Chapitre 58 - Adieu de Brigitte – La récompense.

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Jour 44 (semaine 7 – Mardi ) soir

### Pierre ###

Le travail au bureau m’avait bien occupé durant la journée, Célestin (le DRH) était venu discuter longuement dans mon bureau à propos de mes impressions concernant mon travail ici à Kinshasa.

Je lui répondis en toute franchise que le travail me plaisait bien et que j’espérais pouvoir achever la réorganisation sans faire un massacre social. D’après moi, il faudra sans doute remercier certains travailleurs qui approchaient de l’âge de la retraite en leur donnant un bonus, mais je pensais que les autres travailleurs devraient pouvoir garder un travail même si certains devaient changer de secteur.

En général dans les plantations il y a peu de métiers spécialisés et les mutations étaient bien acceptées. Ce n’est que dans les usines qu’il y a quelques métiers hautement spécialisés dans les domaines électriques et mécaniques qui ne seraient pas touchés.

Célestin sut donc qu’il n’y aurait pas de conflits à craindre avec les syndicats.

À l’administration centrale, le personnel avait déjà subi des coupes sombres avant mon arrivée et on pouvait même envisager de muter certains employés des unités vers la capitale ou d’engager quelques administratifs.

La journée avançait et je décidai donc de rejoindre la villa pour la dernière soirée avec Brigitte.

En arrivant à la villa, les filles toutes joyeuses me souhaitèrent la bienvenue et me prévinrent qu’elles avaient convenu de me laisser la dernière soirée exclusivement avec Brigitte. Je fus ravi de cette initiative et je me dis que les deux amies n’allaient pas pleurer dans leur solitude !

Le repas du soir fut un festival pour les yeux, Brigitte en nuisette de même qu’Amina et Ninah. Je revêtis donc mon kimono au dragon pour être dans le ton. Brigitte vint s’asseoir à mes côtés pour me caresser les cuisses et plus haut. Ma lance fut totalement érigée par la vue splendide en face de moi ; je remarquai l’effet de la climatisation qui balaya un vent frais sur les seins dont les tétons étaient tous dressés. Ninah fit le service et profita de sa proximité pour glisser ses seins devant mon visage pour que mes lèvres touchassent ses tétons. Je trouvai cette approche très originale et je passai ma main entre ses fesses. Ninah fit une pause dans son geste pour bien profiter de mon attouchement. Je sentis l’humidité de son intimité et enfonçai mon doigt entre ses lèvres intimes. Ninah suspendit son geste de me servir mais ne put refréner un soupir de jouissance.

– Merci Ninah, dis-je, j’ai assez de nourriture dans mon assiette, tu pourras repasser plus tard !

Je la gardais encore quelques instants contre moi, puis la libérai avec un sourire complice. Brigitte avait capté mon geste et saisit tendrement mon sexe sous la table.

– Pierre, ne sois pas gourmand, ce soir tu es à moi !

Après le repas, Brigitte me prit par la main pour me conduire dans ma chambre.

– Nina et Amina, dit-elle, venez donc quelques instants pour stimuler Pierre !

– Oh oui, Brigitte tu as des idées ?

– Oui les biches, venez me caresser pendant que Pierre nous regarde, Il suffit de lui donner envie. Mais toi Pierre, tu regardes mais sans te toucher ! Je veux voir ce que la vue de trois filles provoque comme érection sans attouchement !

À tour de rôle elles se placèrent en 69 et se donnèrent du plaisir avec leur bouche. Brigitte les regarda se caresser les seins pendant qu’elles burent leur cyprine coulant entre les lèvres intimes. Puis Brigitte fit pendant quelques minutes des mouvements de masturbation de son intimité avant de remercier les « sœurs en amour » et de se pencher sur ma bite en érection maximale.

– Tu vois Pierre, tu dois fréquemment leur demander de se faire plaisir sans que tu n’interviennes. Ta libido n’en sera que meilleure et ton envie de les honorer toutes deux gagnera en intensité. Les filles seront encore plus excitées et atteindront plus rapidement le nirvana ! Tu pourras les pénétrer plus aisément car leur vagin sera bien lubrifié et ton gourdin sera moins irrité. Puis avec le dopage de Ninah tu pourras tenir longtemps avant de ramollir. Je ne suis pas inquiète, tu auras une vie sexuelle bien remplie sans moi !

– Si je te comprends bien, cela risque de durer longtemps avant que je ne te revoie ?

– Oui Pierre, défonce-moi maintenant jusqu’à l’épuisement de ton sperme !

Je ne me rappelle plus combien de fois nous sommes passés au septième ciel mais à un moment donné j’ai dû m’endormir sans nous désunir !

Jour 45 (semaine 7 – Mercredi ) matin

### Ninah ###

Hier soir on s’était bien amusées. D’abord en compagnie de Brigitte et Pierre qui devait rester simple spectateur. Puis Brigitte nous donna congé lorsque la lance de Pierre était totalement dressée et que naturellement un peu de liquide suinta de son engin ! Amina et moi on avait continué comme des malades enchaînant les orgasmes. Ce matin, encore épuisée, je n’entendis encore rien dans la chambre du maître, et comme Brigitte n’aime pas courir pour prendre son vol, je me permis de rentrer en douce dans la chambre de Pierre.

Le spectacle en valait la peine, Brigitte étendue de tout son long sur le corps de Pierre, les bras autour de son cou. Entre ses jambes, je vis la lance de mon patron encore insérée dans l’intimité de l’hôtesse.

J’eus du mal à croire qu’ils s’étaient endormis en plein rapport ! Je sortis mes seins de l’échancrure de mon déshabillé et passai doucement le téton sur les lèvres de Pierre. Je ne pus voir ses yeux mais à la morsure légère qu’il me fit à mon sein, je sus que je l’avais réveillé !

– Bonjour Patron, murmurai-je.

– Bonjour ma gazelle, en voilà une façon originale de me réveiller !

– Je suis désolée mais je crois qu’il est l’heure !

– Oh oui, dit Brigitte, mais je sens quelque chose entre mes jambes qui reprend vigueur ! Et je vais encore en profiter ! Ce ne sera pas long Ninah !

– Je vais vous laisser alors dis-je.

– Oh non ! dit Brigitte, reste ! dit-elle en se redressant à califourchon sur Pierre. Mets-toi devant moi, embrasse mes seins !

– Oui Ninah, viens te mettre sur ma bouche, cela m’excitera et tu pourras en profiter ! dit Pierre.

Ce fut rapide, au bout de quelques minutes de chevauchée, Brigitte cria son plaisir tout en tenant ma tête contre ses seins. Puis à regret, se désengagea de Pierre pour prendre son gourdin en bouche. Je me penchai pour participer au festin pendant que Pierre me donna mon orgasme ! Le liquide de mon vagin inonda le visage de Pierre et je dus me retourner pour lécher son visage.

Au moment où je m’apprêtai à unir ma bouche à la sienne, Pierre émit un gémissement. J’en déduisis que Brigitte avait gagné et se délectait de l’éjaculation.

– Oh Pierre dit-elle, quel merveilleux petit-déjeuner !

– Oui dit-il, en reprenant mon baiser, j’ai aussi reçu un acompte ! Venez les filles, on gagnera du temps en prenant notre douche ensemble !

– D’accord dis-je je vais vous laver ensemble !

Pierre entra d’abord pour régler la température de l’eau, Brigitte et moi suivîmes ensemble. Je savonnai les seins de Brigitte qui tint la lance de Pierre toujours érigée, puis je passai l’éponge entre ses jambes, n’hésitant pas à titiller son bourgeon. Je me tournai ensuite vers Pierre pour le savonner en desserrant la main de Brigitte pour reprendre à mon tour la hampe de mon patron. Brigitte pendant ce temps me savonna les seins et passa soigneusement entre mes jambes. Cela me donna encore des vibrations, signe que mon orgasme n’était pas encore totalement satisfait.

Nous sortîmes à regret pour nous sécher avec les grands essuies, Brigitte fit encore un long baiser à Pierre, puis m’embrassa passionnément sur la bouche jouant avec ma langue.

– Merci à vous deux dit-elle, merci pour ce séjour !

Je sortis de la salle de bains pour préparer le petit-déjeuner en réveillant Amina au passage, car j’étais certaine qu’elle ne voulut manquer le départ de Brigitte.

### Brigitte ###

Je vins m’asseoir à table après avoir revêtu mon uniforme, je pris mon café et me rendis compte que tous me regardaient avec un grand sourire. Ils ne voulaient pas afficher de la tristesse alors que je ne sus quand on se reverrait. Amina encore mal réveillée affichait son déshabillé affolant que j’aurais encore bien enlevé pour que je puisse la baiser ! Vu le temps qui me restait je me contentai en lui disant au revoir :

– Amina, tu es superbe, soigne bien Pierre et Ninah, je vous souhaite beaucoup de bonheur et à bientôt !

Je l’embrassai sur la bouche et elle répondit à mon baiser en me serrant fort.

– Merci Brigitte, pour ta présence et tes conseils, tu seras toujours la bienvenue !

Mon taxi était arrivé et nous nous quittâmes sans une larme.

### Amina ###

Il régna un grand silence après le départ de Brigitte, Pierre tout autant ému que nous, nous ouvrit les bras en invita à nous consoler. Ninah et moi, on se réfugia dans le même élan contre sa poitrine. Je vis des larmes perler dans les yeux de Ninah et je me laissai aller à mon chagrin. Ma rencontre avec Brigitte avait été brève mais elle avait gagné ma sympathie.

Pierre ne voulut pas nous laisser dans cette avalanche d’émotions et nous guida vers sa chambre. Le lit était encore tout chamboulé, la nuit avait dû être agitée ! Comme je fis un commentaire sur l’état de la chambre, Ninah avoua que ce matin, Brigitte voulut encore une étreinte et que Ninah avait participé à la dernière corrida !

Je fus un peu jalouse, mais n’en fis pas de commentaires sachant que mon habitude de dormir plus tard que les autres m’avait donné d’autres plaisirs. Me collant contre Pierre, je sentis son érection contre mon ventre et décidai que je pouvais encore en profiter ce matin ! Je pris sa verge en main et reculai la peau pour découvrir son gland qui me parut déjà humide. De la paume de ma main, je parcourus l’extrémité de son membre et effectivement un peu de liquide perlait ! Je me redressai pour coller ma bouche à sa lance et entrepris de le sucer pour extraire ce qui pouvait encore se trouver dans le conduit.

Ninah voyant mon agitation se mit à genoux à côté de moi et étendit sa main pour saisir la base de la lance de Pierre et frotta de bas en haut sa verge qui se trouva encore bien dans ma bouche.

Pierre gémit sous ce traitement un peu brutal et demanda grâce !

– Les filles vous êtes bien gentilles mais ce matin, je veux bien un peu de tendresse mais pas de sexe violent !

Je regardai Ninah et nous éclatâmes toutes les deux dans un fou rire.

– D’accord, dis-je, on ne veut pas t’épuiser avant d’aller au bureau, mais moi je veux des câlins et je suis sûre que Ninah c’est pareil !

– Mais Amina, toi aussi tu dois aller travailler ce matin ! Pas question de rester à la villa à ne rien faire! dit Pierre.

– Et donc on va me laisser seule ! dit Ninah.

– Oui ma gazelle, tu vas commencer par mettre un peu d’ordre, car je trouve que la villa est sens dessus dessous ! dit Pierre.

– D’accord dit Ninah, mais ce soir tu devras nous honorer ! ou tu dormiras tout seul !

– On verra, exceptionnellement dormir seul ne me déplaira pas !

– Non, tu ne tiendras pas dis-je pour clore la discussion.

***

En arrivant au bureau, je notai une certaine agitation. Beaucoup d’employés vinrent spontanément vers Pierre pour le féliciter, sans donner de raison.

Devant le bureau de Pierre, la petite qui fonctionnait comme secrétaire l’aborda immédiatement avec un grand sourire :

– Monsieur, le DRH vous attend dans le bureau du DG ! Il vous demande de le rejoindre sans délai.

### Pierre ###

Je partis donc sans attendre pour entrer dans le bureau du DG en me demandant bien ce qu’il y avait de si urgent.

– Bonjour Pierre dit le DG, je suis désolé, mais une fuite dans la communication de Paris ce matin à permis aux employés de connaître une nouvelle importante vous concernant avant que je puisse vous avertir personnellement !

Voilà, j’ai le plaisir de vous annoncer que vous êtes nommé Directeur Général adjoint à partir de ce jour ! Mes sincères félicitations !

Le DRH, me fit une accolade.

– Bravo Pierre, il faudra me donner ton passeport, pour les formalités du permis de résidence.

– Merci beaucoup Messieurs, dis-je, encore tout surpris de la soudaineté de cette décision.

– Pierre, tu es donc appointé de l’entreprise avec un contrat d’expatrié à durée indéterminé. Ton salaire sera adapté et tu gardes tes avantages maison, voiture, domesticité, etc.

– Encore merci, je comprends mieux maintenant pourquoi certains me félicitaient à mon arrivée ce matin.

– Oui, la personne qui a eu connaissance par accident du mail de Paris ce matin, n’a pas hésité à le disperser parmi les cadres. La nouvelle n’a suscité que de l’approbation ce qui est un bon augure !

Je retournai encore sous l’émotion à mon bureau où Amina m’accueillit avec un baiser passionné sur la bouche devant les yeux effarés de la secrétaire. Voilà une nouvelle qui se répandra aussi vite que ma promotion !

– Pierre, je suis vraiment heureuse pour toi, tu mérites amplement cette nomination.

– Merci ma grande, tu es aussi en partie responsable de cette promotion, ta collaboration et tes avis judicieux, m’ont permis de prendre les bonnes décisions.

– Ninah sera heureuse aussi, elle sera rassurée. Elle craignait un peu que tu ne puisses rester longtemps au Congo.

– Oui, j’ai cru comprendre cela lorsqu’elle m’a demandé ce que je ferai si je devais rentrer en France.

– Oui, dit Amina, je vais l’appeler pour lui annoncer la bonne nouvelle.

Amina revint quelques minutes plus tard.

– Ninah te félicite, elle est heureuse, mais la nouvelle s’est déjà répandue à la villa ! « Radio Couloir » a déjà annoncé la nouvelle, mais Ninah n’osa y croire ! Elle prépare une fête intime pour nous trois ce soir !

– Ça promet ! Mais c’est encore tôt pour rentrer !

– Pierre, c’est peut-être tôt pour rentrer dit-elle mais mon corps demande tes caresses.

Elle se rapprocha de ma position assise à mon bureau et se pencha comme pour regarder l’écran de mon laptop, ce faisant elle pressa ses seins contre ma tête et mit une main délicatement contre mon sexe.

– Monsieur le directeur, ton assistante te désire !

– Ma chère collaboratrice, il n’est pas encore midi ! n’insiste pas ! Si cette petite curieuse qui nous sert de secrétaire rentre maintenant dans le bureau que lui diras-tu ? Déjà qu’elle a dû raconter à ses amies que tu m’as embrassé alors si maintenant tu cherches le plaisir, ma promotion risque d’être de courte durée. Rien n’est encore signé ! Jusqu’à présent ce n’est qu’un mail de Paris ! Au fait comment s’appelle cette jeune fille et qui l’a parachuté chez nous ?

– Elle s’appelle Tsela, fraîchement diplômée de l’école de secrétariat, elle est la fille d’un gros planteur de café. Attention elle est Tshiluba, originaire du Kasaï plus précisément elle est Luluwa (Lulua) de Kananga (ex Luluabourg). C’est le DRH qui l’a mise provisoirement chez nous, la semaine passée pour répondre au téléphone pendant notre absence.

– Pourquoi dis-tu « attention » à propos de son origine ? demandai-je.

– Les femmes Lulua ont toujours lutté pour leur indépendance vis-à-vis des hommes, spécialement leurs maris. On prétend qu’elles utilisent des fétiches !

– Et alors ?

– Ne la provoque pas, les Lulua ont combattu pendant des décennies, mais elle pourra nous être utile. Ils ont combattu contre les blancs pendant la colonisation puis contre les Baluba après l’indépendance. N’oublie pas qu’on doit aller bientôt à Kananga, elle pourra nous donner des renseignements sur la région et l’unité de café qui se trouve près de la ville. Cette unité qui ne produit plus rien et dont on a très peu de nouvelles depuis les évènements au Kasaï.

– Alors faisons connaissance puisqu’elle travaille pour nous !

Amina alla chercher la fille, qui se trouvait dans le petit bureau à côté du nôtre. En la regardant de près, je la trouvais habillé correctement, un peu petite avec un charmant sourire. Elle était mince avec peu de poitrine et pas de fesses. Néanmoins elle avait un grand sourire et étonnamment, mon soldat se mit au garde-à-vous en la voyant !

– Bonjour Tsela, je suis désolé mais la semaine passée nous étions en mission à Kikwit et nous n’avons pas encore eu l’occasion de parler. Comme Amina n’est pas venue au bureau avec moi, j’ignorais que vous étiez affectée à notre service.

– Bonjour Monsieur le directeur, en effet, le DRH m’a confié votre secrétariat pendant votre absence. Ce matin Amina m’a résumé en quelques mots votre activité et hier soir j’ai appris que vous êtes nommé directeur.

– Oui en effet ! Alors présentez-vous.

– Oui, Monsieur, je m’appelle Tsela LEVI, j’ai 19 ans j’ai mon diplôme de secrétaire depuis 3 semaines et mon père m’a présenté au DRH qui m’a proposé un contrat d’essai. Mon père habite à Demba et est planteur/négociant de café. J’aimerais bien travailler pour vous et Amina.

– Où habites-tu ? demanda Amina.

– Je loge chez une grande sœur mariée qui a déjà trois enfants que je surveille lorsque je ne travaille pas.

– Tu vas te marier bientôt ?

– Oh, non je n’ai pas d’homme dans ma vie et mon père sait que je ne veux pas encore me marier ! Il m’a proposé plusieurs prétendants mais je les ai refusés.

– Tu es une vraie Lulua alors ! dit Amina. Indépendante, méprisant les hommes qui veulent dominer le monde.

– C’est possible Amina, mais je méprise les hommes qui ne pensent qu’à rabaisser les femmes.

– Alors, tu es bien tombée Tsela ! Mon patron respecte les femmes !

– Tant mieux, y a-t-il des points importants que je devrai savoir pour mon service ?

– Oui, dis-je, je voudrais que tu rassembles avec Amina toutes les statistiques de production de Kananga. Cette unité a été négligée pendant de nombreuses années à la suite des troubles dans la région. D’autre part comme tu es issue d’une famille qui connaît bien le café, je voudrais que tu réunisses les maigres statistiques nationales concernant les plantations de café dans l’est du Congo.

Si cela t’intéresse tu pourras nous accompagner lors de nos prochaines missions lorsqu’elles concernent le café.

– Oui Monsieur, cela m’intéresse !

– Tant mieux, tu pourrais compléter notre équipe, Amina est juriste et connaît bien les problèmes sociaux ; toi tu seras utile pour les problèmes agronomiques.

– Mais Monsieur, je ne connais rien en agronomie !

– Ce n’est pas ce que je demande Tsela, tu as grandi dans un environnement agricole et sans avoir étudié l’agronomie dans les livres, tu as certainement observé pas mal de choses depuis ton enfance. Ici on parle ouvertement, lorsque tu auras une opinion, tu nous communiqueras ton point de vue entre les murs de ce bureau mais jamais devant des tiers.

– J’ai compris Monsieur ! Mais puis-je poser une question indiscrète ?

– Oui Tsela, lorsque nous sommes entre nous, tu es libre de parler !

– Monsieur, tout à l’heure vous avez embrassé Amina, êtes-vous marié ?

– Non Tsela, je suis célibataire, mais j’ai des sentiments pour Amina et sa mère est au courant et tolère que je la courtise ! Est-ce que cela répond à ta question ?

– Oui, Monsieur, excusez-moi je ne voulais pas entrer dans votre vie privée.

– Il n’y a pas de problème, le DRH et le DG sont au courant, mais cela ne nous empêche pas de travailler correctement. En ce qui concerne ton contrat d’essai, je verrai avec le DRH avant la fin de la période d’essai, si bien entendu tu désires travailler avec nous.

– Merci, Monsieur.

– Bien, je propose qu’on déjeune à la cafétéria de l’entreprise, c’est moi qui invite !

NDA : une nouvelle participante dans l’environnement de Pierre ? J’espère que vous apprécierez bientôt sa présence ! Merci de cliquer sur « j’aime »

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