
Les questions techniques
par Marie Tinet il y a 3 ans
Vous avez une question de connaissance sur un point précis ? Qu'il soit scientifique, historique ou même culinaire n'hésitez pas à la poser par là !
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http://www.alabordage.fr/blog/termes-bateaux-patrimoine-maritime/
Une amphore qui a traversé des milliers d'années peut-elle encore contenir de l'eau aujourd'hui ?
Des fruits disposés dans des assiettes ayant traversé des milliers d'années seraient comment aujourd'hui ? Disparus, pourries, fossilisés, intacts, déshydrates,odorants ?
Toutefois certains composés, le vinaigre, l'alcool très fort, le miel, peuvent supporter une grande période de conservation.
Après ça dépend comment c'est conservé aussi, on a ainsi pu faire germer des graines de plus de 30 000 ans (http://www.leparisien.fr/sciences/gelees-les-graines-germent-trente-deux-mille-ans-plus-tard-01-03-2012-1884899.php) ce qui veut dire qu'il est possible de les conserver aussi longtemps dans certaines conditions...
Pour l'eau, j'aurais tendance à dire que là aussi ça va dépendre de l'environnement. S'il est un peu sec, elle aura eu le temps de s'évaporer. Si l'environnement est humide, elle a pu rester je pense.
A noter, on dit souvent que le miel se garde indéfiniment et qu'on en a retrouver de consommable dans les pyramides ou les tombeau d'egypte. Sauf qu'il n'y a pas de vrai source à cette légende. Ou plutôt on a retrouvé un truc qui y ressemble en 1905 et qu'on a pris pour du miel. Mais les analyses faite plus tard ont montré que c'était du "natron" (un truc utilisé pour les momifications entre autre) qui contenait encore un peu d'eau, rendant le truc encore visqueux. Par contre des jarres remplies d'huiles étaient à l'état pâteux. J'ai pas trop chercher mais le contenu des tombeau egyptien si tu trouves des articles en parlant pourraient t'aider. En attendant la source de ce que je te dis là : https://irna.lautre.net/Le-miel-des-pyramides.html?lang=fr
Merci pour ta réponse :)
Daegann Inaccessible du genre temple/sanctuaire aux issues condamnées car enfouies sous la terre et bloquées par la nature → vestige d'une ancienne civilisation. Une autre image qui pourrait correspondre serait les pièces cachées à l'intérieur des pyramides d'Egypte.
L'environnement serait une forêt, donc zone humide.
Merci pour les liens :)
Seuls les milieux empêchant la propagation bactérienne peuvent subsister sans trop changer. Autres choses que je n'ai pas cité les fameux anciens procédés de conservation (le sel, le froid, l'alcool, le vinaigre, la saumure, les milieux fermentés à base de levure, ou de champignons, ( comme les fromages, la bière, la sauce soja).
L'eau salée à une certaine proportion résiste aux bactéries mais souvent trop salée pour être bu.
Seul le point de congélation permet de maintenir un état stable d'une eau consommable.
Merci pour toutes vos réponses, ça m'a été très utile :) surtout qu'il y avait des aspects que j'avais négligé.
http://www.astropolis.fr/espace-culture/foire-aux-questions/Pourquoi-les-planetes-tournent-elles.html
Après, il y a aussi les saisons, avec la position sur le plan de l'écliptique (la saison), et tout un tas d'autres paramètres...
J'espère que cela répond un peu à ta question.
Et si son fils n'est pas devenu roi de France, c'est parce qu'une pucelle qui se prenait pour Jeanne d'Arc a fichu le bordel au siège d'Orléans... d'ailleurs, c'était Jeanne d'Arc, mais c'étais pas une raison.
Trêve de plaisanterie : qu'est-ce que tu cherches ? Un moyen technique de détection ? Dans quelles conditions ? Ton ovni est matériel ? Si oui, il déforme l'espace. À toi d'imaginer un détecteur d'espace déformé ;)
Autre chose, détecter est une chose mais serait-il invisible aussi^^
Ça ne me semble pas possible.
Mais sinon, la question me semble être dans le domaine de la science fiction, je dirais. Pas de la théorie. Si certains vaisseaux sont équipés de sonars, radars, ou autres capteurs, alors il doit bien y avoir un moyen de berner le capteur. Mais alors on invente une nouvelle technologie, puis l’autre invente une nouvelle riposte, etc. C’est un jeu peut-être pas infini mais certainement très long.
J'y connais pas grand chose, mais j'ai envie de jouer :-)
Je crois savoir qu'il n'existe pas d'objet statique en ces univers. Tout tourne autour de quelque chose ou va vers quelque chose ou s'éloigne de quelque chose. S'il est dit statique, c'est par rapport à quoi ? Aussi, dire que le vaisseau ne se déplace pas me paraît faux ou alors vrai car nous avons le même "mouvement que lui" et nous inscrivons dans un même référentiel de manière absolu (ce qui n'est pas possible non plus, il y a autant de référentiel que de chose en ces univers)
Donc, je dirais que... comme la lumière n'est pas une onde, que la gravitation est partout pour tout le monde, il y a ici les meilleurs outils pour le dectecter. Où est-ce que la lumière est absorbée ou réfléchie ou "perturbée" (ou, il faudrait que le vaisseau reproduise exactement les même propriété que la lumière pour que l'illusion soit total) ? Où est ce qu'il y a phénomènes gravitationnels ? Car étant un objet, il courbe ou lui même se courbe en un espace-temps, il se situe dans un "ici et maintenant" et donc rempli de son plein un vide et qu'importe sa masse, il produit une force gravitationnelle pour les corps infiniment moins massif que lui. Alors, la poussière est contrainte de percuter cette présence et, si la poussière ne s'y colle pas, de suivre un courant qui en fera le contour avant de suivre sa route vers un corps dont l'attraction gravitationnelle est plus forte.
Donc... lumière (et le seul truc qui me vient c'est un spectromètre géant lol) et la gravitation (et j'invente la carte des courants gravitationnels à partir de sais pas quoi) lol
Merci :-)
Je viens ici vous demander de l'aide, vous qui êtes bien plus cultivés et instruits que moi !
J'écris quelque chose mêlant intimement l'Histoire et la mythologie nordique. Du coup ca se passe en Islande et Norvège en 999.
J'ai parfois besoin de garder une réelle cohérence historique, du coup je fais des recherches incroyablement chronophages, et j'ai même acheté des bouquins documentaires (oui c'est un exploit pour moi) mais il y a un point que je n'arrive pas à élucider.
Je m'explique : à un moment, il y a un gars qui écrit au roi de Norvège Olaf Tryggvason. Comment s'adressait on à un roi à l'époque viking ? Pas à un jarl. Le vouvoiement n'existe pas en vieux norois ainsi par politesse, on s'adressait à son jarl ou roi à la troisième personne. Mais peut-on dire sa majesté ou son altesse royale au temps des vikings ? Comment est ce qu'on faisait ? Quel était le titre honorifique qui permettait de s'adresser aux monarques ?
J'ai aussi une question subsidiaire : peut on parler de prince pour le fils du roi chez les Scandinaves ?
Oui je sais, elles sont méga tordues mes questions.
Merci par avance, âmes charitables !
Selon moi, il faut mieux proposer des petits chapitres, sinon ça risque vite d'être un peu compliqué pour le lecture je pense ;)
De là...
Je crois que pour tout ce genre de chose, il faudrait suggérer aux Patrons que soit possible l'insertion de notes de bas de page "automatiques", et aussi l'insertion d'hyperliens (permettant renvois d'une page à une autre, voire d'un texte à une source externe), et d'illustrations. Ce qui fait beaucoup de revendications, je sais.
PS: Cependant, comme me l'avait perfidement fait remarquer une auteure de fantasy, un roman encombré de notes et renvois divers devient vite insupportable - à la suite de quoi elle s'était réjouie que tant de monde tienne autant à se tirer une balle dans le pied en publiant avec enthousiasme des volumes conservant ces procédés. Je crois qu'elle n'avait pas tout à fait tort... Si on navigue difficilement dans le roman, c'est assez peu agréable. (Ce qu'elle faisait - fait encore sans doute -, c'est d'écrire avec force notes, lexiques, appendices, glossaires, puis de réécrire en s'en débarrassant le plus possible, le tout étant que ça passe au maximum dans le corps du texte. Bref, un travail que je détesterais faire...)
Oui et non… Il y a notes de bas de page et notes de bas de page.
Terry Pratchet en faisait un usage jubilatoire, par exemple. Les enlever serait sûrement considéré comme sacrilège et basphématoire par la communauté des fans.
Un roman à cadre historique, également, peut avoir un usage intéressant des notes…
Ce n'est donc pas pour moi la note qui est judicieuse ou non. C'est ce qu'en fait l'auteur…
Et effectivement si c'était possible de rajouter de l'hyperlien ou du bas de page.... Mais ayant un site, je sais que ce n'est pas simple et qu'il y aurait comme un léger alourdissement du code.
Dans les éditions intégrales du SdA, on retrouve une pété d'annexex à la fin du volume (que je trouve bien plus intéressantes que le livre, mais bon, question de goût).
Sinon, Stephen King a sortie deux volumes (concordances 1 et 2) expliquant l'univers de "La tour sombre".
Pour ce qui est des dialogues en langues étrangères, il y a plusieurs solution.
1- Le dialogue est en français, et c'est un personnage tiers ou des références dans la narration qui feront remarquer au lecteur que le dialogue n'est pas dans la langue de molière.
2- Le dialogue débute en langue étrangère, et se poursuit en français. (tu pourras à nouveau faire appel au personnage tiers ou préciser dans la narration)
3- Le dialogue est en français, mais les concepts qui n'existe pas dans notre langue sont exprimé en langue étrangère.
4- Le dialogue est intégralement en langue étrangère, et non traduit (nécessite un contexte très maîtrisé qui permettra au lecteur de déduire le sens de ce qui a été dit).
5- Le dialogue est d'abord mis en langue étrangère, suivit de sa traduction (peut être très lourd selon la manière dont tu le gère).
6- Le dialogue est en langue étrangère, traduit dans des notes de bas de page. (compromis un peu facile mais tout à fait acceptable).
7- Le dialogue est entièrement basculé en mode narratif.
Personnellement, j'ai déjà employé le 3 et 4, et peux donc t'aider si tu choisis cette approche.
Un glossaire, c'est exactement vers ce vers quoi je m'oriente. Reste que le renvoi bas de page peut-être une technique narrative à part entière pourvu qu'elle soit courte et rare. Ce que Scribay ne permet pas. Je ne lui en veux pas d'ailleurs... :-) Ce qu'il est possible d'y faire est déjà bien.
Il en avait fait un élément de style à part entière, dans lesquelles il se permettait d'ouvrir des parenthèses délirantes pour donner un éclairage particulier sur une scène.
Pour les langues inventées, attention aux abus aussi qui parfois n'apportent rien à part le plaisir à l'auteur de les inventer.
Dans ce cas, Dune -- chef-d'oeuvre de la SF au passage -- est raté. Et comme l'a dit Eric, Terry Pratchett usait et abusait des notes pour des raisons narratives. Donc, bon...
JPierre
Bien évidement qu'un roman peu être raté. Mieux que ça, il peu carrément être mauvais (tatata ! le vilain mot). Scénario incohérent, personnages médiocres, style inexistant ou viole pur et simple de toutes les lois grammaticales connues... J'en ai lu du bousin, de l'amateur comme de l'édité.
Il faut vraiment arrêter avec cette position complètement idiote du "L'art est subjectif" et "Puisque j'y ai mis tout mon cœur, c'est bien". Soit on écrit pour soit, et dans ce cas, le qualitatif n'entre pas en compte. Soit on écrit pour être lu, et dans ce cas, le jugement non seulement est possible mais essentiel.
Faisons un peu de sémiotique. L'écriture est un ensemble de symboles et de règles représentant des concepts concrets ou abstraits, dont l'assemblage exprime des idées.
C'est à dire, l’écriture, c'est de la comm. Et une bonne comm, c'est de la comm performante dans la transmission de son message. Un roman est donc réussi lorsqu'il permet une transmission optimal de son/ses message/s à un destinataire (le lecteur, dans ce cas). Ça peut passer par le style, les personnages, l’intérêt du récit (=le scénario), la structure, etc...
Après il arrive que certains écrivains soient clairement en avance sur leur temps, et du coup leurs œuvres ne rencontrent pas le publique de leur vivant. Tout comme certains grands romans nécessitent une réadaptation pour qu'ils puissent être appréciés de nos jours. Mais considérer qu'il n'existe aucun critères objectifs qui permette de juger de la qualité d'un roman, c'est prétendre que Le procès de Kafka et Cinquante nuances de Grey sont d'égale valeur.
Parfois j'ai l'impression que beaucoup d'auteurs se prennent pour des John Kennedy Toole ou des Herman Melville. Tu leur dis, là c'est pas génial, et ils te répondent immédiatement "originalité", "formatage", "intégrité" et "liberté", comme si chaque phrase mal torchée était une révolution en soit. Alors que les mecs se sont juste planté, mais ça bouscule leur ego de le reconnaître. Pourtant, c'est tout à fait normal de faire des erreurs, de parfois ne pas savoir comment exprimer une idée au mieux, et même de faire de la merde (et oui, j'ose le mot). Personnellement, j'en fais très régulièrement, et mes bêtas se font un plaisir de me le faire remarquer (vu comme je les gonfle, ils se vengent, les sales bêtes). Je l'ai en remercie d'ailleurs.
Ça m'a toujours gonflé d'être obligé de regarder une carte à la fin d'un livre pour comprendre où se passaient les actions. Parfois, c'est nécessaire, mais ça coupe la lecture avec le risque de sortir le lecteur de l'univers.
Pauline
Pratchett, c'est justement le contre exemple : ses notes sont aussi une parodie de cet usage en fantasy.
Pour Dune, je n'avais pas le souvenir des notes de bas de page. Après, ça a beau être un chef d’œuvre (j'ai adoré toute les romans suivants également), en terme de lecture, c'est rude pour le lecteur.
Hors le fait qu'il soit mauvais, mal écrit, construit et tout et tout, il trouvera au moins grâce à son créateur. Tout ceux qui écrivent savent que ce n'est pas sans "douleur". Si j'écris un roman et que je ne suis pas content ne serais-ce que de l'avoir écrit, autant aller peigner la girafe. Côté subjectif qui ne peut pas m'empêcher de savoir qu'il n'est pas réussi, côté objectif. Isn't the same thing!
Eh! Oui, préventivement, j'aime bien couper les cheveux, que je n'ai plus, en 4.
Pauline Ecrire c'est toujours pour soi même si on dit le contraire. C'est aussi écrire pour les autres même si on dit le contraire. Une boucle permanente. Comme un enfant qui grandit et qu'on a la crainte de voir grandir, partir, s'autonomiser. C'est le cas quand le roman rencontre son public. Dans le cas contraire, le plus grand nombre, il reste dans le cocon du créateur. Reste pour lui à rester objectif et faire la part des choses. Enfin c'est mon avis que je précise. J''écris pour moi, pour les autres maintenant que j'ai eu le "courage" de me lancer. Pas pour être connu (pas forcément disons) ce qui n'est pas tout à fait le même sens.
PS; désolé pour les "on", le(s) mots inventés et les phrases bancales…
Difficile de remplacer une carte dans un roman de fantasy. Ça évite de très lourdes descriptions du style "Le Fort Bidule, situé au nord est de la Mer Caca d'Oie en face de l'île aux Estiches, n'avait jamais été pris par l'Empire de Babar, ces terribles barbares du Grand Désert du Sud qui séparait l'Incontinent en deux."
Dans certaines versions du Trône de Fer, ils listent les personnages en annexe. Parfois, ils vont jusqu'à dessiner les arbres généalogiques. Et dans d'autres, rien. Juste un prologue du style "dans l'épisode précédent...".
Si ce sont des explications sur le contexte du roman, il faut peut être imaginer un moyen de le détailler dans le texte, et pas hors du texte.
Pour expliquer certains termes d'une langue étrangère ou inventée, la note de bas de page reste à mon sens le meilleur compromis entre cohérence du texte et confort de lecture. Bien entendu, si la moitié du roman est en elfique, l'annexe voire le livret de langue elfique à part s'impose :)
Bref, pour être tout à fait précis et ne laisser aucun doute sur la réponse : ça dépend. :o)
Pourtant je ne suis toujours pas d'accord avec toi. Comme "raté" présuppose des qualités fondamentales mais dont l'exploitation a échouée, un auteur peut tout à fait constater cet échec de lui même.
C'est même, selon moi, la principale critique qu'un auteur peut se faire à lui-même car, s'il est rare d'en voir un considérer ses idées comme stupides (pourquoi écrire dans ce cas ?), regretter son incapacité à leur rendre justice me semble plus concevable.
Après je comprend et partage totalement la satisfaction que l'on a à être allé au bout d'un projet, mais les deux sujets me semblent sans rapport.
Dune n'avait pas de note, mais un glossaire. Ultra désagréable à la lecture (bien plus que les notes), mais permettant d'éviter une exposition risquant de noyer le récit et ainsi, le resserrer autour du scénario. Est-ce une facilité ? Peut-être...
Question, pour mon roman j'ai écrit un passage qui fait intervenir la police, comment je peux trouver les infos pour rester un minimum réaliste ?
Une première approche serait de consulter le site Service Publique (si ton récit se passe en France par exemple): https://www.service-public.fr/particuliers/recherche?keyword=police&rubricFilter=fichePratique&rubricTypeFilter=fiche
En réalité il s'agirait d'être pris sur le fait.
Une fille qui est dans une maison qui attends son hôte mais au finale c'est la police qui l'attrape suite à des plaintes de voisins... Ce genre là mais je vais regarder le site voir
Je ne sais pas trop s'il s'agit de tapage diurne / nocturne dans ton cas. Si c'est le cas, le tapage diurne / nocturne est la plupart du temps sanctionné par une amende.
Mais si c'est au cours d'une soirée et que les gens sont en état d'ébriété avancé et / ou qu'ils s'en prennent à la police, ils peuvent bien sûr être amenés au poste.
Ici , un lien de la préfecture de police: http://www.prefecturedepolice.interieur.gouv.fr/layout/set/print/Demarches/Particulier/Nuisances/Nuisances-sonores
Et là un article de France Info: http://www.franceinfo.fr/emission/question-d-immobilier/2014-2015/fete-tapage-nocturne-attention-aux-idees-recues-27-12-2014-09-56
Et honnêtement, la réaction de la police dépend toujours du caractère des policiers et de la personne qu'ils ont en face d'eux.
J'espère que cela pourra t'aider un peu :)
Mais quand tu dis que la police réagit en fonction des gens, déjà ça m'aide !
Merci !!
Après, faut vraiment prendre en compte les particularité de l'endroit. Par exemple là d'où je viens, on est en zone gendarmerie, mais on a aussi une antenne de la BAC (police nationale donc). Et parfois on t’envoie juste la police municipale (mais je ne m'attarderais pas la dessus parce que ça me fout les boules).
Mais la règle c'est généralement.
Police: Grand centres urbains et ZUS
Gendarmerie: Tout le reste.
Voici la phrase, issue de la renaissance d'Athéna :
"Une couleur argentée crépita [...]"
Merci pour votre aide ! :)
Un doré est souvent étincelant, phénomène lumineux, et près de l'étincelle se situe le feu, qui , lui, crépite. Phénomène sonore.
Par une licence poétique, une couleur 'crépitante' pourrait évoquer ce feu, donc, ajoutant par là même une notion de force lui permettant d'émettre "comme" un bruit. Un glissement, une translation des sens. Exactement comme des couleurs criardes.
Donc, couleur crépitante, oui.
De là à passer au sujet-verbe, personnellement je n'oserais pas car la notion sonore évoquée par 'crépiter' est trop passive. J'attendrais quelquee chose de plus actif :
- Une couleur argentée interpella
- Une couleur argentée fanfaronna
- Une couleur argentée s'agita
- …
Raison première, la couleur est une qualité physique qui en elle-même ne manifeste rien d'autre.
En revanche, si l'on use d'un alliage poétique, "un/e reflet/lueur/étincelle/flamme [etc.] argentée crépita" peut - selon moi - se concevoir, en ce que s'y allient deux caractérisations perceptibles du phénomène (lueur ou autre).
Par contre tu peux faire Couleur => Goût !!!! OUPS je croyais que ça existait mais en fait non... ce sont les mots (lu ou entendu) et la musique qui peuvent agir sur le gout !!!!!!
Et donc par extension poétique : la couleur argentée lui donna des crépitement sur la langue. mais du coup pas grand chose à voir avec l'idée initiale ^^
Par contre il y a Son => Couleur : c'est en entendant le crépitement qu'il voit une couleur argentée, pétillante.
Quand le cas de la lecture d'un Roman sur Scribay, quelle serait selon vous "une bonne fragmentation" de chapitre ? 2 minutes ? 3 minutes ? 5 minutes ? 10 minutes ? de lecture
En mettre trop c'est rebutant, en mettre pas assez n'est pas engageant... et donc : quoi-comment ? ^^
Après, mes goûts ne sont absolument pas représentatifs en la matière.
Pas de moquerie hein ? J'ai pas vraiment été à l’école moi.
Je ne comprends pas vraiment la différence entre roman, nouvelle, chronique, essai, expérimental etc.... Si une âme charitable pouvais m’éclairer ?
La bibliothécaire répond :D
Un roman fait généralement plus de 40 000 - 50 000 mots. (c'est pas une science exacte d'où la marge)
Une nouvelle moins de 15 000 - 30 000 mots.
Entre 15 000 et 40 000 mots on parle parfois de novella, soit un petit roman.
Un essai c'est de la non fiction, ce n'est pas une histoire fictive donc. Par exemple, ça peut être une réflexion philosophique.
Une chronique c'est un article, plus ou moins :D
Un texte expérimental, c'est un texte qui ne respecte pas les codes établis ou qui essaye quelque chose de nouveaux ou de particuliers. Par exemple écrire un texte sans e, comme la fameuse œuvre "la disparition" :)
D'autres questions ? :)
Les autres concernent plutôt le contenu. Roman/nouvelle/novella sont des fictions. Un essai est plutôt une réflexion sur un sujet, mais dont le point de vue est subjectif (parce que l'auteur défend son opinion). La chronique est plus difficile à définir parce qu'elle peut concerner plusieurs types de textes. Il y a aussi bien un récit de fiction (Les Chroniques des Crépusculaires de M. Gaborit) que des articles ou des avis, par exemple sur un film ou un livre.
Pour expérimental, je ne sais pas trop, c'est sans doute à l'appréciation de l'auteur qui s'aventure sur des terrains littéraires inconnus.
J'espère que ça répond à ta question!
Qu’est-ce qu’un roman ?
Un roman est un genre d’ouvrage d’épaisseur variable, qui peut friser la taille d’une nouvelle obèse, mais s’en distinguera en tournant de préférence autour du pot, et va jusqu’à se découper en plusieurs tomes de cinq-cent pages chaque histoire de faire chier le monde, en se mettant en orbite autour du même récipient.
Qu’est-ce qu’une novella ?
La novella est un genre encore fort peu prisé dans notre beau pays, cependant des efforts sont faits par quelques éditeurs afin qu’éclate une reconnaissance méritée. En tout cas du terme, puisque de la novella nous en lisons sans nous en apercevoir. Grossièrement calibrée entre 80000 et 200000 signes, la novella passe soit pour une trop grosse nouvelle, soit pour un roman bien maigre. Sa structuration peut emprunter à l’un ou l’autre genre, mais elle sait aussi inventer de nouveaux modes de construction, ce qui est bien embêtant. On la tiendra ou pas pour un genre spécifique, ce qui n’a pas beaucoup d’importance: quand on écrit une novella, c’est qu’on n’est pas capable d’affronter le roman, et qu’on est trop bavard pour en rester à la nouvelle. Je dirai que la novella souffre du même mal que l’alto, qui a bien du mal à se faire de la place entre le violon et le violoncelle. Si l’on craint pour sa réputation, ne parler que de son « court roman » ou de sa « vaste nouvelle », ce qui permet parfois de sauver les apparences.
Qu’est-ce qu’une nouvelle ?
Une nouvelle est un texte qui, pris isolément, fait un peu mesquin, même s’il s’enfle jusqu’à ressembler à un roman malingre (ou à une novella). La nouvelle va à l’essentiel et évite les digressions inutiles autour des pensées du narrateurs relatives à son bidet bouché. La nouvelle est grégaire et s’accommode mieux de se retrouver en recueil plutôt qu’isolée dans un cahier. Il lui arrive d’aimer être dans une anthologie ou une revue. On le lui pardonnera bien volontiers, surtout si comme moi on est plutôt adepte de ce format.
Je viens de publier 3 textes. Par méconnaissance je l'ai ai catégorisés "essais", bêtement, parce que pour moi ce sont des "tentatives". Au vu des commentaires, j'ai tors. Mais alors, dans quoi dois-je les classer ? Je ne vois plus que "contemporain"… ? Quelqu'un peut m'aider à choisir ?
Expérimentation, je vois ça comme des tentatives de sortir des sentiers battus. Moi, tout ce que j'expérimente, c'est ma capacité à traduire un caractère, une émotion, un instant. Avant de me lancer sur de plus longs trajets si je m'en sens capable. Donc, des choses très classiques.
Je vais mettre contemporain, puisque ça se passe à l'époque contemporaine… Je sais, je ne suis pas très subtil.