### Tsela ###

Je sais que je le pris en traître ! Il était concentré pour regarder les messages sur son laptop, et je laissai tomber le vêtement transparent qui couvrait mes seins. Sans me regarder dans un miroir, je sus que mes tétons étaient dressés. Je collai ma poitrine contre l’arrière de son crâne et le serrai. Pierre surpris, se retourna lentement et eut ses yeux positionnés juste en face de mes mamelons. Sa réaction toute naturelle fut de les embrasser et de mettre ses lèvres sur mes appâts.

Ce fut trop fort ! Je pris sa tête pour la coincer contre ma poitrine et pivotai sa chaise de bureau pour m’asseoir sur ses genoux ! Je sus que j’avais gagné ! Il grogna de désir sentant sa verge coincée contre mon postérieur et je fis des gestes de pute aguichant le client dans les bars pour masser sa lance avec mes fesses.

– Pierre, laisse-toi faire ! Nous n’aurons plus jamais cette occasion ! Je te désire et tu es sur le point de céder ! J’ai pris un préservatif dans tes bagages, donne-moi ta bouche ! Je veux te sentir profond en moi, tu seras le seul qui pourra satisfaire mon fantasme !

Il me souleva, et me porta sur son lit sans lâcher mes seins. Sa bouche suça alternativement mes tétons, suscitant des vibrations puissantes dans mon ventre. Lorsqu’il se redressa, je pris le blister entre mes dents pour déchirer l’enveloppe. Heureusement j’avais été une élève attentive au cours d’éducation sexuelle. Où le professeur fit la démonstration sur son sexe énorme du coiffage du condom par la plus jolie fille de la classe qui eut la chance de lui appliquer le préservatif ! On était toutes en transes et jalouses de la privilégiée qui pouvait le toucher. Ce soir je ressentis les mêmes vibrations en prenant le sexe de mon patron, qui même s’il ne fut pas de la taille de celui de notre professeur m’attirait depuis le début de ce voyage.

Il se laissa manipuler, sachant qu’en finale il enfoncerait sa lance dans mon antre. Son érection me facilita la tâche et une fois coiffé j’écartai mes cuisses le plus loin possible pour qu’il puisse me pénétrer.

– Tu es certaine ? me demanda-t-il.

– Oui Pierre, je te veux !

Il me pénétra avec une grande douceur, me regardant dans mes yeux pour déceler la moindre réaction négative. Je gardai mon sourire sans discontinuer et soupirai de plaisir lorsque enfin, il était planté profondément dans mon corps.

Il s’arrêta et attendit quelques instants pour que je puisse reprendre ma respiration. Je n’avais jamais imaginé les sensations puissantes que je perçus en ce moment ! Puis il bougea d’avant en arrière, mon vagin était suffisamment lubrifié et je ne sentis aucune douleur, au contraire ! Sa hampe dut frotter intensément contre mon bijou me procurant des sensations bien plus douces que celles provoquées par la masturbation.

Mon bonheur n’eut pas de limites, Pierre me regarda avec la tendresse que j’avais déjà vue dans son regard vis-à-vis de Ninah !

– Oh, Pierre, enfin ! Tu es là où je te veux depuis si longtemps. Au moins maintenant je ne suis plus jalouse d’Amina ! J’ai les sensations qu’Amina n’a pas encore connues et je veux en profiter ce soir !

– Chut, Tsela, ne parle pas ! Profite de l’instant présent que tu attendais depuis notre rencontre.

Ses mouvements furent d’une grande douceur, c’était beaucoup plus excitant que dans mes rêves érotiques les plus osés ! Je mis mes pieds dans son dos encerclant de mes jambes son corps pour l’empêcher de se retirer. Il comprit et s’enfonça encore plus profondément déclenchant des vibrations nouvelles. Je mis mes mains sur son visage et dans ses cheveux, je voulus que ce moment dure une éternité ! Mon plaisir grimpa et j’eus beau essayer de me maîtriser, je ne pus étouffer mes gémissements de plaisir !

– Oui, Pierre, encore ! ça vient, ne t’arrête pas ! Oh ouiiiii ! Oh, continue ! Ahhh !

Mon corps fut parcouru de vibrations depuis mes orteils jusqu'à ma poitrine, je serrai les bras de Pierre de toutes mes forces. Puis je vis ses yeux se clore sous la puissance de son orgasme. Je sentis les pulsions de l’éjaculation dans mon vagin redoublant mon plaisir. Je sentis enfin ce que beaucoup de femmes ressentaient dans la copulation amoureuse avec leur mari, amant ou ami. Pierre calma ses mouvements mais continua jusqu’à l’apaisement de mon corps.

Lorsqu’il se retira, je constatai que son érection n’avait pas cessé et je défis avec précaution le condom rempli de son sperme. Je me levai pour évacuer le préservatif et en revenant je m’accroupis pour donner un baiser de reconnaissance sur son sexe toujours dressé.

Je me couchai à ses côtés et massai doucement sa lance jusqu’à ce qu’elle se détendît.

### Pierre ###

Je n’eus aucun regret ! Elle m’avait comblé même si mon corps et mon esprit en redemandaient. Tsela avait obtenu ce qu’elle voulait ! Je ne voulus pas penser au futur ! Mais je ne voulais pas m’encombrer d’une femme supplémentaire ! Comment expliquer à la direction que j’entretenais une relation intime avec une employée en plus d’Amina. Ninah n’était que la boyesse et sa connexion restait dans l’intimité de la villa. Tsela m’avait promis le secret, mais je me méfiais d’un possible chantage !

– À quoi penses-tu si sérieusement Pierre ? me demanda-t-elle.

– Je pense à ce que nous venons de faire ensemble !

– Tu as des regrets ?

– Non, mais il n’y a pas de futur entre nous.

– Tu as raison, c’est contre mes principes : tu es blanc, tu es mon directeur ! Et je ne veux pas être dominée par un homme.

– Je suis d’accord avec tes principes, mais je ne te domine pas ! Je ne t’ai forcé à rien, à ce que je sache ?

– Oui, bien sûr, c’est moi qui t’ai séduit pour une raison très simple, je voulais du sexe ! Pierre, nous n’avons pas de futur autrement que par le travail, demain nous serons dans ma région et je ne tiens pas à ce que des personnes qui me connaissent aient le moindre soupçon de notre relation. Dans le guest-house nous garderons nos distances. Et après-demain tu rencontreras mon père à Kananga. Peut-être voudra-t-il te garder quelques jours chez nous ! Ce n’est qu’à quelques heures de route et il ne nous arrivera rien ! Mon père a de bonnes relations avec la population et personne n’osera s’attaquer à son convoi !

– Tsela, je t’avoue que notre expérience d’attaque, est un cas isolé et ne m’empêchera pas de continuer ma prospection dans le pays ni de visiter les unités de plantation et de production. Mais je le ferai en étant mieux protégé !

– Alors, restons-en là, me dit-elle. Mais ce soir, je te veux encore pour une dernière fois dans mon lit ! Je veux que cette nuit soit inoubliable pour nous deux mais sans regrets ni futur !

– Tu es certaine ?

– Oui, j’ai ressenti un plaisir immense mais après je me contenterai de la masturbation jusqu’à ce que je trouve une solution alternative et les plaisirs lesbiens avec Amina ou Ninah !

– Tu veux cette solution ?

– Oui, si tu m’autorises à venir à la villa ?

– C’est possible sous certaines conditions !

– Lesquelles Pierre ?

– D’abord, il faut que mes femmes t’acceptent et ma chambre te sera interdite !

– J’accepte tes conditions.

– Alors, allons manger ! J’aurai l’occasion de convenir du départ de demain avec les pilotes et Zakpa.

***

Le repas fut très calme, Tsela opta pour un profil bas et Zakpa et les pilotes me racontèrent les parties interminables d’awalé ou en finale Zakpa avait bien gagné sa période d’attente.

Nous remontâmes dans la suite où Tsela passa longuement par la douche avant de toquer sur la porte de séparation de ma chambre.

– Pierre, je peux encore dormir avec toi ce soir ?

– Oui, mais pas de rapport sans préservatif !

– Bien entendu !

Elle plaça quelques blisters à sa portée, je souris intérieurement en me disant qu’elle comptait en utiliser plusieurs ! Je ne voulus pas faire le premier geste pour l’attirer dans mes bras. Elle éteignit la lumière de la chambre ne laissant que la petite lampe servant de veilleuse qui n’éclairait que le sol autour de ce point. Je sentis soudain une main qui me toucha et une bouche qui me fit un baiser sur la joue. Puis je perçus le frôlement de sa poitrine contre la mienne. Mon corps réagit à cette approche et sa main descendit plus bas, sans doute avait-elle senti le mouvement de l’érection de mon sexe.

Je m’attendais à ce qu’elle coiffe mon gourdin mais au lieu de ça je sentis une bouche fraîche encercler ma lance et commencer un pompage lent mais régulier.

– Tsela, tu ne dois pas continuer cela, sinon je vais jouir sans toi ! Ne m’excite pas trop si tu veux que je vienne te faire jouir avec ma verge !

– Mais tu aimes quand même cette gâterie ? Il y a longtemps, j’ai vu ma sœur faire ce geste à son mari lorsqu’il était encore dans son lit. À l’époque je n’avais pas compris, mais depuis j’ai vu le même acte sur Internet ! Ce n’est que récemment que j’ai découvert qu’il y a de nombreux sites pour adultes, montrant tout ce qu’un homme et une femme peuvent faire pour assouvir leurs fantasmes ! Mais ce soir, je veux te faire plaisir avant que tu me fasses l’amour !

Elle fit courir sa bouche sur tout mon corps depuis mes cuisses en passant par mes testicules, mon sexe, mon ventre, ma poitrine, pour terminer sur ma bouche dans une caresse sensuelle avec sa langue. Finalement, elle me présenta ses seins.

– Lèche et suce mes seins comme tu as fait tout à l’heure !

J’ai toujours aimé ce contact avec ma bouche sur les tétons des femmes, pour les titiller avec ma langue et même mordiller légèrement. Elle commença à gémir puis interrompit et se redressa, s’assit en tailleur et prit un préservatif pour le dérouler sur mon sexe dressé où je sentis quelques gouttes perler.

Elle s’empala sur mon pieu en soupirant puis me chevaucha jusqu’à l’orgasme qui éclata brutalement. Elle cria son plaisir mais continua, espérant me faire éjaculer, elle ne put achever car son corps tremblait de plus en plus. Je la couchai sous moi sans me désunir et la pilonnai jusqu’à ce que mon corps atteigne le nirvana !

Tsela me baisa sur la bouche avant de se relever et défaire le préservatif. Elle le déposa dans la salle de bains et revint se coucher contre moi.

– Tu étais un peu brutal ce soir ! Est-ce ainsi que font les hommes quand le désir devient trop fort ?

– Oui Tsela, lorsque le désir monte, souvent les hommes perdent la retenue et se laissent aller à la jouissance un peu égoïste ! Ce soir, mon désir était trop fort !

– Alors, je comprends la violence de mon frère, ce n’était pas de la méchanceté mais il me désirait vraiment !

– C’est vraisemblable, Tsela les désirs de l’homme envers les femmes ne sont pas toujours freinés si la femme qu’il désire est leur sœur ou un autre membre de leur famille !

– Ou en autre membre de leur famille ? pas leur mère quand même !

– C’est arrivé, mais c’est dans des milieux où l’inceste est fréquent ; des pères avec leur fille et les mères avec leur fils ! Oui, ton frère n’a peut-être pas su résister à ta beauté !

– Que peut-on faire ?

– Je n’en sais rien !

Mais Tsela, n’était pas encore prête à s’endormir. Elle reprit ma verge pour la caresser entre ses seins. Je soupçonnai qu’elle voulait me donner encore un dernier plaisir. Elle savait que par la suite, elle n’aurait plus de rapports sexuels avec moi. Était-ce une dernière tentative de me faire revenir sur ma décision ?

Mon éjaculation fut encore importante, mon sperme se répandit sur ses seins et son visage, elle éclata de rire. De sa main elle récupéra ma semence et le mit en bouche.

– Merci Pierre, tu m’as vraiment donné du plaisir, je te regretterai !

– Dors maintenant !

NDA : Sauront-ils tenir leur promesse ! Que se passera-t-il par la suite ?

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