Chapitre 87. -  Le mariage d’Amina.

13 minutes de lecture

### Amina ###

On a beau souhaiter cet évènement depuis de nombreux mois, le jour est enfin arrivé et je suis stressée !

Ce soir, je serai la femme de Pierre ! Mes collègues du bureau sont jalouses, moi la petite assistante du département juridique, j‘en aurai fait du chemin !

Je serai la femme du directeur général adjoint, c’est un français, il est riche, je me suis mise dans son lit et maintenant il m’épouse ! Voilà ce que disent les femmes envieuses et médisantes. Quelques anciennes collègues connaissent la vérité et sont heureuses de ma situation !

Maman est également nerveuse, toutes les femmes de la suite sont habillées. Moi, je suis encore habillée d’un t-shirt et d’un string et j’attends de passer la première robe pour le mariage. J’ai déjà essayé la deuxième et la troisième robe ; elles sont parfaites !

Maman arrive enfin avec ma robe, la première ouvrière Pauline tient à bout de bras la traîne et arbore un grand sourire.

– Amina, ne t’inquiète pas ! Les derniers détails sont réglés, tu seras superbe. Enlève ton t-shirt !

Je suis quasi nue, je me suis jamais trouvée nue devant Pauline ! Elle me regarde avec admiration.

– Amina, tu es vraiment jolie. Tu rendras ton mari heureux, lorsqu’il te verra ce soir sans vêtements !

Je ne pouvais pas lui dire que Pierre me voyait nue depuis longtemps !

– Merci, Pauline, je suis certaine qu’il sera heureux !

Maman avait entendu le commentaire de son ouvrière, mais ne dit rien. Elle me fit juste un clin d’œil laissant la fille dans l’ignorance. Puis elle me passa la robe, je me voyais dans le grand miroir sur pied : elle était magnifique. Mes épaules nues, le haut de mes seins, tout était superbe. Ma poitrine était soutenue par le bustier incorporé dans le haut de la robe. On voyait nettement mes seins libres jusqu’aux bords des aréoles. J’adorai cette sensation de liberté ! Tous les regards des assistants convergeraient sur ma poitrine !

Maman me prévint quand même de ne pas me pencher trop loin vers le sol, mes seins pourraient apparaître ! Mais tant que je restais droite et même légèrement penchée je ne risquais pas grand-chose.

L’avantage était que je pouvais respirer à mon aise, mon torse n’était pas compressé. Je pourrai rester calme pendant toute la cérémonie !

– Maintenant, la robe est vraiment parfaite dit maman, si tu trouves que tes seins sont trop découverts, j’ai préparé un petit voile qui réduira la vue plongeante de ton décolleté.

– Non maman, je suis à mon aise ! D’autant plus que pour le repas de ce soir, la deuxième robe est un peu plus discrète, et ne scandalisera pas les hommes qui voudront danser avec moi !

Grâce au DG, la cérémonie serait combinée comme au mariage de sa petite sœur, l’officier d’état civil et le pasteur étaient présents. Mais durant la préparation de la cérémonie maman avait longtemps hésité à savoir qui me conduirait à l’autel. Maman à juste titre ne voulait pas que ce soit Jaspar, car leur relation était encore toujours incertaine. De plus maman ne voulut pas encore divulguer publiquement que Jaspar couchait fréquemment dans son lit.

Durant plusieurs jours elle resta pensive et finalement son choix se porta sur Célestin, le DRH, plutôt que le DG qui serait le témoin de Pierre. Je soupçonnai le DRH d’avoir profité de temps à autre des faveurs de maman. Il était divorcé depuis longtemps et venait souvent à l’atelier et à la maison avec l’excuse de choisir des tissus et des robes pour son unique fille qui était un peu plus jeune que moi. Sa fille était d’ailleurs dans ma suite, elle vint m’embrasser lorsque je fus habillée.

– Amina, tu es magnifique ! dit Nia en m’embrassant délicatement sur la joue. Mon père est vraiment fier de te conduire pour ton mariage !

– Mais toi aussi tu es belle comme une poupée ! Les garçons vont se précipiter pour te faire danser !

– Non, Amina, je vais te révéler un secret, mon petit ami Félix, va profiter de l’occasion pour demander ma main à mon père ! Il a obtenu son diplôme d’ingénieur agronome et a postulé pour travailler dans l’entreprise de papa et Pierre ! avec ces deux sponsors je suis certaine qu’il obtiendra un emploi.

– Nia, présente le nous après la cérémonie ! Pierre pourra sans doute parler en sa faveur ! N’oublie pas que le DG est le témoin de Pierre, cela devrait faciliter son engagement !

– Voilà papa qui arrive, je te souhaite un grand bonheur dit Nia, on se reverra plus tard !

Célestin s’approcha de moi, il était très élégant !

– Bonjour Amina, je suis vraiment honoré de remplacer ton père pour te conduire à ton époux ! Tu es magnifique ! Lysa s’est vraiment surpassée !

– Merci Célestin, oui maman a tenu sa promesse, elle a habillé je ne sais combien de mariages, mais a tenu à ce que le mien soit un coup d’éclat !

– Et vu le nombre d’invités, cela lui fera encore beaucoup de clients à l’avenir, dit-il.

– Oui, mais ce ne sont pas tous des invités à la fête ! L’accès à la cérémonie est ouvert à tout le monde ! Même si beaucoup de spectateurs se sont mis sur leur trente-et-un !

Puis la musique retentit et nous donna le signal d’avancer dans l’allée entre une foule de sympathisants et de curieux. Tout au bout je voyais mon homme qui m’attendait patiemment dans un magnifique costume !

Je jetai quand même un coup d’œil pour regarder la vingtaine de filles toutes en long dans des robes identiques dans un tissu bleu avec quelques fleurs et feuilles blanches ! Elles étaient toutes souriantes et fières de faire partie de la suite. Nina et Nia étaient au premier rang et marchaient bras dessus bras dessous calquant leur pas sur les miens.

L’officier de l’état civil ne fit pas de long discours ; il vérifia l’identité des mariés et des témoins. Ninah put présenter sa toute nouvelle identité, elle était maintenant très officiellement la sœur d’Amina alors que ses parents n’étaient pas connus. Je ne me demandais par quel tour de passe-passe Pierre avait réussi ce changement, sans doute grâce à la complicité de la Sécurité Nationale et de l’Ambassadeur de France !

Nous échangions nos volontés de nous marier avec un « oui » clair de Pierre, je fus trop émue mais je pus quand même répondre de façon audible pour les plus proches. Nous signâmes tous les divers documents relatifs au mariage civil. L’ambassadeur de France me remit mon nouveau passeport établi la veille qui me désigna comme citoyenne française épouse de Pierre avec un baiser sur chaque joue et les félicitations sincères.

La cérémonie religieuse fut un peu plus longue, le pasteur invitant les présents à prier pour que notre union soit longue et heureuse ! Nos anneaux nuptiaux furent bénis et Pierre me glissa une double alliance : Une simple pour tous les jours et une sertie d’une couronne de petits diamants pour parader et qu’il avait choisie sans me consulter.

La bague que je mis au doigt de Pierre était simple mais plus large que la mienne. Avant de nous diriger vers la salle de réception, Pierre s’isola avec Ninah et moi et glissa une alliance avec une demi-circonférence de diamants au doigt de Ninah !

Ce fut une surprise pour nous deux, Ninah ne put retenir ses larmes, moi, j’étais très émue également ! J’échangeai un long baiser avec ma sœur, puis nous embrassâmes Pierre à tour de rôle.

– Ninah, cette bague est l’expression de mes sentiments profonds pour toi et nous lie tous les trois ! J’ai aussi une bague simple que je te donnerai ce soir dans l’intimité. Pour le monde extérieur ces bagues sont offertes par Amina !

– Pierre, je suis vraiment surprise ! dit Ninah. Je ne m’attendais pas à un tel présent !

– Oui Ninah, ainsi tu apparaîtras comme une femme mariée pour les hommes qui te verront et tu pourras afficher ton indépendance sans être harcelée par les hommes qui te croiraient célibataire !

Je me tournai vers Pierre et lui murmurant :

– Merci Pierre, cette bague que tu as offerte à Ninah me va droit au cœur ! Tu es vraiment un homme de cœur ! Ninah te sera fidèle à tout jamais !

– Mais je compte bien que vous resterez toutes les deux à mes côtés pour toute notre vie.

En se dirigeant vars la salle de réception, les filles de la suite nous jetèrent des graines de riz ce qui me fit rire aux éclats car je reçus une bonne part dans mon décolleté généreux. Ninah me vint en aide pour évacuer le riz vers le bas de ma robe en desserrant pendant quelques instants ma robe dans le dos. En entrant dans la salle de réception je compris le nombre incroyable de personnes invitées au cocktail. Je reçus des félicitations et des cadeaux de nombreuses personnes qui connaissaient maman ou Pierre plus toutes les personnes de l’entreprise. Même mon ancienne cheffe du département juridique vint me saluer et aussi Madame Togba nouvelle gérante de Mbanza Mboma qui avait fait le déplacement avec quelques collègues.

À ma grande surprise Brigitte vint nous saluer avec une grande boite et s’excusant que ne pouvoir rester car elle était vraiment coincée entre deux avions. Pierre lui donna les dates de notre passage à Paris. Brigitte m’embrassa longuement et pareil pour Ninah en admirant nos bagues. Elle promit cependant de nous revoir durant notre voyage en France.

Il m’était impossible d’ouvrir tous les cadeaux qui s’empilaient et je vis que Tsela et une autre collègue veillaient à bien identifier les généreux donateurs afin de pouvoir les remercier ultérieurement.

Ninah et moi, nous avions presque en permanence un verre de mousseux en main que les serveurs changeaient fréquemment sans que nous fassions que juste tremper nos lèvres. Nous ne voulions pas être malades d’autant plus que nous n’avions rien mangé depuis le petit-déjeuner. Pierre circulait entre les invités et venait fréquemment les accompagner pour qu’ils viennent me féliciter !

Puis la soirée avançant les personnes quittèrent la réception pour ne rester que les invités au repas de noce.

Ninah m’accompagna pour changer de robe pour revêtir la deuxième robe de la journée. Ninah riait aux éclats lorsque de nombreux grains de riz tombèrent encore qui étaient restés entre les plis intérieurs de ma robe. Maman nous rejoignit pour ajuster la nouvelle robe qui tombait parfaitement sur mon corps.

Pierre m’indiqua ma place à table, à sa gauche et Ninah eut un siège à sa droite. Cela ne choquait personne et Maman, Jaspar Célestine et Olivier prirent place en face de nous. D’après mon estimation nous devions être moins de cinquante au dîner répartis sur 4 tables.

Je ne me rappelle pas du tout les mets qui nous furent présentés, mais tous furent enchantés de la qualité de la nourriture et des boissons.

À la fin du repas, l’orchestre qui était resté discret, entama une valse lente, Pierre se leva pour m’inviter à la danse des mariés. Nous étions tous les deux dans notre bulle pendant de longues minutes. Je dansais en regardant Pierre dans les yeux, j’étais vraiment heureuse et je vis que pour Pierre, c’était vraiment la journée de sa vie. Puis maman prit la relève pour danser avec lui pendant que le DG vint m’inviter à danser.

Nous eûmes encore de nombreuses danses, Pierre était vraiment accaparé par toutes les femmes et jeune files. Ninah, Tsela, eurent droit à quelques danses aussi. Ninah parvint à garder une attitude discrète, car je me doutais qu’en privé elle aurait embrassé passionnément mon mari ! Elle était quand même la coépouse, mais cela, c’était un accord privé !

Il était bien passé minuit lorsque Zakpa nous ramena à la villa. Nous n’étions pas trop fatigués et Ninah m’aida à ouvrir ma robe et je fis pareil pour elle.

Lorsque Pierre sortit de la salle de bains, nous étions nues sous le drap de lit de Pierre, Ninah m’avait proposé une boisson relaxante et j’étais légèrement euphorique mais comme je n’avais quasi-pas bu d’alcool je devinai que c’était le breuvage de Ninah qui me procurait ce bien-être.

Pierre avait revêtu son kimono au dragon sans fermer les pans du vêtement, en s’approchant Ninah et moi nous vîmes à chaque pas la lance dressée de Marc. Ninah me rassura

– Amina, n’aie pas peur, Pierre ne te fera pas mal, si ce soir tu as des craintes, il aura la patience d’attendre !

– Non Ninah, tu vas m’aider ! Je veux lui donner ce que nous attendons tous les deux depuis des mois ! Je veux être sa femme ! Aide-moi à passer ce moment !

– D’accord !

### Pierre ###

J’avais beau être habitué à avoir deux femmes aimantes dans mon lit presque tous les soirs, ce soir j’étais marié et en rentrant ce soir chez moi avec « ma femme » et Ninah, j’étais comme un jeune gamin !

Correction, je rentrais à la maison avec « mes femmes » dont une était encore vierge ! Et quoique j’attendais ce moment depuis quelque temps, je compris que je n’avais encore jamais défloré une femme. Les Africaines avec lesquelles j’avais couché toutes sauf Amina avaient déjà eu des relations et n’étaient pas vierges ! Et en ce qui concerne les nombreuses femmes blanches, aucune n’était vierge même ma première épouse !

En sortant de la salle de bains revêtu de mon kimono, je vis dans la pénombre de la veilleuse que Ninah et Amina m’attendaient couchées dans le lit. Ninah me tendit ses bras et elle me murmura :

– Pierre sois très patient, je sais que tu n’as bas abusé de l’alcool, nous non plus, j’ai donné à Amina une boisson relaxante. Caresse-la, tu as la plus belle femme du monde dans ton lit. Rappelle-toi lorsque nous avons fait l’amour la toute première fois, tu as été très progressif, oui bien sûr je n’étais pas vierge, mais je n’avais jamais fait l’amour avec un homme ! Tu fus divin, tu m’as pénétrée en douceur après m’avoir caressé et léché mon intimité. Recommence ce soir avec Amina !

– Bonsoir Amina ! dis-je, avant tout, si tu ne te sens pas prête, il n’y a aucune urgence ! Je veux que tu sois détendue sous mes caresses ! Ninah et moi nous te donnerons du plaisir et comme tu as déjà eu des orgasmes sous nos caresses, tu ne seras pas désorientée ce soir. Regarde-nous, et tu pourras toujours demander d’arrêter. Tu es belle et pendant toute cette journée je t’ai regardé et j’ai pensé à tout l’amour que je te donnerai ce soir. Je vais commencer à te caresser tes seins. Ninah a déjà mis sa bouche sur ton sein et moi je vais prendre l’autre.

– Bonsoir Pierre, je te remercie pour cette belle journée, viens plus près que je puisse sentir ta lance, oh elle est tout dure et chaude, je ne dois donc pas la sucer ce soir, ton guerrier est prêt et ma grotte est déjà tout mouillée !

Je descendis avec ma bouche progressivement de ses lèvres vers ses seins où Ninah était déjà très active à sucer et mordiller ses tétons. Je pris une pause dans ma descente en embrassant Ninah dont la bouche chaude donna déjà des frissons à sa sœur.

Amina émit les premiers gémissements et consentante mis ses mains sur nos têtes pour nous encourager. Je continuai ma progression vers son ventre en glissant ma langue dans son nombril puis sur son pubis. Elle était fraîchement rasée et elle me confirma que Lysa l’avait rasée avec soin parce qu’elle savait que j’adorais sucer ses lèvres intimes et glisser ma langue dans sa fente. Je tournai longuement avec ma langue autour de son bijou.

– Vas-y Pierre donne moi du plaisir.

Je sentis les premières vibrations du corps d’Amina vraisemblablement causées par l’excitation de Ninah sur ses seins.

Ma langue glissa entre les lèvres de sa fente et je goûtai le jus crémeux et délicieux qui en sortit. Nina descendit aussi sa main vers l’intimité d’Amina et glissa sous ses fesses vers son anus.

Je souriais pour moi-même en repensant à la première vue de ses fesses menues lors de l’essayage de ses vêtements de travail. Cette partie de son corps m’avait plu dès le premier jour et je devinai que Ninah voulus faire passer un ou des doigts dans son cul.

Au bout de longues minutes de caresses conjointes de la boyesse et de ma bouche Amina gémit de plus en plus et écarta ses cuisses comme une invite à la pénétrer. Je présentai progressivement ma verge devant sa grotte trempée de cyprine. Ninah très charitablement prit mon sexe en main pour le guider au bon endroit puis massa son bijou pendant que j’avançais doucement mon pénis vers la frontière de sa virginité.

– Oui Pierre, continue ! Je t’aime, je suis à toi !

Durant ma progression en douceur je sentis une petite résistance puis passai la frontière sans qu’Amina n’exprime de cri de douleur. Ninah par son toucher perçut que j’avais franchi la frontière de la virginité et nous encouragea.

– Vas-y Pierre, oui Amina ! pendant qu’elle continua à masser l’entrée de son vagin.

Je reculai pour dégager la pression puis m’enfonçai à nouveau sans aucune réaction de douleur et je repris un doux mouvement de va-et-vient. Ninah continua le massage et je sentis que le vagin d’Amina se serra plus fortement autour de ma verge, jusqu’à ce qu’elle cria son orgasme brutalement. Je sus à ce moment que je pouvais la pilonner jusqu’à ce qu’éjacule. Amina serra mes fesses contre son corps.

– Oh oui Pierre, quel bonheur ! Merci Ninah quel orgasme ! Pierre je suis enfin ta femme, ne t’en va pas encore ! Je sens que ta lance est encore dure, Ninah je veux encore jouir !

L’efficacité des caresses de Ninah conduisit Amina très rapidement à la deuxième vague de spasmes et mon sexe émit une nouvelle charge de sperme.

– Pierre, Ninah attend son tour ! Donne-lui du plaisir. Dit-elle en riant.

Ninah me poussa sur le dos et s’empala sur mon sexe encore bien vigoureux. Elle était trempée et ma verge la pénétra sans problème. Amina glissa ses doigts contre le clitoris de Ninah et la masturba pendant que la coépouse descendit et monta sur ma verge. Ninah était déjà fort loin dans sa tension sexuelle et cria son bonheur pendant que ma verge tira une dernière salve !

NDA : Ce chapitre est un peu plus long mais je n’ai pas voulu couper le texte ! La relation de la matinée du lendemain sera pour le prochain chapitre. Est-ce qu’Amina est comblée ?

N’oubliez pas de cliquer sur « j’aime ». Merci !

N’hésitez pas à commenter si vous aimez !

Annotations

Vous aimez lire Solo_x ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0