Virgule au Paradis 10,

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Bonjour adorable maîtresse, oui je sais, j'ai oublié de t'écrire; c'est pas facile! Choupette me colle un peu trop. Mon espace libertin en a pris un coup, je crois que la sanction ne va pas tarder à tomber.

Tu sais que la haut, je suis bien placé pour voir votre activité.

Mais là chapeau, couper cette odeur de kérozène, je n'ai pas compris de suite. Vous les avez mises ou vos férailles volantes? Je m'étais tellement habitué aux bruits des réacteurs que je dormais comme un chat , quoi!. c'est vrai on dort assez souvent. Devine ce qui trouble mon sommeil maintenant? Les piafs qui gazouillent la nuit, le jour tout le temps, ils me narguent. Le pire quand je me suis penché vers le bas, plus de klaxons, les rues, les routes, les villes, les campagnes le grand désert. Quand vous prenez une décision, vous ne rigolez pas. Tout d'abord je me suis dis le banquier à fumé un pétard de trop, il faut que je descende. Quelle fut ma surprise quand mon pote du bas , m'a raconté ce qui se passait. La petite bébéte était en train de faire du ménage, elle avait même passé la vitesse supérieure. Il s'était retiré dans sa petite maison, comme à son habitude, il pianotait devant l'ordi.Tu connais ma curiosité, il commençait à écrire sur des femmes en blanc, c'est là que j'aperçois (tenue sexy). Mon coeur s'est emballé, qu' es ce qu'il allait m'inventer encore? Hé bien non il rendait hommage aux nanas qui soignent les bobos. Vous les appelez les infirmières, il y a plus qu'elles qui bossent, quelques mecs aussi, mais il les a un peu oublié. C'est pas compliqué, il m'a expliqué qu'elles menaient la bataille de front, et tout le reste, j'ai cru 14-18 à Verdum.

Ecoutant mon coeur et mon instinct de sauveur, je me devais d'aller sur place. Tu sais maintenant quand je démare, c'est plutot Arianne 5 que la deudeuche à Annie.L'attérissage ce jour là m'a emmené dans une bourgade, même pas répertoriée sur la carte. Enfin j'y suis j'y reste, et l'idée m'a pris de rentrer dans cet hopital local.

Whaou! je me suis cru dans le vestiaire de Chanel, des canons de tous les côtés, il y avait juste ses masques qui me perturbaient un peu. Tu connais ma timidité, elles étaient en pause, bien sur je suis invisible, ça papotait, une sur son mec qui la trompait, l'autre sur le chien du voisin ,bref.

Au fond assise, devant ce bureau une qui sortait du lot, le décolleté très appétissant, tu sais prêt à exploser les boutons. Je me devais de l'approcher, le problème, c'est qu'elle m'a découvert, oui elle a un bouquin spécial...

Bon sympas, j'ataque , en faite dès qu'elle a une pause, c'est sa passion elle écrit. Elle me demande de lire son texte...Tu me connais, rien ne m'impressione, mais là ce n'était pas le manège enchanté mais plutot, l'ivresse du plaisir et des sens, dans tous les sens d'ailleurs. Je me suis permis de lui remonter le moral, un peu comme avec toi, peut être plus en détails quand même.

Je serais bien resté , mais déjà Choupette cherchait à me joindre.Il a bien fait mon pote de rendre cet hommage, c'est pas le club med ici, juste l'enfer.

Je dois partir, mais à très vite ma Maue.

Bisous de ton Virgule...

LUI et son pote,

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