Chapitre 59 – Tsela - Visite de Lysa et Jaspar

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Jour 45 (semaine 7 – Mercredi )

### Amina ###

Le déjeuner à la cafétéria fut agréable, Tsela se détendit bien qu’elle fut impressionnée de se trouver à table avec un directeur. Je ris intérieurement car je compris qu’ayant aucune expérience, elle ne sut pas très bien comment côtoyer un membre de la direction.

Elle me plut cette fille, finalement maman était katangaise et donc cette Lulua n’était pas tellement différente ! J’espérai qu’on s’entendrait bien au travail.

L’après-midi, on travailla ensemble, Tsela avait de bonnes notions d’utilisation de l’informatique et trouva rapidement les renseignements que Pierre avait demandés sur le site du Ministère de l’agriculture, mais on se rendit compte cependant que les statistiques dataient de nombreuses années et n’avaient pas été mises à jour.

En fin de journée, on présenta à Pierre le résultat de nos recherches.

– C’est très bien, les statistiques sont vieilles mais demain, vous irez au Ministère de l’Agriculture ensemble et peut-être on vous donnera des chiffres plus récents. Amina, rappelle-moi ce soir de demander à Jaspar si l’AFD peut nous aider.

– Qu’est-ce qu’est l’AFD ? demanda Tsela.

– L’Agence française de développement, est un organisme qui finance et accompagne les projets dans divers domaines allant de la santé, le social, la biodiversité. Il finance l’entreprise dans le développement de l’agriculture paysanne, dit Pierre. L’agence a de nombreuses filiales dont une très importante à Kinshasa. Le père d’Amina travaillait pour l’Agence ici à Kinshasa et Jaspar est un de ses collègues.

– Il ne travaille plus pour l’Agence ? demanda-t-elle.

– Non Tsela, mon père est décédé !

– Désolé ! dit-elle en mettant sa main sur la mienne en signe d’apaisement.

Le contact de sa main était doux et je me rendis compte qu’elle n’avait pas travaillé dans les champs de café. Son père avait certainement les moyens pour lui éviter de travailler étant enfant. De plus elle était soignée et sentait bon, elle devait certainement se parfumer d’un produit coûteux !

En sortant du bureau de Pierre ensemble, nous nous frôlions au passage de la porte, ce contact me rappela celui de Ninah et j’eus des frissons de désir ! Était-ce le ressac des orgasmes de la veille ?

Je profitai de la saluer pour lui donner un baiser d’au revoir comme cela se faisait habituellement entre collègues.

– Tu sens bon Tsela !

– C’est un parfum que mon père a ramené d’un de ses voyages en Europe.

– Tu as de la chance !

– Oui, mais il me gâte beaucoup depuis le décès de ma mère, avant c’était-elle qui recevait des cadeaux à chaque fois qu’il rentrait de voyage !

– Oh, je suis navré ! C’est récent ?

– Oui, j’allais passer les examens pour l’obtention de mon diplôme, elle est morte d’une longue maladie, elle avait un cancer !

– Tsela, si tu as besoin de quoique ce soit, n’hésite pas si je peux t’aider !

– Merci Amina, mais ma grande sœur s’occupe de moi et m’aide à passer ce moment difficile !

– D’accord, à demain alors !

Le soir à la villa, je rappelai à Pierre qu’il devait contacter Jaspar pour s’informer si par hasard l’AFD avait des informations récentes concernant la production de café.

Ce qu’il fit, effectivement Jaspar pouvait mettre la main sur des informations et ajouta qu’il les apporterait demain soir car Lysa comptait passer à la villa pour saluer sa fille.

Ninah avait entendu l’annonce de la visite de maman et ajouta en me murmurant :

– Ah je serai curieuse de connaître l’effet de l’onguent !

– Ninah, tu es une vicieuse !

– Mais pas du tout, je tiens à ma réputation !

Après le repas, Pierre voulut regarder les nouvelles à la télé, Je me lovai dans ses bras dans le divan en caressant son visage. J’aimais sentir sa barbe rugueuse du soir alors que le matin son menton était tout lisse (sauf le week-end où cela lui arrivait de ne pas se raser !) Je trouvai cela sensuel quand il passait avec son menton contre ma peau et surtout entre mes jambes ! Cela m’obligeait parfois le matin de calmer ma peau avec une crème car à la longue sa barbe brûlait un peu ma peau fragile à certains endroits.

Ce soir je ne voulais pas de sexe, juste le sentir contre mon corps.

Lorsque Ninah eut fini de ranger le repas elle vint se joindre à nous revêtue seulement de sa nuisette.

– Tu veux jouer Ninah ? demandais-je, car alors je te cède ma place et je vais déjà m’étendre.

– Non, dit Pierre, reste encore un peu dans mes bras. Ninah viens de l’autre côté.

Mais Ninah avait de la suite dans ses idées, elle se coucha dans l’espace libre du grand divan et mit sa tête sur le ventre de Pierre. Comme moi, il devina le but de la manœuvre de Ninah et défit le pan de son kimono.

Ninah glissa une main sous le vêtement sans doute à la recherche de son gourdin. Mais je m’étonnai de ne pas voir de mouvement.

– Que fais-tu Ninah ? demandai-je tout bas.

– Rien Amina, je tiens juste la lance du guerrier, mais c’est juste pour le sentir dans ma main. Je ne désire pas de sexe, juste me sentir très proche. Si sa lance se redresse, je le calmerai avent qu’il ne s’endorme !

– Et que fais-tu alors ?

– Je prendrai juste sa semence dans ma bouche.

– Non, dit Pierre, Ninah même si « ma lance » se redresse, tu resteras sage !

– C’est toi qui décides Pierre, mais je suis ta servante, si tu veux …

– Ninah, tu n’es pas une servante de sexe ! Je te respecte comme Amina, je vous aime toutes les deux et ce soir je demande juste ta présence, ta main ne me dérange pas, j’adore même, mais pas plus. Allons dormir car demain, Lysa et Jaspar viendront manger et tu devras faire les achats avec Zakpa au supermarché.

– Oui, patron dit-elle en se levant.

Elle me tira en dehors du divan et nous partîmes dans la chambre où Pierre nous rejoignit quelques minutes plus tard.

Selon notre rituel, je me couchai contre le dos de Pierre en glissant un bras sous sa tête dans son cou et en serrant l’autre bras sur son ventre. Ninah colla son dos contre Pierre offrant ainsi ses fesses pour abri à sa verge.

Je m’étais déjà rendu compte que certaines nuits Pierre dans son sommeil agrippait les épaules de Ninah et poussait son sexe plus loin. Ninah m’avait confié que cela lui arrivait de se réveiller et de sentir du sperme entre ses fesses. Elle prétendit que Pierre éjaculait dans son rêve !

Je ne pouvais pas le croire sinon parce que Ninah eut excité Pierre pendant son sommeil. Je voulus en avoir le cœur net et descendis mon bras libre pour coincer ma main entre le ventre de Pierre et le bas du dos de Ninah.

Je restai ainsi à regarder les minutes défiler sur le réveil lumineux de la chambre jusqu’au moment où mon corps abdiqua.

Jour 46 (semaine 7 – Jeudi ) matin

### Pierre ###

Je me réveillai ce matin alors qu’il faisait encore nuit, couché sur le dos le réveil de la chambre indiquait 5 h 35, c’était beaucoup trop tôt. Amina était toujours serrée contre moi, sa main libre contre mon sexe. Je voulus dégager son bras mais je fus surpris de la réaction d’Amina qui agrippa ma bite !

– Pierre, tu n’as plus sommeil ? murmura-t-elle.

– Si, mais je n’ai aucune chance de me rendormir si tu ne retires pas ta main.

– Je voulus juste vérifier quelque chose ! Tu n’as pas éjaculé cette nuit !

– Comment sais-tu cela ?

– Parce que Ninah m’a confié que cela t’arrivait parfois ! Tu fais des rêves érotiques ?

– Je n’en sais rien Amina, je me souviens rarement de mes rêves, mais oui j’ai parfois des pollutions nocturnes car le matin je retrouve du sperme sur le dos de Ninah, elle ne dit rien, mais je ne pense pas qu’elle en est la cause consciente.

– Tu te masturbes peut-être ?

– Pas en étant éveillé en tout cas.

– Ton sexe est tout dur, veux-tu ?

– Amina, ce n’est pas une obligation !

– Bien sûr, rassure-toi, ça me fera plaisir !

Elle me masturba quelques minutes à la main puis continua dans une fellation un peu brutale qui me fit éjaculer dans sa bouche. Ma jouissance fut profonde, je pris Amina sous les aisselles pour la remonter à mon visage.

– Merci ma grande, tu veux un câlin ?

– Non Pierre, ton sperme était délicieux, garde-moi juste dans tes bras.

Je mis mes mains sur son corps provoquant quand même de gros tremblements, elle ne voulut pas le reconnaître mais je sentis son désir et mis ma main dans son intimité et en quelques caresses bien intenses je lui offris un orgasme sans violence. Je gardai ma main entre ses jambes jusqu’à ce que son corps reprenne des battements de cœur plus calmes.

Amina chercha ma bouche pour un long baiser langoureux :

– Merci Pierre, bonne matinée ! C’est étonnant Ninah ne se soit pas réveillée.

– Non Amina, répondit-elle d’entre les draps, j’ai vite compris et je n’ai pas voulu interrompre votre jeu !

– Ma petite sœur, tu aurais pu te joindre à nous ! dit Amina.

– J’ai pris mon plaisir en solitaire, en vous voyant, répondit Ninah.

– Alors tous à la douche dis-je en me levant.

***

### Tsela ###

Ce matin en quittant ma grande sœur, j’étais vraiment de bonne humeur. Déjà au réveil je fus joyeuse en lavant mon neveu et mes nièces dans le grand bain. Comme cela se faisait toujours avec beaucoup d’éclaboussures, je me mis nue et entrai avec eux dans le bain, ce faisant je ne fis qu’imiter leur maman qui faisait pareil.

Marie, vint récupérer ses deux filles pour les sécher et je fis la même chose pour mon petit neveu beaucoup moins turbulent. Puis elle s’approcha de moi et me fit une caresse au visage.

– Tsela, sais-tu comme tu es belle ?

– Que trop bien Marie, déjà avant que maman mourût, notre grand frère a cru bon de me déflorer un matin et aurait continué le rapport sexuel si maman n’était pas rentrée dans ma chambre. Je suis sûre que cela a hâté la mort de maman !

– Oui, c’est probable ! Et à ton travail, les hommes sont corrects avec toi ?

– J’ai la chance que le DRH m’a mise au service d’un directeur blanc qui travaille comme consultant à la réorganisation. Il ne m’a fait aucun commentaire, il était tellement occupé en rentrant de mission qu’il m’a à peine remarqué. Ce n’est que le deuxième jour que son assistante lui a signalé que j’étais un être vivant qu’il s’est intéressé à moi !

Il est très gentil, bien sûr, il a dû me découvrir, son regard m’a parcouru de haut en bas ! Mais Amina, son assistante, l’a embrassé devant moi. Il m’a rassuré en disant qu’elle était son amoureuse et que le DRH était au courant ! Je pouvais tomber plus mal !

C’est donc dans cet état d’esprit que je pris place à ma table de travail au bureau. Amina arriva avec Monsieur Pierre en riant et elle m’embrassa sur la joue lorsque je l’accueillis. Monsieur me rappela que ce matin je devais me rendre avec Amina au ministère de l’agriculture pour obtenir des statistiques récentes.

Comme ce n’était pas loin, nous nous y rendîmes à pied, chemin faisant Amina me raconta un peu de sa vie, ses études à Paris et le décès brutal de son père. Je la complimentai sur son magnifique boubou, mais elle m’apprit que sa mère possédait un grand atelier de couture et lui faisait tous ses vêtements.

Au ministère, je fus surprise de l’allure de capharnaüm des services. Amina au bout de longues palabres parvint à trouver son chemin vers le service de statistique. Il n’y avait qu’un seul fonctionnaire qui lisait son journal au milieu d’un empilement des documents sur des tables pleines de poussière ! Cet homme visiblement irrité qu’on le dérangeât se leva avec lenteur pour chercher des documents.

– Vous avez de la chance ! J’ai encore plusieurs copies de chiffres car la photocopieuse a rendu l’âme et je veux bien vous les donner à condition que vous, jolies filles, vous me rendiez un service personnel.

Je compris immédiatement que ce gros vicieux voulait un service sexuel, mais là il se trompait lourdement ! Mon sang ne fit qu’un tour et en Lulua authentique qui méprise les hommes je lui pris les documents des mains pour constater que les statistiques étaient très anciennes.

– Vos documents ne méritent même pas un baiser. Si vous insistez, la femme du ministre est ma marraine car elle vient comme moi de Demba, elle se fera un plaisir de vous faire muter en brousse pour vous rendre utile au lieu de vous prélasser ici en ville.

– Bon d’accord, je n’ai rien dit. Quant aux statistiques, ce sont les plus récentes ! Depuis des années je suis seul dans ce service et je n’ai plus été payé depuis plus de deux ans. Alors au revoir et ne me dérangez plus.

Nous ne demandions pas tant, nous finîmes de trouver la sortie sans trop de problèmes et fûmes soulagées de nous trouver dehors.

En arrivant au bureau, Monsieur fut étonné de nos rires…

– Oh, Monsieur, nous avons bien accompli notre mission, mais à part des bureaux pleins de poussière nous n’avons collecté que d’anciens chiffres. De plus le fonctionnaire devait s’ennuyer ferme et nous demanda un service sexuel ! Je l’ai menacé de le faire muter par ma marraine en disant qu’elle était la femme du ministre.

– Tu as des relations puissantes ! dit-il.

– Non Monsieur, c’était une ruse ! Elle porte le même nom que l’épouse du ministre mais c’est une cousine lointaine.

– Pauvre homme, il va regretter sa proposition, il va se demander où on risque de le muter ! dit-il en riant.

Ainsi mon patron trouva la ruse amusante ! Malgré mon aversion profonde pour les hommes, je trouvai que Monsieur était un bel homme et gentil avec moi. En lui remettant les documents, je contournai son bureau et me tins près de lui.

– Tsela, c’est toi qui sens si bon ? Tu portes un parfum français coûteux !

– Merci, Monsieur c’est un cadeau de mon père ! Il l’a ramené de son dernier voyage en France.

– Ton père t’a choyé !

– Oui, mais il avait l’habitude de l’apporter pour ma mère qui est morte récemment.

– Je suis désolé Tsela !

– De rien Monsieur.

Voilà un homme, blanc de surcroît, qui était vraiment gentil ! Je compris maintenant l’attirance d’Amina pour lui !

### Amina ###

Ainsi Pierre avait aussi constaté le parfum de Tsela, de plus il semblait connaître la provenance.

Le soir en rentrant à la villa, je demandai à Pierre comment il connaissait l’odeur agréable que Tsela répandait dans son sillage.

– C’était le parfum que portait mon ex-femme ! C’était il y a très longtemps mais j’ai une bonne mémoire de son odeur !

– Tu l’as aimée ?

– Oui comme tout jeune étudiant que j’étais à l’époque. Mais à la fin de mes études, j’ai eu mon premier contrat en Afrique et elle ne voulait pas venir avec moi. Elle a préféré rester en Europe et a pris un amant. Nous avons divorcé un an après.

– Tu l’as revue ?

– Oui, pour signer les documents du divorce ! Elle a voulu remettre le couvert pour le sexe, car était déjà séparée de son amant !

– Et ?

– J’ai refusé, car cela m’aurait remis dans le cauchemar que j’ai gardé longtemps en mémoire ! J’ai mis des années à l’oublier !

– Et maintenant tu penses encore à elle ?

– Non, seulement un flash dû au parfum de Tsela, mais ce n’est pas important ! Non, Amina, cet épisode est totalement passé, je ne l’ai jamais remplacée !

– Mais tu as rencontré Brigitte !

– Je crois déjà avoir dit que Brigitte est juste du sexe, pas d’amour. Mon ex-femme, c’était de l’amour et du sexe.

– Et moi, et nous ? Car je n’oublie pas Ninah !

– Ne t’inquiète pas, Ninah c’était juste du sexe au départ mais Ninah est tombée amoureuse de moi et je n’ai pas résisté. Et je doute que la question suivante te concerne : Amina, je t’aime bien sûr, pour ton intelligence et ta beauté, le sexe n’est venu que plus tard ; c’est toi qui as voulu des preuves d’amour !

– Oui, Pierre et j’en veux de plus en plus ! Je veux être pleinement ta femme ! Je veux un enfant de toi!

– Amina, encore un peu de patience, ma situation se stabilise, ce sera plus simple pour moi si ma carrière au Congo se confirme, je ne serai plus un vagabond qui passe de pays en pays au gré des missions. J’aurai enfin un endroit où fonder ma famille ! Même si je sais que le Congo ne sera pas la dernière étape, car je présume que ce contrat ne sera pas éternel, mais j’espère que tu resteras avec moi !

– Oui, Pierre, je te suivrai car j’ai vécu quand même deux ans en France durant mes études, je sais où j’irai. Le plus dur sera de quitter mon pays et ma famille !

– Mais on a encore le temps d’y penser, dit-il.

En arrivant à la villa, je pris directement la direction de la cuisine où Ninah préparait le repas de ce soir. Je voulus donner un cachet spécial en l’honneur de maman qui avait quand même fait progresser un peu le statut de Pierre.

Ninah m’embrassa affectueusement et me montra les mets qu’elle avait préparés. Elle me rappela en riant l’altercation qu’elle avait eue avec maman lors de sa première rencontre où elle avait dû faire intervenir le gardien pour l’expulser de la villa.

– Tout a quand même bien changé, dit-elle, j’espère que mon onguent fonctionne et que ta maman ne regardera plus vers Pierre. C’était amusant jusqu’à un certain point, mais je comprends que cela te perturbait !

– Oui, Ninah, cet épisode j’espère, peut-être clôturé ! Enfin je l’espère. D’ailleurs on sera vite fixé, j’entends la voiture de Jaspar !

Maman était vraiment resplendissante ! En arrivant après m’avoir embrassé et salué Pierre, elle se rendit dans la cuisine. Aux éclats de rire bruyants, je compris que le remède de Ninah fonctionnait et que Pierre ne serait plus harcelé !

La soirée se passa bien, Maman et Jaspar étaient détendus et lors du départ, maman me prit en aparté pour me confier que Jaspar l’avait vraiment comblée.

– La crème de Ninah fait vraiment des merveilles ! Jaspar a une érection impressionnante toute la nuit. Il m’a vraiment fait jouir ! Je suis certaine que si Pierre à besoin d’un peu d’encouragement, Ninah peut le dépanner ! Et toi ma grande, tu es toujours certaine de ton choix ?

– Oui, maman, j’aime vraiment Pierre. Je suis heureuse que tu as trouvé une satisfaction avec Jaspar, tu n’auras donc plus besoin de Pierre. Il sera donc totalement à moi ; mais rassure-toi nous n’avons encore rien fait d’irrémédiable, à mon grand regret d’ailleurs !

– Ne sois pas pressée ma chérie, tout viendra en temps voulu ! Mais je te promets de ne plus baiser avec Pierre !

– Merci maman, à propos, Pierre a été notifié par le DG qu’il est nommé Directeur général adjoint par Paris. Il aura un contrat à durée indéterminé avec un visa permanent. Je te remercie pour ton intervention !

– Ma chérie, je n’ai rien fait ! Mes amies et clientes m’ont juste donné la nouvelle avant que la décision ne soit prise.

– Alors c’est encore plus beau ! dis-je en embrassant maman.

NDA : Bien on reverra encore Lysa certainement, peut-être confiera-t-elle un jour ses expériences avec Jaspar ?

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