IRIS - Y'a des capotes dans ce bureau ?

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CONTENU OLE OLE ATTENTION ! :p

Boy Epic - Dirty Mind

J'écrase mes lèvres sur celles du ricain, comment j'ai réussi à résister aussi longtemps ? Mes veines sont en feu, tout mon corps brûle, s'embrase au seul souvenir du baiser d'hier... j'ai un besoin vital, sauvage et primaire de dévorer sa bouche.

Nos dents s'entrechoquent, nos langues se trouvent et reprennent la danse qu'elles avaient commencée dans ma chambre. J'agrippe ses cheveux à pleines mains, je gémis en me frottant contre son bassin. J'ai faim de lui, nos souffles sont en parfaite harmonie, on oublie presque de respirer.

Puis sur le moment, j'ai brusquement peur qu'il me repousse, qu'il parte encore... Une petite prise de conscience me ramène sur terre, je quitte sa bouche, prête à rebrousser chemin. Je suis folle ! Bonne à enfermer !

Mais sa main s'empare impérieusement de ma nuque, et l'autre retire mes lunettes en les envoyant valser sur le sol. Ses yeux verts brillent avec intensité, il passe un pouce sur ma lèvre inférieure et la fixe comme s'il allait me dévorer.

Sexy en diable, le Cow-boy joue avec moi, glisse sa main libre dans mes cheveux, en tirant légèrement dessus pour me faire lever la tête vers lui. Je pose mes paumes contre son torse, m'agrippe au tissu, comme un point d'ancrage, sinon je vais basculer et ne répondrais plus de rien.

Ses lèvres sensuelles effleurent ma joue, puis glissent avec une lenteur extrême vers les miennes. Son parfum m'enivre, me rend folle, je ferme les yeux et inspire cette fragrance merveilleuse. Il frôle ma bouche délicatement, mon corps entier frissonne, ses caresses sont lentes et précises.

J'ouvre les paupières, ses émeraudes me fixent, enflammées de désir. Je franchis à nouveau l'infime distance qui nous sépare et presse mes lèvres contre les siennes. Doucement, lentement notre ballet charnel reprend, sa paume chaude emprisonne ma joue et je frémis. Il passe une main sous mon haut, caresse le creux de mes reins et remonte jusqu'à mon soutien gorge.

Je porte quoi comme sous-vêtements ? Je suis épilée ? Oh et puis je m'en fous !

Je passe mes mains derrière sa nuque pour prendre pleinement possession de sa bouche. Blondie se fait plus pressant, plus gourmand, puis s'écarte de moi, regarde autour de nous pendant que je reprends mon souffle.

— Viens par là, il me souffle en m'agrippant par les fesses pour me porter sur lui.

Il ferme la porte du bureau de Marie et me plaque contre celle-ci en s'appropriant de nouveau mes lèvres. J'en veux plus, je veux tout de lui, goûter chaque centimètre carré de sa peau. Je tire sur sa chemise sans délicatesse et les boutons s'envolent dans la pièce. Il la fait tomber, et j'ôte son débardeur qui part rejoindre sa copine sur le sol.

J'admire son torse musclé et passe mes doigts sur ses tatouages magnifiques. Je dessine les contours avec mon index et dépose des baisers sur les formes qui serpentent sur sa peau. Je lèche, embrasse, mordille... depuis le temps que je rêve de le goûter ! Sa peau est douce, délicieuse et je soupire de bonheur.

Ses mains soulèvent mon tee-shirt pour le retirer à son tour. Ses yeux se posent sur mes seins et s'embrasent instantanément. Il mord sa lèvre et je me liquéfie sur place.

— Alors tu permets enfin que je te les casse tes ovaires ? il me demande avec un sourire taquin planté sur sa tête d'ange.

Je rigole en repensant à notre première rencontre, tandis que mon Cow-boy sexy m'embrasse et me dépose au sol. Il me retourne contre la porte et se frotte contre mon dos :

— Verrouille cette satanée porte, il me susurre d'une voix autoritaire. Son souffle dans mon cou me fait délicieusement frissonner de la tête aux pieds.

Je tourne la clef, et je sens ses mains puissantes envelopper mes hanches. Sa bouche glisse sensuellement sur ma nuque, mes omoplates, le long de ma colonne vertébrale, avant de descendre encore plus bas. Il parsème mes jambes de petits baisers en me délestant de mon jean et mes chaussures qui volent au loin.

Mon Dieu ! Je suis en feu, mes sens sont démultipliés, je n'ai jamais ressenti quelque chose de semblable. C'est si bon ! Blondie remonte et je le sens bander contre mes fesses. C'est tellement excitant que je mouille encore plus.

Ses mains saisissent mes cheveux pour me faire tourner la tête et ses lèvres capturent les miennes. Sa paume brûlante descend lentement sur mon ventre, il joue avec la dentelle de ma culotte et me torture en dessinant les contours sans jamais franchir les barrières du tissu. Je me cambre et grogne contre sa bouche, impatiente. Cet idiot rigole dans mon cou, puis mordille ma peau, me griffe et bordel comme j'aime ça !

Il me retourne et se place à genoux devant moi. Il embrasse alors l'intérieur de ma cuisse en remontant doucement vers mon sexe trempé, puis décale le tissu de ma culotte et insère un doigt en moi. Je penche la tête en arrière en gémissant, il me lèche à travers mon sous-vêtement, d'une lenteur inouïe. Impatiente, j'attrape alors la crinière dorée du Cow-boy pour plaquer sa bouche contre moi.

Des milliers de chocs électriques traversent mon corps lorsque sa langue experte parcourt mon intimité et qu'il enfonce un deuxième doigt en moi. Il cale carrément une de mes jambes au-dessus de son épaule pour me dévorer plus en profondeur. Il suce, mord, aspire mon clitoris avec douceur et avidité.

Je me laisse complètement emporter par ses caresses érotiques. Les émotions sont tellement intenses que je crie de plaisir sans retenue. Je vais devenir folle... je suis sur le point de jouir, mon sexe se contracte, mais le ricain arrête son ballet avec un petit sourire en coin. Il le sent, il sait que je suis proche du précipice, mais il a décidé de faire durer le plaisir ! Pour un peu et je lui donnerais une claque !

Blondie se relève, le menton brillant de sécrétion vaginale et je détourne le regard un peu gênée. Mais il attrape doucement mon visage dans sa main et plante ses iris flamboyants de luxure dans les miens. Ciel ce qu'il est sexy ! Son index se plante devant ma bouche, caresse mes lèvres et se glisse à l'intérieur. Je l'entoure de ma langue, suce et avale le nectar qui recouvre son doigt.

Nos regards sont ancrés l'un dans l'autre, sa bouche est légèrement ouverte. Je ressens tout le désir qui l'anime et me frotte langoureusement contre lui.

Sa main libre dégrafe mon soutien-gorge et le fait tomber avec le reste de nos fringues. Ses yeux quittent les miens pour admirer ma poitrine, un sourire ravi illumine son visage. Il retire son doigt de ma bouche et saute sur celle-ci, affamé, nos langues s'entremêlent et le goût de mon plaisir explose sur nos palais.

Pendant ce temps, mes mains se débattent avec la ceinture de son jean, victoire ! La boucle a perdue la bataille ! Je glisse avidement une main qui rencontre son sexe déjà bien dur et dressé à travers son boxer. Aaaah je meurs !

Nos bouches se séparent et Blondie me demande avec un petit sourire d'excuse :

— Mmmm, y a des capotes dans ce bureau ?

— T'en as pas sur toi ? je ronchonne en levant les sourcils.

Il me fixe comme s'il était vexé par mes paroles, puis me répond :

— J'ai une tête à me promener avec des capotes dans la poche ?

— Ouais ! je réponds en rigolant. Attends, je vais voir.

Je suis en train de fouiller dans un des tiroirs du bureau de Marie, quand je le sens se coller contre moi... totalement nu. PAR TOUS LES SAINTS ! Il se penche, dépose des baisers humides dans mon cou, et me souffle à l'oreille :

— T'as trouvé ? Parce que j'en peux plus d'attendre...

Je frissonne, sous l'effet de ses paroles et de notre peau à peau. Je me retourne en brandissant ma trouvaille, il s'en empare et me tire par la main. J'ai quand même le temps d'admirer son corps parfait, ce mec est un véritable dieu grec ma parole !

Sans attendre, Blondie me plaque de nouveau contre cette fichue porte, décidément ça lui plait ! Je zieute sur son sexe dressé, tandis qu'il met le préservatif. Oh par les saints ! Quel cachotier ! Il ôte ma culotte, la jette sur le canapé, puis m'embrasse rapidement et avec férocité avant de me retourner en plaçant un bras sous ma poitrine.

Il me mord l'épaule et me soulève pour s'introduire impérieusement en moi.

OH MON DIEU !

Je prends appui contre la porte et cambre mon dos pour l'accueillir entièrement. Il me pénètre brutalement jusqu'à la garde et c'est tellement bon, putain ! Je l'entends gémir dans mon dos, tandis que ses mains s'accrochent à mes seins.

On reste un moment collé l'un à l'autre sans bouger, le souffle court, puis nos corps entament des mouvements fluides et bestiaux. Je suis envahie par une faim dévorante et lui aussi. Nous gémissons ensemble, ses coups de reins sont un véritable délice, un incroyable tourbillon de puissance et d'euphorie.

Il me tourne ensuite face à lui, j'enroule mes jambes autour de ses hanches et plaque ma bouche contre la sienne. Nous ne répondons plus de rien, nous avons quitté nos corps et le désir animal emporte tout le reste. Nos bouches fusionnent, je griffe son dos et passe mes doigts dans ses cheveux déjà bien ébouriffés, alors qu'il continue de me marteler impitoyablement. Mon dieu, c'est exquis !

Nos yeux se trouvent, connectés, unis et soudés, à cet instant j'ai l'impression d'être sur une autre planète... Je suis certainement folle ou idiote, mais une sensation étrange s'empare de moi et je sens déjà que je vais avoir du mal à me passer de cet homme que je connais pourtant à peine...

Une boule de chaleur se forme dans mon ventre, je m'agrippe à la nuque de Blondie. En sueur, je m'abandonne complètement. Ses coups de butoirs s'accélèrent, je suis au bord de l'extase, puis les spasmes de la jouissance nous emportent en même temps.

Je m'accroche à ses épaules en criant sans retenue, tandis qu'il jure en anglais, le nez enfoui dans mon cou. Puis il tombe à genoux sur le sol en me gardant serré contre lui. On reste étroitement entrelacés ainsi un bon moment, le souffle court et sans rien dire, avant de se laisser aller sur le tapis du bureau, épuisés, mais totalement comblés. 

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