Chapitre 94.  Brigitte à Bourg en Bresse

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### Brigitte ###

Ah, quel plaisir de retrouver Pierre et ses femmes ! Ninah était toujours ma favorite ! Pierre, savait doser ses caresses entre sa légitime et sa « petite sœur », mais même moi je me remémorais nos ébats et j’adorais ses caresses.

En rentrant, je me couchais seule dans mon lit, pour le lendemain j’avais des plans de leur faire visiter le monastère royal de Bourg en Bresse puis de les amener chez moi, pour refaire une dernière séance de câlins. Rien que d’y penser, je sentis ma fente se remplir de mouille ! Je rêvais des caresses de Ninah et ne pus résister à glisser mes doigts au plus profond de mon vagin. Cela ne me calma pas et je sortis de ma table de nuit mon gode vibrant favori. Il ne me fallut pas longtemps pour grimper dans mon plaisir.

Heureusement j’avais mis une alèse en dessous de mes fesses car dès que je mis le vibro en marche, la cyprine coula abondamment. Je ne pus maîtriser mes cris de jouissance je ne dérangeais personne car n’avais pas de voisins immédiats !

Apaisée, je m’endormis en rêvant de Ninah et Amina, assez étrangement Pierre ne vint pas me rejoindre dans mes rêves !

Mon réveil me sortit du lit au matin, j’avais toujours le gode dans mon vagin ! ça ne m’étonna pas d’avoir eu un rêve aussi porno ! Une bonne douche me remit à l’endroit ; comme on avait convenu de prendre notre petit-déjeuner ensemble je rejoignis mes amis qui étaient déjà attablés dans la salle du restaurant.

– Brigitte, tu as encore les yeux amortis ce matin !

– Oui Pierre, j’ai repensé à nos jeux et j’ai dû te remplacer par un vibreur !

– Ça alors dit Ninah, je ne suis pas la seule à me satisfaire de temps à autre d’un jouet !

– Pourtant Ninah, tu as un homme sous la main !

– Oui Brigitte, mais depuis le mariage il ne parvient pas à suivre nos besoins. L’herbe de taureau n’a pas la même efficacité que celle de Kinshasa ! Et puis Amina a beaucoup de retard à combler ! Je vais donc stimuler son sexe par des remèdes ancestraux !

– À ce point ! Amina je ne te voyais pas sous cet angle !

– Que veux-tu Brigitte, je n’ai rien d’autre à faire, avant, mon travail me changeait mes idées, mais ce voyage de noces me concentre uniquement sur le sexe. Et puis c’est ma lune de miel !

– Amina tu as une mine épanouie en tout cas ! Bien, si nous sommes prêts on pourra y aller. Le Monastère est vraiment tout près et comme il fait beau on pourra y aller à pied.

Pierre en sortant prit ma main, Ninah prit mon autre main et Amina se serra contre Pierre. J’étais bien entourée ! Ninah osa même m’embrasser dans la rue sous l’œil amusé des passants.

À l’entrée du Monastère, nous nous désengageâmes pour respecter la sainteté du lieu. L’édifice gothique impressionna beaucoup mes deux amies. Pierre qui en savait un bout sur l’histoire de France, nous informa que le monastère fut bâti sous l’initiative de Marguerite d’Autriche en mémoire de son mari Philibert le Beau entre 1506 et 1512. Pierre nous conduisit vers les gisants.

Ninah trouva les gisants tellement beaux, elle vint contre moi :

– La femme est au-dessus de l’homme ! dit-elle.

– Normal, répondit Pierre, Il est mort avant la construction de l’église.

– Et l’autre femme au milieu ?

– C’est la belle-mère de Marguerite d’Autriche, donc la mère de Philibert, elle s’appelait Marguerite de Bourbon. Elle n’a pas eu une vie très heureuse, son fils Philibert à d’abord épousé une cousine de neuf ans lorsqu’il avait seize ans. Mais elle meurt à douze ans.

– Oh, elle n’a pas profité de son mari alors ! Pourquoi se marier si jeune ?

– C’était un mariage arrangé, dit Pierre. À l’époque les princes se mariaient en fonction des alliances de leurs parents. De plus en secondes noces, Philibert épouse Marguerite d’Autriche mais meurt à vingt-quatre ans trois ans après son mariage !

– Et sa veuve s’est remariée ?

– Non, cette fois, elle est restée seule, elle a refusé tous les beaux partis que ses parents lui proposèrent. Car même si le mariage était arrangé, elle était devenue amoureuse de son mari et a voulu porter son deuil.

– C’est vraiment triste ! dit Ninah. Elle se colla contre moi en serrant mon sein.

Son étreinte me procura des frissons dans le bas-ventre. Comme Pierre et Amina examinèrent en détail les gisants, je pris Ninah par la main pour nous isoler dans une pièce adjacente. Ninah compris immédiatement et nous eûmes une longue étreinte. Ninah gémit sous mes caresses mais nous ne pûmes conclure car Pierre nous cherchait.

Pierre devina immédiatement que je voulus des caresses de Ninah et proposa de retourner à l’hôtel.

– Pierre, demandais-je, tu comptes partir demain ? Quel est ton programme ?

– Nous allons dans les environs de Sainte Maxime où un ancien collègue me propose la location de sa villa spacieuse avec quatre chambres et une piscine. Si tu as du temps libre tu peux nous rejoindre ! En train, c’est faisable et je peux venir te chercher à la gare.

– Non, Pierre je viendrai en voiture. Fin de semaine j’ai quinze jours de break. Je pourrais venir prendre mes vacances avec vous ! Tu me donneras l’adresse. Je viendrai directement de l’aéroport de Saint-Exupéry. Ou alors je prends l’avion jusque Nice où tu pourras venir me chercher. J’ai suffisamment de tickets gratuits !

– Cela me parait une bonne idée, comme cela les filles verront un peu le pays.

Entre-temps nous arrivâmes à l’hôtel et sans délai je défis les vêtements de Ninah et voulus m’isoler avec elle. Pierre avait d’autres plans et proposa de prendre la grande chambre de la suite où un lit King-size nous permit de nous coucher tous les quatre.

– Génial ! dis-je, Pierre tu veux un plan à quatre ?

– Oui, Brigitte comme Amina n’a plus de restrictions je pourrais jouer avec toutes sans limite à condition de ne pas jouir trop vite !

– Pas de problème dit Ninah, j’ai un baume comme celui que j’ai fourni à Jaspar, tu banderas comme un éléphant toute la nuit !

Je me déshabillai pendant qu’Amina et Ninah défirent les vêtements de Pierre. En voyant Ninah masser le chibre de Pierre avec la fameuse pommade, je fantasmai déjà de pouvoir alterner les jouissances avec Pierre et les filles. Dès que l’engin de Pierre était prêt, Amina en tant qu’épouse (légitime) demanda la priorité et sans préambule d’en profiter ! Ninah prit les seins de sa sœur pour les masser pendant que je glissai une main entre le corps de Pierre et de sa femme pour caresser son clito et un doigt dans la rosette d’Amina pour y enfoncer ultérieurement le gode vibrant.

– Oh oui Brigitte, à trois, je sens que je vais jouir très vite ! Oui, Pierre ramone-moi, sans restrictions ! Donne-moi ton sperme ! Je veux profiter pleinement de nos rapports ! J’ai attendu assez longtemps avant le mariage pour en profiter maintenant.

Amina ne fut pas longue à venir, elle cria longuement dans les aigus et prononçant nos prénoms à tour de rôle et finit par demander grâce. J’attendis que Pierre allât continuer avec Ninah, mais il me choisit pour me prendre avec son engin toujours aussi raide et au bout de longs allers-retours, je ne pus me retenir et subis un orgasme violent. Ninah, elle mit sa langue à la place de l’engin de Pierre et je ne fus pas longue à profiter d’une deuxième vague alors qu’Amina suça le sexe de Pierre qui poussa un troisième râle libérateur.

Nous restâmes nus et entremêlés pendant un long moment, s’endormant un peu pour récupérer, puis les deux filles me prirent aux seins et à mon intimité pour des caresses sans violence. Je me réveillai pour répondre à leur invite mais Amina guida ma main sur le sexe de Pierre.

– Profites-en Brigitte, Pierre va rester dur encore quelques heures ! Le baume de Ninah aura encore de l’effet pendant quelques heures. Les caresses vont le soulager ! Car l’érection doit être calmée sous peine de le faire souffrir !

J’en profitai pour le prendre bouche, son sexe chaud me donnait envie et pendant bien longtemps je passai ma langue et mes lèvres sur son engin jusqu’à une éjaculation ultime qui finit par le débander !

NDA : eh oui les remèdes africains sont efficaces, Pierre en est conscient ! Tenir ce rythme avec trois femmes au lit demande de la performance !

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