Chapitre 46. Lysa – la bombe de sexe !

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Jour 36 (semaine 6 – lundi) après-midi.

### Lysa ###

Je n’en pouvais plus, je voulais du sexe ! N’importe, que quelqu’un me donne un orgasme ! On était début de l’après-midi, Jaspar était au travail, je ne pouvais pas retourner chez Pierre quand même !

Éloïse, ma première ouvrière était absente aujourd’hui, puis je me souvins que j’avais promis à Ninah de lui faire visiter l’atelier et de lui offrir un boubou d’intérieur.

Je téléphonai à Ninah :

– Bonsoir ma jolie, tu es libre ce soir * ?

– Bonsoir Lysa, oui, Pierre et Amina sont allés au bureau pour rencontrer le DRH, ils ne reviendront qu’à la tombée de la nuit.

– Alors saute dans un taxi, à cette heure tu pourras être à l’atelier dans un quart d’heure ! Je pourrai te montrer le modèle de boubou d’intérieur que je pourrai t’offrir.

– J’arrive !

***

Vingt minutes plus tard, la gazelle comme l’appelle Pierre était dans mon atelier. Je ne voulus pas la jeter sur mon lit dès son arrivée et je me maîtrisai pour lui montrer l’atelier sans entrer dans le dédale entre les machines et les tissus.

Elle ne s’imagina pas que c’était aussi grand. J’eus l’occasion de la prendre gentiment par les épaules.

– Ninah, je sais que nos relations ont mal commencé à l’époque où je voulais que Pierre me fasse l’amour, mais je voudrais profiter de cet aparté pour te dire que je regrette cet incident. Tu as compris depuis que j’ai des pulsions de sexe pour Pierre et je suis heureuse que depuis hier nous sommes amies sans arrière-pensée !

– Oui, Lysa lorsqu’on s’est rencontrées Pierre avait la visite de Brigitte pour quelques jours et il était hors de question que tu viennes à ce moment-là. De plus j’ignorai que tu étais la maman d’Amina ! Sinon j’aurais peut-être donné un autre prétexte que de te faire reconduire par la sécurité !

– C’est le passé ! C’est bien la preuve que tu tiens à ton patron, tu le soignes bien. Tu es une excellente cuisinière et j’ai beaucoup apprécié ta moambe même si tu as profité de l’occasion pour doper le sexe de Pierre. On en a tous bien profité. Mais Ninah fait attention, n’abuse pas trop de ces substances, J’ai toujours la mort de mon mari en tête, il partit au travail après m’avoir baisé intensément le matin, il mourut dans la rue sur le chemin vers son travail.

– Oh, Lysa je ne savais pas, il prenait aussi des stimulants ?

– Non, pas du tout, c’était un vrai taureau ! Assane me faisait très souvent l’amour ; il n’a jamais regardé une autre femme ! Il n’a jamais pris une coépouse alors qu’il en avait le droit puisqu’il était musulman. Et toi, comment as-tu atterri chez Pierre ?

– Oh c’est très simple, j’étais la boyesse de l’entreprise en charge de la villa qu’occupe Pierre. Avant lui, il y eut l’ancien DG blanc qui était un grand vicieux qui couchait avec des blanches et des noires sans distinction. Il a aussi voulu coucher avec moi mais je lui ai donné un coup dans les parties. Depuis mon viol par mon oncle lorsque j’étais à peine adolescente, j’ai refusé de m’approcher des hommes et je n’ai eu des rapports avec aucun homme. Mais Brigitte m’a convaincu que l’amour entre femmes c’était merveilleux et c’est aussi Brigitte qui m’a révélé que Pierre faisait aussi bien l’amour.

– Tu as fait l’amour avec Brigitte ?

– Oui, elle m’a tout appris !

– Et avec moi tu le ferais aussi ?

– Bien sûr Lysa !

– Ninah, ce matin je n’ai pas eu mon compte avec Pierre, et je brûle encore de désir, viens avec moi, j’ai une chambre ici à l’atelier où je reste parfois dormir quand j’ai trop de travail.

– Et c’est ici que tu as baisé avec Pierre ?

– Oui, qui te l’a dit ?

– Personne, je l’ai deviné lorsqu’il est rentré cette nuit-là !

Je n’en pouvais plus, je défis le top de Ninah et passai ma main sur ses tétons, elle gémissait au premier toucher, mais ne resta pas passive. Elle défit la fermeture de mon boubou qui tomba sur le sol j’étais nue en un tournemain !

– Tu connaissais cette fermeture ?

– Oui, Amina a un boubou pareil ! Elle m’a dit que vous les fabriquez pour les femmes pressées !

– Oui c’est un peu ça, tout à l’heure je t’en donnerai un encore plus sexy ! Mais maintenant fait moi l’amour !

Elle me poussa sur le lit et écarta mes jambes sans délai, immédiatement elle plongea sa tête entre mes jambes et sa langue nerveuse vint titiller mon bijou. Les vibrations furent extraordinaires ! Cette fille sut exactement où passer avec sa langue ! C’était tellement bon, c’était la même caresse buccale que Pierre m’avait déjà pratiqué. Elle était d’une douceur étonnante au point que je croyais dur comme fer que c’était Pierre et mon fantasme fut tellement puissant que je criai le prénom de Pierre pendant mon orgasme !

Mais la délicieuse n’avait pas fini, elle se redressa et glissa une jambe entre les miennes pour que nos lèvres intimes se touchent. Je vibrai encore de ma jouissance lorsqu’elle me prit en ciseaux et me massa avec son intimité contre la mienne. En même temps elle pinça violemment mes seins, la douleur de mes tétons se transmit dans mon corps entier ! Mon orgasme revint au pas de charge et nous eûmes une jouissance ensemble. Dans mon éblouissement je pris la tête de Ninah et lui fis un baiser profond sur la bouche.

Dieu, que cette fille baisait bien ! Elle devait être excitante dans le lit de Pierre !

– Ninah, merci ! Ne bouge pas encore, mon corps vibre toujours … laisse-moi récupérer…

Au bout de quelques minutes je fus capable de me lever et je plaçai ma bouche sur les seins dressés de Ninah.

– Veux-tu que je te fasse autre chose ?

– Non, Lysa cette jouissance me comble, je garde un peu d’énergie pour mon patron qui ce soir voudra calmer son gourdin entre mes jambes !

– Viens alors, j’ai ici des boubous « express » comme je les appelle, le nouveau modèle est basé sur la même fermeture aux épaules mais avec un décolleté très large et profond, qui vu l’érotisme ces modèles ne peuvent être mises qu’à l’intérieur. Je compte vendre ce modèle qu’à des femmes mariées qui veulent remettre un peu de passion dans la relation avec leur mari et à des maîtresses (les deuxièmes bureaux !) mais pas aux professionnelles du sexe qui hantent les hôtels et les boulevards ! Avec ce vêtement Pierre ne te résistera pas ! Amina sera jalouse, mais tu peux lui dire que je prépare la sienne dans quelques jours car sa taille est légèrement plus grande et cette robe doit être bien ajustée pour produire tout son effet à l’homme qui la verra !

– Merci, Lysa, je vais rentrer maintenant avant que les embouteillages commencent ! Je passe encore en vitesse au marché pour quelques fruits. À bientôt et merci pour cette robe !

– De rien la gazelle, embrasse Pierre de ma part !

### Ninah ###

En arrivant dans l’atelier je vis immédiatement que l’invitation de Lysa n’était pas seulement pour m’offrir un boubou. Elle avait la même attitude que lorsqu’elle avait envahi la villa pour baiser avec Pierre !

Cette femme était en transe de désir !

Elle me fit voir l’intérieur de l’atelier sans le parcourir, toutes les ouvrières étaient activement occupées à couper, coudre et repasser ! C’était une véritable ruche !

Puis elle me ramena dans la chambre attenante à l’atelier où on fit plus ample connaissance, c’était la chambre où elle avait baisé Pierre un soir ! Elle s’excusa d’abord de son agressivité lors de notre première rencontre où elle voulait absolument attendre Pierre dans son lit alors que Brigitte était en visite pour plusieurs jours.

Puis elle me proposa que je lui raconte un peu ma vie, mon viol, l’ancien DG, mon éducation sexuelle par Brigitte et mon amour pour les caresses de Pierre. Tout en parlant elle défit mon top révélant mes seins tout dressés qu’elle caressa avec tendresse, je ne la crus pas capable de se dominer tellement son désir transpirait dans son attitude. Je défis son boubou qui tomba à ses pieds, elle était totalement nue, je mis mes doigts dans son intimité. Mon Dieu elle était trempée ; je n’hésitai pas et la poussai sur son lit en écartant les jambes. Elle sentait la douce odeur de coco, décidément on avait toutes le parfum favori que Pierre aimait sentir entre nos jambes et sous nos bras !

Je n’hésitai pas et lui appliquai toute la science que Brigitte m’avait apprise, je fouillais son intimité aussi loin que le permettait ma langue en passant alternativement sur son bijou, ses grandes lèvres et son entrée de vagin ! Elle eut très vite des tremblements de jouissance et je continuai jusqu’à ce qu’elle explose en criant le prénom de Pierre. Je ne la laissai pas récupérer et j’insérai mon genou entre ses jambes pour que je puisse la prendre en ciseaux comme Brigitte m’avait enseigné. Là, je pus prendre mon plaisir en la masturbant avec mon bijou contre le sien. Je ne manquai pas de pincer ses tétons qui étaient aussi durs que les miens, je pensai à Pierre qui avait déjà bien dû prendre son plaisir avec cette femme. Elle gémissait et essaya de ne pas crier, car je supposai que l’atelier aurait tout entendu. L’explosion fut quasi simultanée !

En conclusion elle prit ma bouche pour entamer une bataille de langues délicieuse. Elle était comblée, mais me proposa quand même très gentiment si je voulais encore des câlins. C’était de trop pour ce soir et je préférais garder des réserves pour cette nuit avec Pierre et sans doute Amina. Elle me garda maternellement dans ses bras, oh j’aurais aimé qu’elle fût ma mère !

Puis elle alla chercher le boubou qu’elle me destinait, il était un rouge très foncé que Lysa appela rouge bordeaux et en le passant sur moi je pus voir que devant l’ouverture descendait entre mes seins pas loin de mon ventre. L’encolure était très large et je pouvais laisser apparaître mes seins en partie ou totalement selon mon désir. J’étais certaine que Pierre allait adorer ! Il avait bien entendu la fermeture express sur les épaules qui me permettait de me mettre nue en quelques secondes. Mon maître pourra jouer avec moi à sa guise, rien que de m’imaginer devant lui je sentis mon intimité s’humidifier à nouveau.

Lysa me fit un paquet discret pendant que je remis mes vêtements. Il était temps que je rejoigne la villa en passant par le marché pour acheter quelques fruits. Lysa eut la gentillesse de demander à Joseph, son taxi personnel, de me déposer au marché puis à la villa.

Je m’étais bien réconciliée avec Lysa et en partant elle me demanda d’embrasser Pierre de sa part. J’étais certaine qu’elle ne restera pas longtemps sans revenir ! Cette femme était une bombe de sexe que seul Pierre et moi combinés pourrions désamorcer ! Je l’admirai pour la bonne tenue de son corps, elle devait avoir à peu de chose le même âge que Pierre et elle avait une fille de 26 ans soit trois ans de plus que moi et son corps n’avait aucune graisse disgracieuse. Son travail journalier de transporter des rouleaux de tissus et une vie sans excès (à part le sexe) avaient certainement contribué à lui garder un corps très agréable à regarder. Elle était une version à peine plus mature d’Amina et les deux femmes pouvaient rivaliser sans peine à la conquête de Pierre. Comme aurait dit Brigitte dans son langage ‘ elle était plus que baisable’ !

Cela ne m’étonnait pas que si Lysa voulait coucher avec Pierre, il n’eût aucun effort à faire pour jouir en lui donnant son plaisir ! Moi, elle me plaisait bien ! De plus je comprenais qu’à l’époque Pierre ne voulait pas créer de scandale, il eut certainement pitié de Lysa, jeune veuve sans compagnon et à qui la vue d’un beau mâle blanc avait dû la faire mouiller abondamment. Lysa, pendant qu’elle prépara ma robe avait raconté que la première fois elle avait agressé Pierre qui était sensé dormir seul dans la chambre d’Amina, mais qu’elle n’avait pas de préservatif et qu’elle avait dû se contenter de se laisser masturber par Pierre. Elle s’était reprise quelques jours plus tard en venant comme une pute de luxe dans la chambre de Pierre à l’hôtel où elle put jouir sans frein et d’après elle Pierre avait pris son plaisir sans remords.

Pauvre Pierre ! j’avais un peu de compassion pour lui, prisonnier de quatre femmes ! qui toutes voulaient se satisfaire de son sexe, c’était un piège sans sortie !

En arrivant à la villa je préparai les fruits achetés avec ceux que j’avais déjà pour faire une belle salade de fruits frais, puis je me vêtis de ce boubou superbe. En m’admirant dans le grand miroir, je fis des essais de différentes positions de l’encolure, ce fut magnifique ! Je pouvais varier la largeur et la profondeur de décolleté à ma guise sans grande manœuvre, c’était vraiment génial. Pour attendre Pierre, je pris une solution discrète où seule la naissance de mes seins était visible ! Quelle belle soirée en perspective !

NDA : * Pour rappel en Afrique Subsaharienne le « soir » débute après midi jusqu’à la nuit tombée et on se salue « bonsoir » à partir de 14 heures.

Oui, c’est surprenant mais Lysa était vraiment chauffée ce soir ! Ce rapport féminin était une première dans ce récit, mais Lysa avait déjà tenté le coup avec Éloïse dans le passé !

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