Dédain.
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Les chiens de garde sont de retour, fidèles au poste du manquement, aux ordres du pire pour le malheur de tous.
Ils persévèrent dans leurs recettes éculées jusqu'à extinction des feux. L'arrogance est de mise dans tous les strates, ici la colère et partout, la haine.
Condescendants, hautains et méprisants, ils lachent des cerbères énervés et décérébrés sur les récalcitrants. Quelques intellectuels déconnectés jugent depuis leur tour d'ivoire et nous considèrent : "orduriers", préférant la soumission à la rébellion et se réfugiant en Suisse, loin des réalités.
Ils écrivent des livres pontifiants et paradent dans les salons, complices du déni d'humanité.
Mépris.
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