fait vite ses devoirs. Il avait emmené promener Oslo, dans les rues de ma ville. Mais ce qui tournait toujours en rond dans ma tête, c'étaient les chatons. J'étais en train de penser à tout pleins de choses, en machouillant mon crayon à papier. Et j'ai vu un drôle de dessin de bus, que j'ai retrouvé dans mon cahier de leçon de français.

- Eurêka ! J'ai crié, en pensant à mon père et à ma maîtresse, lorsqu'ils trouvaient ce qu'ils cherchaient.

J'avais un plan trop chouette. Le jour où la voiture était en panne, j'avais pris le bus avec mon grand-frère pour aller voir un concert de Jazz à Bordeaux. Il n'y avait que deux tickets que j'avais gagné à la kermesse de l'école, et mon papa, il avait du travail. Ma maman aussi, elle travaillait toute la journée. Alors, on a pris le bus et on est arrivé au concert. Alors je vais faire pareil, mais pour aller chez la tata de Lucie ! Papa avait noté son adresse dans son bloc note.

Alors, je suis monté en haut, et j'ai pris son bloc note, qui était sur son bureau. Je l'ai ouvert et j'ai vite retrouvé l'adresse. Alors, j'ai pris l'argent de poche que j'avais dans mon porte-monnaie et j'ai pris un panier où j'ai mis mon argent et l'adresse. Et j'ai enfilé mon manteau et mes chaussures.

Je suis sortie de la maison et j'ai ouvert le petit portillon avec la clé que j'avais trouvé dans un des tiroirs de l'entrée. En passant à l'extérieur, J'étais encore plus excité ! J'étais trop impatiente de revoir mon petit chat gris. J'ai marché jusqu'à l'arrêt de bus, et j'ai demandé à une Madame qui attendait aussi le bus, de m'indiquer lequel prendre :

- Bonjour Madame ! Vous savez quel bus, je dois prendre pour aller à cette adresse ?

- Oh, pour aller dans ce quartier de Bordeaux ? Il te suffira juste d'attendre le bus en direction là et d'atteindre cet arrêt. Mais tu es bien jeune pour rejoindre un endroit comme ça. Tes parents ne sont pas avec toi ?

- Non, ils m'ont autorisé à aller chez une copine qui habite-là. Et ils ne peuvent pas m'amener comme ils travaillent. Je mentis.

- D'accord, très bien. Ça te dérange que je te note ce que je t'ai dit dans le petit carnet qui est dans ton panier ?

- Bien sûr Madame ! Tenez !

La dame l'a pris et a marqué le nom du bus que je devais prendre et d'autres petites indications. J'étais bien contente de savoir lire. Sinon, prendre le bus toute seule aurais été trop compliqué ! Alors, je me suis assise par terre et j'ai ouvert le petit carnet de mon papa pour avoir le nom du bus.

La Madame est montée dans son bus et moi, dès que j'ai vu que c'était le bon, je me suis vite relevée et je suis montée très vite dedans. J'ai lui ai donné mon argent et j'ai demandé au chauffeur en lui montrant l'adresse, si c'était bien le bon bus. Et il m'a dit que oui. Alors je me suis assise à côté d'un vieux monsieur et le bus a démarré.

Pendant le trajet, j'ai eu un peu mal au ventre. Des fois, j'avais envie de vomir, mais je me suis retenue. J'ai aussi regardé le même paysage que j'avais vu des fenêtres de la voiture de mon papa. Comme j'étais devant, parce que ma maman avait dit ça à mon grand-frère, d'aller devant, à cause de mon mal des transports. Le chauffeur de bus m'a appelé pour me prévenir que c'était ma station. Je lui ai dit merci, et je suis descendue du bus.

Quand j'ai posé mes pieds sur le trottoir, j'ai senti que c'était bizarre d'être seule dans cette grande ville. Sans mon papa, sans ma maman, ni mon grand-frère. Alors, j'ai marché, et j'ai demandé à pleins de gens de m'indiquer le chemin. J'ai marché plutôt longtemps, et j'ai enfin trouvé la maison de la tata de Lucie.

J'ai fait sonner la sonnette, et elle m'a ouvert la porte.

- Oh ! Tiens. C'est la petite Amandine.

- Bonjour Madame !

- Tu es venue pour les chatons ?

- Oui, c'est mes parents qui m'ont dit de venir toute seule pour adopter un petit chat. Ils sont en train de travailler et mon grand-frère est parti avec son copain.

- Aaah. Je vois. Alors entre.

Je sais, j'ai menti deux fois. Mais si elle savait la vérité, elle se serait mise en colère. Je suis donc rentrée dans sa maison. Quand j'ai posé mon manteau, elle m'a expliqué que son mari était au travail, et qu'elle continuait d'écrire son roman. La tata de Lucie, elle est écrivaine. Ça doit être trop bien d'inventer des tas d'histoires que pleins de gens peuvent lire. Alors, elle a préparé une tisane pour moi.

- Un des chatons a été adopté. Tu viens pile au bon moment. Car j'ai mis une annonce pour que des personnes les adoptent. Sauf le petit roux, qui sera le cadeau d'anniversaire de ma nièce.

- Trop bien. Moi, je sais déjà lequel je vais adopter.

- Lequel c'est ? Me demanda-t-elle.

- Le gris !

- Ah. Dommage, c'est celui qui a été adopté.

- Pas grave. J'en choisirai un autre. Lui dis-je, un peu déçue.

- Alors, tu viendras choisir après.

J'ai bu ma tisane assez rapidement, pour voir le plus vite possible les chatons. Je suis sortie de table avec la tata de ma copine, elle est passée devant moi et je l'ai suivie. Quand j'ai entendu les miaulements des chatons, j'étais tellement contente de les retrouver, que je suis sauté sur eux. Elle avait raison, le petit chat gris avait disparu. Mais il y avait le chat blond que je trouvais trop mignon. Je sais très bien que Cécile le voulait aussi, mais c'était le seul qui me plaisait vraiment. Alors, je l'ai montré à la tata :

- C'est celui-là que je préfère.

- Très bon choix. C'est une femelle. Comment vas-tu l'appeler ?

C'est là que j'ai commencé à réfléchir. Je savais pas trop comment l'appeler. J'hésité vraiment longtemps, et en repensant à la trop belle collection de gomme de ma meilleure amie, j'ai trouvé.

- Je vais l'appeler Kitty. Comme Hello Kitty.

- Oh ! C'est un mignon petit nom. Alors tiens, prends-le avec toi. Maintenant, il t'appartient.

En le prenant dans mes bras, j'ai sauté de joie. C'était vraiment Kitty, la plus mignonne du monde. Kitty avait eu un peu peur quand j'ai sauté, mais dès que je l'ai caressé, il s'est mis à ronronner.

- Merci beaucoup Madame. C'est très gentil de m'avoir donné un petit chat.

- Je t'en prie. C'est normal voyons !

Alors, je me suis un peu amusé avec lui. J'y ai passé beaucoup d'heures. Kitty était vraiment très joueuse et elle adorait essayer d'attraper le bout du fil que j'avais trouvé. Mais j'en ai eu marre. Alors, j'ai annoncé que je repartais à la maison :

- Madame, je pense que je vais devoir partir. Merci de m'avoir accueilli ici. Et merci pour Kitty.

- Tu pars ? Et comment tu vas rentrer ?

- En bus, comme pour venir ici !

- Tu ne préférerais pas que je te ramène chez toi ?

- Heu... Mais vous ne connaissez pas mon adresse. Me rendis-je compte.

- Bien sûr que si. Avant de partir, ton père m'a donné votre adresse, au cas où il ait un empêchement. Tu habites dans la ville à côté. Alors, ça sera rapide. C'est à toi de voir, mais vu ton jeune âge, il serait préférable qu'un adulte t'accompagne.

- ... Bon, d'accord. Comme vous voudrez Madame.

Alors, elle a prit son propre carnet et c'est comme ça qu'elle s'est rappelée de mon adresse. Heureusement que papa avait été là pour lui dire. J'ai enfilé mon manteau, prit mon petit chat avec moi et j'ai suivi la tata de Lucie, jusqu'à sa voiture. J'y suis monté dedans, et elle m'a amené jusque là où j'habitais.

Dans la voiture, Kitty avait vomi. On dirait qu'elle aussi, elle avait le mal des transports, comme moi. Comme dans le bus, j'ai eu mal au ventre et un peu envie de vomir. Heureusement, la route était rapide, et je suis vite arrivée chez moi. La tata m'a déposé et on s'est dit au revoir.

Kitty était dans mes bras, endormie. J'ai pris la clé qui était dans mon panier. Quand j'ai ouvert la porte, j'ai eu un sentiment bizarre. J'ai avancé lentement. Je sais pas pourquoi, mais je suis toujours super contente quand je reviens à la maison. Mais là, je n'avais pas un bon moral. J'ai senti une bonne odeur sortant de la maison. Ça sentait tellement bon, que ça m'a attiré beaucoup plus vite jusqu'à la maison.

Là, j'ai entendu un aboiement. C'était Oslo ! Kitty se réveilla, et se cacha dans mon panier. Moi aussi ça m'a fait peur. Mais surtout, quelqu'un est sorti de la maison. C'était mon papa. Oh non ! Ils étaient déjà arrivés. J'avais tellement peur. Je savais qu'il allait me gronder très fort, après toutes les bétises que j'avais faite. Mais je voulais mon petit chat. Il s'est approché de moi, et m'a tiré les oreilles très fort.

- Amandine ! Pourquoi es-tu partie toute seule hors de la maison, et que fait ce chat ici ?!!

Je n'arrivais pas à répondre, les larmes commençaient à monter. Il fallait que je m'y attende, mon papa était capable de me gronder très très fort. Alors, j'ai beaucoup pleuré, et avec mon Kitty, Oslo a continué à aboyer. Je me suis assise dans la cuisine, avec une Kitty qui avait vraiment peur et j'ai tout expliqué à mon papa.

- Franchement. Ne fais plus jamais ça. Tu es trop petit pour faire ça. Surtout qu'en plus, c'était pour ramener un chaton. Ta mère et moi, nous te l'avions interdit !

- Ma-mais. Mes copines, allaient toutes avoir un petit chat, et pas moi. Tout ça à cause d'Oslo !

- Ce n'est pas de la faute du chien. Il faut arrêter de faire sa tête de mule et plutôt écouter ses parents.

- Pa-pardon, désolé. Mais s'il te plaît. Est-ce qu'on pourrait garder Kitty ?

- Je verrais avec ta mère. Pour l'instant, je ne préférais pas. Avoir un chat et un chien, ça ne fait pas bon ménage. Alors monte dans ta chambre, et dès que maman rentrera, on va en reparler tous ensemble.

- D'accord papa.

Je lui ai obéi, et j'ai pris mon petit chat avec moi. La pauvre. Elle avait vraiment été secouée aujourd'hui. Alors, je l'ai caressé longtemps, et elle s'est remise à ronronner.

Quand ma maman est arrivée, j'ai sauté dans ses bras, et je lui ai tout expliqué. Comme papa, elle était en colère contre moi. Mais elle ne m'a pas pincé l'oreille. Elle déteste faire ça. Car ma maman, est la plus gentille des mamans. Alors, mon papa et ma maman ont beaucoup discuté. Et j'ai eu le droit de regarder un dessin-animé, avec mon grand-frère.

Finalement, après le dîner, mes parents sont allés nourrir notre chien, et ils m'ont expliqué s'ils étaient d'accord ou pas, pour garder le chaton :

- Bon. Tu as été très désobéissante aujourd'hui. Tu n'aurais jamais dû partir seule à Bordeaux. Tu n'as que 8 ans. Et puis nous ne voulions pas de chat. Mais nous avons réfléchi. Je sais que tu voudrais faire pareil que tes copines. Et surtout, lorsque j'ai rencontré la tante de ton amie, je l'ai trouvé très sympathique. J'ai vu l'annonce en marchant dans les rues de Bordeaux. Et finalement, nous pensons que...

- Je peux le garder ?

- Oui ma chérie, tu as le droit de garder ton chaton. Par contre, tu devras le surveiller pour qu'il évite d'être trop en contact avec Oslo, et c'est toi qui t'en occuperas le plus. C'est d'accord ?

- Ouiii ! Merci papa, merci maman !

Je leur ai fait un gros calin et pleins de bisous. J'étais vraiment la plus heureuse du monde ! Et surtout, je me suis rendu compte que j'avais les meilleurs parents de l'univers. Mon frère aussi, il a fait connaissance avec Kitty. Depuis ce jour, je ne suis plus jalouse de mes copines et surtout, on n'arrête pas de parler de nos petits chats à la récré !

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Voilà un premier défi conclu ! J'espère que l'histoire vous aura plu, même si elle est plutôt longue. Je tiens à préciser que je me suis inspiré de véritables faits réels, que j'ai pas mal transformé et romancé. Pour les annotations, ça ne sera pas nécessaire pour l'orthographe. Dans le défi, nous avions le droit d'en faire quelques-une. Donc voilà, je vous remercie si vous prenez le temps de mettre un avis et je vous dis à bientôt !

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