Chapitre 45 La première nuit avec maman

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Jour 36 (semaine 6 – lundi) matin.

### Amina ###

Quelle nuit !

Je vis maman qui pratiquait une fellation gourmande à Pierre pendant je caressais ses bourses sur les conseils de ma mère ! Ce traitement devait être puissant et Pierre éjacula en criant dans la bouche de ma mère. Maman se pencha vers moi pour partager son sperme. Mais comme Pierre ne débanda pas je me plaçai à califourchon sur sa bouche, lui tournant le dos pour être face à ma mère, je comptais le masturber une seconde fois mais ce fut maman qui plaça un préservatif sur son sexe toujours tendu, elle soupira d’aise en enfonçant la verge entre ses jambes., Ma cyprine devait couler en grande quantité dans la bouche de Pierre qui aspira avidement pendant que maman jouit en dansant sur sa bite. Maman devait vraiment fantasmer d’un rapport avec Pierre, son orgasme se déclencha un peu avant le mien. Nous tombâmes toutes deux sur le côté laissant sa queue pulser devant nos yeux. Ce fut maman qui reprit la masturbation de Pierre et je vis son sperme jaillir à l’air libre et retomber sur son ventre où nous récupérâmes son jus.

Ce fut une véritable jouissance de voir Pierre réagir à peine à notre léchage de son liquide blanc visqueux par maman qui m’en laissa un peu !

– Merci, Amina me dit-elle avant d’embrasser mes seins, Tu as vu comme c’est facile de faire jouir un homme ! Il fera notre plaisir quand nous voudrons ! De plus Ninah peut nous garantir qu’il bandera souvent et longtemps à condition de ne pas abuser ! Je ne tiens pas à perdre Pierre dans une crise cardiaque !

Je basculai dans les bras de maman, qui mit sa main sur mon intimité, sans pousser ses doigts dans mon vagin.

– Ne faiblis pas ma fille, tant que tu garderas ta virginité, il te respectera. Lorsqu’il sera rassuré sur son avenir au Congo, si tu es toujours déterminée à l’épouser, j’organiserai un mariage aussi beau que celui de la petite sœur du DG !

– Maman, tu n’y es pas ! C’est Pierre qui refuse de me déflorer malgré mon désir !

– Alors je comprends sa fougue quand il me baise ! On dirait qu’il se défoule sur moi de ce qu’il ne peut pas encore faire avec toi !

Maman finit à peine sa phrase que Ninah vint dans la chambre entièrement nue, elle m’embrassa et puis se pencha sur Pierre endormi.

– Ninah, dis-je tu devras attendre un peu car même si inexplicablement son pieu est toujours dressé, il doit être épuisé !

– J’espère que non dit-elle, j’ai mis dans la moambe un secret de famille qui d’après la vieille du village fait bander même les morts ! Ma tante appliquait cette recette pour ses amants !

Elle prit un préservatif et couvrit la lance de mon amant, sans respirer elle s’assit sur son corps enfonçant son gourdin entre ses jambes !

Maman fut choquée et demanda à Ninah si c’était Pierre qui avait pris sa virginité. Mais Ninah répliqua entre les coups de butoir que c’était son oncle qui l’avait violée et qu’elle haïssait tous les hommes sauf Pierre qui lui avait appris l’amour et la tendresse du rapport sexuel.

– Alors dit maman, garde bien ton stimulant à portée de main, car à nous trois il risque de faiblir !

– Oh non, Lysa il est juste plus lent à se décharger, je ne l’ai vu qu’une seule fois avoir un orgasme sans qu’il n’éjaculât !

– Tu couches souvent avec lui ? demanda maman,

– Oui, Lysa chaque nuit lorsqu’il n’est pas en mission ; et il m’a manqué cette semaine ! mais je partagerai volontiers avec toi ! dit-elle tout en continuant de danser sur Pierre qui s’était réveillé sous l’agression.

– Oh Ninah, dit-il, je ne suis pas sûr de tenir la distance !

– Ne t’en fais pas patron, je t’ai dopé avec la moambe !

Mais ce fut Ninah qui ploya sous l’orgasme avant Pierre. J’ôtai le caoutchouc et repris les caresses sur sa verge, je fus rejointe par Maman et puis aussi par Ninah jusqu’à ce que Pierre grinçât sa jouissance avec très peu de sperme qui fut récupéré par Ninah.

Pierre semblait s’évanouir sous la jouissance mais garda Ninah serré contre lui, pour le plus grand plaisir de celle-ci.

Quelques heures plus tard, Pierre émergea de son sommeil post-coïtal, il comprit soudain qu’on était lundi et qu’il aurait dû être au travail !

Je pus le rassurer en lui disant que ce matin, j’avais démissionné Zakpa, son chauffeur, avec le message que Pierre restait à la maison avec moi pour rédiger son rapport de visite. Il se leva quand même et pris Ninah dans sa douche !

Je n’étais pas jalouse, malgré le regard inquiet de maman à mon égard, elle me prit dans l’autre chambre pour que nous nous lavions. Maman était heureuse et me le fit sentir en me lavant avec tendresse.

– Merci ma chérie, je suis heureuse que nous avons surmonté cette crise ! Je te serai éternellement reconnaissante. Je te promets de rechercher à assouvir mes désirs avec Jaspar, mais ce qui vient de se passer cette nuit, me prouve que Pierre me satisfait beaucoup mieux que Jaspar.

– Maman, je comprends, quand je constate que toutes les femmes qui ont couché avec Pierre sont folles de ses caresses, je sais que jamais je n’aurai l’exclusivité !

Elle me lava avec toute la douceur dont elle avait preuve toute sa vie, mes seins et mon entrejambe furent calmés par sa douceur.

Nous sortîmes de la douche apaisées et maman me signala qu’elle allait à son atelier surveiller les commandes en cours.

Avant de prendre congé de Pierre elle put pour la première fois l’embrasser passionnément devant Ninah et moi.

– Merci Pierre, je suis heureuse du dénouement de ce qui aurait pu briser la relation avec ma fille. Je vais réfléchir pour trouver une solution à votre bonheur ! Passe une bonne semaine !

Je vis maman caresser tendrement son bas-ventre, sacrée maman, je souriais en la regardant faire ! Il faut croire que le pénis de Pierre était magique. J’aspirais au jour où je le sentirai dans mon vagin !

En attendant j’étais jalouse de maman et de Ninah qui pouvaient profiter entièrement de lui. Ma virginité était lourde à porter !

### Pierre ###

Seigneur ! Comment pourrais-je passer la journée avec une érection pareille en short ? non, ce serait inconfortable.

Amina me suggérait de mettre un boubou qui traînait dans mes affaires et qu’elle avait aperçu lors du déballage de ma malle, il y a quelques semaines. C’était un boubou beige avec des motifs de grains de café. Il était de confection simple : une encolure pour passer la tête et cousu en dessous des bras pour fermer les côtés ; je l’avais reçu lors d’une mission au Cameroun. Beaucoup d’hommes portaient ce genre de vêtement ce qui autorisait de rester nu en dessous, ce qui était intéressant par fortes chaleurs !

Je le sortis de mon armoire, on voyait quand même un renflement en dessous du ventre, mais cela restait discret et c’était quand même pour rester à la maison.

Lysa était partie, je me mis au travail, en plus du rapport de visite, j’avais quelques mails à répondre pour mes patrons en France.

Amina me rejoignit dans mon bureau, elle était fraîche et souriante et m’embrassa sur la tête.

– Merci Pierre, ton idée était la bonne ! Elle vaut mieux que de briser notre entente, je crois que maman nous aidera à trouver une solution.

Comment te sens-tu, je crois que Ninah a été un peu fort dans la dose ?

– Non, je ne pense pas, ce n’est pas la première fois que je ne débande pas après un rapport sexuel un peu chahuté !

Je me rappelais de l’entente entre mère et fille qui m’avaient pris pour leur jouet sexuel après cette moambe délicieuse dont ma portion avait été trafiquée avec un aphrodisiaque puissant.

J’avais résisté à leurs ébats inattendus et malgré un nouvel orgasme ce matin à l’initiative de Ninah avec Amina et Lysa comme spectatrices et complices, je n’étais pas calmé !

Amina vint s’asseoir sur mes genoux, pour relire mon rapport sur l’écran de mon laptop, en serrant son postérieur coquin contre mon gourdin. Tout en lisant très sérieusement mon texte et corrigeant quelques fautes de frappe, elle me demanda :

– Pierre, crois-tu que maman fera quelque chose pour qu’on puisse s’aimer sans retenue ?

– Amina, ma grande, ta mère a une sphère d’influence très étendue, son atelier de couture a une clientèle de femmes épouses ou maîtresses d’hommes politiques très puissants. Cette influence peut nous être bénéfique mais aurait pu tourner en catastrophe si notre entretien d’hier soir avait tourné en dispute, je n’aurais pas donné cher à mon avenir dans ce pays !

– Pierre, j’en suis consciente, mais avec la nuit que nous avons passée ensemble, j’ai pu constater que maman a un désir incroyable qui ne sera jamais satisfait par Jaspar. Hier soir, elle m’avoua que la relation avec Jaspar était agréable mais manquait d’initiative et d’une banalité consternante. Pierre, maman ne te lâchera pas en tout cas pas dans un futur proche. Mais ce ne sera pas au détriment de notre bonheur. Pierre, tu as trois femmes africaines à tes pieds, qui désirent toutes jouir de ta lance et tant que nous serons toutes les trois satisfaites sexuellement, tout se passera très bien.

– Tu as raison Amina, je devrais absolument éviter des jalousies. Il y a quelque temps j’ai lu un livre écrit par une Africaine qui racontait son calvaire en tant que coépouse jusqu’au jour où elle avait compris qu’elle ne devait plus agir comme rivale mais comme une amie et qu’elle devait favoriser les relations de son mari avec sa première femme.

– Oui, Pierre j’ai le regret de te dire que tu vas devoir vivre avec trois coépouses même si vis-à-vis du monde extérieur tu as une fiancée, une belle-mère et une servante.

– Ah, j’ai une fiancée ?

– Si, bien sûr, maman est d’accord que tu couches avec moi, mais tu as promis de ne pas me déflorer. Elle veut organiser un mariage plus beau que celui de la petite sœur du DG, alors dis-moi n’est-ce pas comme si on est fiancés ?

À ce propos, la petite sœur du DG n’a pas su attendre, elle ou son mari, car j’ai appris qu’elle était déjà enceinte avant son mariage de deux mois. Une amie commune m’a confié que son ventre commençait à s’arrondir très légèrement ! De plus je crois que maman s’en est rendu compte lors des derniers essayages !

– Amina, tu vois ! Ce genre de secret ne tient pas longtemps, bientôt son cercle d’amies et connaissances seront toutes informées et je crois qu’il est providentiel qu’ils partent très rapidement en France. Avec la distance, ce genre de ragot ne fera pas long feu et tombera vite dans l’oubli. Pour peu qu’ils ne soient pas trop pressés pour annoncer la naissance, les gens ici ne calculeront pas pour découvrir que ce ne sera pas un prématuré !

– Tu as raison Pierre mais n’empêche que j’ai un désir violent de toi ! Je sens ton serpent qui m’invite !

À ce moment précis Ninah vint nous annoncer que le repas était prêt. En voyant Amina sur mes genoux elle sourit à pleines dents et vint serrer ma tête contre ses seins. Elle devait être très excitée aussi car je sentis ses tétons durs contre mes cheveux.

– Pierre et Amina, venez vite à table, je voudrais continuer les ébats de ce matin ! Je n’ai pas cessé de mouiller depuis ce matin. Je parie que tu es toujours dressé comme pour aller au combat ?

– Oui, Ninah nous venons manger avant qu’Amina me torture ! Mon sexe est dur comme une barre de fer, ce rapport de visite est terminé, je l’enverrai ce soir au DG et à Paris. Tout le monde sera rassuré !

Jour 36 (semaine 6 – lundi) après-midi.

### Lysa ###

Ce matin, j’étais encore sous le choc de la nuit de dimanche. La venue de Ninah nue, dans la chambre de Pierre où Amina et moi nous dormions dans les bras de Pierre me prit de court. Ninah parvint à obtenir une érection du sexe de Pierre avec une facilité déconcertante, quelle santé cet homme !

Mais Ninah n’était pas vierge et dansa sur la lance de Pierre avec un préservatif. Je croyais d’abord que Pierre avait défloré Ninah, mais celle-ci me révéla qu’elle avait été violée à sa puberté par son oncle. Depuis elle fuyait les hommes et c’est Pierre qui lui apprit l’amour.

Cela me rapprocha encore plus de Pierre, je savais qu’il avait un grand respect pour moi, car il parvenait à calmer mes pulsions dans une discrétion totale et sans abuser de notre relation. Mais la nuit dernière Pierre était vraiment inépuisable et c’est ce matin que j’appris que la diablesse de Ninah l’avait drogué ! Cette fille me plaisait, malgré l’accrochage à notre première rencontre, elle protégeait Pierre et l’aimait certainement en silence !

C’était étonnant qu’Amina qui était folle de Pierre accepte aussi facilement de partager les faveurs de Pierre avec la servante et maintenant avec moi ! Comment pourrais-je gérer ma relation avec Pierre. L’expérience avec Jaspar, fut intéressante mais sans plus ! Manifestement j’étais aussi attirée par la peau blanche de Pierre que ma fille ! comment expliquer cette attirance ?

Je n’étais pas à la recherche d’une relation pour l’argent, j’avais des revenus suffisants pour moi et ma fille, l’atelier fonctionnait à merveille et ma renommée s’amplifiait grâce aux mariages et aux maîtresses des hommes politiques. Bientôt il faudra encore acheter de nouvelles machines et sans doute engager une ou deux filles en plus.

Mes investissements étaient réalisés sur fonds propres depuis la création de ma petite entreprise sur les conseils de mon défunt mari et aujourd’hui encore je pourrai toujours demander conseil à Jaspar et à Pierre.

Je n’avais pas de dettes et mes clients me payaient à la commande ! Il n’y avait que ma vie sentimentale qui posait problème ! Jaspar était gentil, il en pinçait pour moi, c’était certain mais mes pulsions ne se calmaient qu’avec Pierre ! La preuve ! rien que de penser à lui, mon corps réagissait et j’avais la cyprine qui débordait de mon intimité. Même du vivant de Assane je n’avais jamais connu cela ! J’avais à peine quitté Pierre ce matin que mon envie de lui reprenait le dessus !

NDA : Voilà, comme promis le deuxième tome commence direct dans la foulée du premier. Merci de votre lecture assidue, j’espère récolter beaucoup de petits cœurs !

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