Episode 34 : Leo et Hana

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ATTENTION ! Ce chapitre tout entier est un contenu mature avec des détails bien croustillants XD C'est la première fois que j'écris un truc aussi olé olé, donc j'ai super hate de connaitre votre avis ! Bonne lecture :D

Hana se raidit de surprise. Leo était en train de l’embrasser. L’embrasser.

Son premier réflexe fut de le repousser, mais ses lèvres étaient délicieusement douces et chaudes… Et la voila qui répondait au baiser…

Au prix d’un effort colossal, elle finit par reprendre ses esprits et s’écarta du jeune homme, les joues écarlates et le souffle court. Elle se sentait bouleversée. La bouche de Leo contre la sienne avait ravivé des sensations qu’elle avait cru révolues depuis longtemps.

Ce dernier semblait tout aussi ébranlé qu’elle. Le vide et le froid dans ses yeux avaient disparu… et ce regard… c’était comme si le Leo qu’elle avait connu était revenu. Sans réfléchir, Hana glissa alors une main derrière la nuque du jeune homme et l’attira vers elle. Elle voulait retrouver ce Leo.

Dès que leurs lèvres et leurs langues se rencontrèrent à nouveau, ce fut comme si plus rien n’avait d’importance. Tout ce qui comptait c’était leurs baisers passionnés, leurs corps furieusement pressés l’un contre l’autre.

Les mains d’Hana caressèrent la nuque de Leo, descendirent sur ses épaules, griffèrent son dos, puis effleurèrent son torse du bout des doigts. Son cœur battit la chamade lorsqu’elle caressa ses abdominaux parfaits…

Elle sentit les mains du jeune homme se balader fiévreusement dans son dos, caresser ses hanches, puis saisir ses fesses et les malaxer doucement, la faisant frissonner de plaisir. Elle rejeta la tête en arrière. Leo fit courir ses lèvres le long de sa mâchoire, dans son cou, au creux de sa gorge… laissant chaque centimètre carré de sa peau en feu.

Puis ses mains saisirent ses cuisses et il la souleva sans difficulté en reprenant possession de sa bouche. Hana enroula instantanément ses jambes autour de sa taille et noua ses bras autour de son cou sans cesser de l’embrasser.

Ils basculèrent sur le lit et elle sentit le corps de Leo peser délicieusement contre le sien. Elle gémit contre ses lèvres lorsque ses mains se glissèrent sous son vêtement pour caresser sa peau, remonter le long de son ventre et saisir ses seins. Hana en voulait plus.

Elle ressentait le besoin d’être nue contre Leo, sentir sa peau contre la sienne…

Comme s’il avait lu dans ses pensées, le jeune homme lui retira fiévreusement sa chemise et fit de même avec son pantalon, ne la laissant plus qu’en sous-vêtements. Il resta un moment à l’admirer avant de revenir sur elle pour l’embrasser fougueusement.

Peau contre peau, le souffle court, ils échangèrent de longues étreintes passionnées. Puis Hana soupira de bonheur lorsque Leo la parcourut de baisers doux et humides.

C’était comme si son corps avait attendu ce contact tout ce temps. Malgré toutes ces années passées, Hana n’avait jamais trouvé ni ressenti cette passion qu’elle avait toujours partagée avec Leo. Lorsqu’il remonta vers son visage et que leurs regards se croisèrent, elle sut que le sentiment était partagé.

Les yeux verts du jeune homme étaient remplis de désir. Ils la regardaient avec une telle intensité qu’à cet instant précis, Hana ne désirait que d’une chose : lui.

Elle avait envie qu’il lui fasse l’amour. Elle le voulait en elle.

Elle le repoussa doucement, puis s’installa à califourchon sur lui. Elle détacha ensuite lentement son soutien-gorge, sans rompre le contact visuel entre eux.

Leo se redressa légèrement en s’appuyant sur un coude, tandis que son autre main effleurait ses seins. Il se passa nerveusement la langue sur les lèvres, visiblement très excité. Hana le sentait d’ailleurs durcir sous elle, une douce chaleur se répandit dans son bas-ventre.

Elle ne se fit pas prier pour enlever sa culotte et lui se débarrassa également de ses derniers vêtements. Enfin nus l’un contre l’autre, ils s’embrassèrent à perdre haleine. Hana sentit le sexe dur et dressé de son amant qui frottait délicieusement contre sa cuisse.

Elle l’empoigna délicatement et entreprit de le caresser sur la longueur en ondulant doucement contre lui. Leo gémissait de plaisir contre sa bouche.

Hana continua ses caresses sans cesser de l’embrasser, jusqu’à ce qu’elle ne tienne plus. Haletante et les joues en feu, elle se plaça de manière à ce que le sexe de Leo soit juste tout contre le sien, puis d’un geste lent et sensuel, elle le fit glisser en elle. Le jeune homme murmura son nom d’une voix rauque, tandis qu’Hana soupirait de bonheur. Elle avait oublié à quel point il la remplissait si bien !

Elle n’avait jamais été aussi excitée de sa vie, et se mit à bouger doucement, puis de plus en plus vite sur lui.

Chaque mouvement provoquait un véritable déferlement de plaisir. Les yeux fermés, Hana savourait les mains de Leo qui lui caressaient les hanches, les seins... tandis qu'elle ondulait sans retenue ni pudeur contre lui. Le son de sa respiration haletante l'excita encore plus... et dire qu'il y a encore un instant, elle prétendait le détester !

Alors qu’elle était au bord de l’extase, Leo se redressa brusquement et la fit basculer sous lui. Toujours en elle, il fit remonter ses bras au-dessus de sa tête dans un mouvement terriblement érotique. Puis, il l’embrassa doucement.

Hana gémit contre sa bouche en soulevant le bassin, la poitrine offerte et les tétons dressés. Leo garda ses mains prisonnières, lorsqu’il commença à bouger en elle.

Le corps complètement arqué de plaisir, la jeune femme savourait chacun de ses coups de rein. Elle avait l’impression d’être en feu. Un petit cri s'échappa de ses lèvres lorsque tout son être fut soufflé par l'orgasme. C'était si intense qu'elle en resta complètement tremblante et pantelante.

Leo ne tarda pas à venir également, Hana frissonna de plaisir lorsqu’elle le sentit se contracter et se déverser en elle, mais surtout gémir dans son cou.

Envahie par une agréable sensation de bonheur et de bien-être, elle le serra tendrement contre elle, il se laissa aller à cette étreinte en déposant un petit baiser au creux de sa gorge.

C’était juste parfait.

Ils s’endormirent ensuite blottis l’un contre l’autre, dans un petit cocon rien qu’à eux.

La résolution des problèmes pourra attendre encore un peu.

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