
Correction et déprime !
par NM Lysias il y a 2 ans
Bonjour, bonsoir,
Une petite discussion où chacun pourrait se reconnaître.
Je ne sais pas si cela vous est arrivé, d'être la tête la première, dans une correction chargée et que soudain vous la terminez. Partez-vous en déprime ?
Vous savez le genre de corrections qui vous enseveli et qui un jour vous dit : bon, bha à la prochaine. Vous aviez un timpo puis plus rien.
Est-ce qu'à ce moment là, vous dépérissez ou au contraire vous allez siroter un diabolo menthe à la terrasse d'un café ?
Parlez de vos corrections, de vos sentiments lorsque vous l'entamez, quand vous y êtes jusqu'à la taille et quand madame décide de se conclure ! Vos états d'âme...
Parlez de vous, de vos textes et surtout de vos corrections...
Bis Noc !
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Genre tu manges, mastique, avale, ( écriture), les aliment vont des l'estomac, l'acide et compagnies (correction) puis ... (on va s'abstenir d'en dire plus) ^u^
Sinon, j'ai l'impression que tu me donnes un conseil ( je suis juste déprimé lorsque je termine une oeuvre, enfin lorsqu'elle me satisfait, c'est-à-dire quand elle est passé au mixeur scribay) XD
Je suis curieux des états d'esprits des autres...
A ce sujet j'avais créé un "défi" pour parler de ce sentiment.
Ça c'est pour la fin. Après il y a toujours des idées.
La correction est autre chose ! Oui on peut être dépassé par l'énormité de la tâche. Je pense qu'il il y a plusieurs niveaux de corrections : la forme est plus simple, le fond est plus dur. J'ai commencé par le simple et j'ai déprimé par le manque de créativité. Je l'ai fait pour éviter le plus dur :revoir les passages dont je n'étais pas satisfaite. Finalement j'ai laissé passer du temps et j'en suis fière du travail accompli jusqu'à maintenant. Certes pas fini mais on voit que ça a plus de gueule. Puis à un moment faut savoir s'arrêter tout comme faut savoir ce qu'on veut. Puis le texte vivra sa vie, comme quand les enfants quittent la maison.
Les corrections tourmentes l'auteur^^
Après, j'ai suffisamment d'autres projets en tête et d'autres textes à écrire (puis corriger) pour m'occuper l'esprit, et pour que cette frustration ne devienne pas gênante :)
noyé son chagrin et travaillant sur d'autres projets pas mal aussi !
Avant ou après ?
de temps à autre, pas souvent, j'essaie en général de ne pas le faire même quand ça me tente, je le fais plutôt comme une récompense que je m'octroie, genre je me fais un rail pour me booster un coup tout en sachant que c'est de la poudre de perlimpinpin, alors voilà : je publie un truc court, mal embouché, mais plein de bons sentiments, avec un fond de mignonitude et toutes les maladresses qui vont avec, tout en sachant que je n'y apporterai pas de correction. Comme ça, j'ai juste le plaisir de discuter de mon texte, sans la corvée de nettoyage ;) C'est comme recevoir des visites et ne pas avoir à s'occuper de ranger après, ni avant, c'est que du plaisir, il n'y a pas de frustration. Et comme je sais que je ne vais pas avoir la gueule de bois, je profite de la fête autant que les autres ;) Faut pas le faire souvent, mais de l'ordre d'une fois par an maxi, ça peut faire du bien ^^
Je vois plutôt ça comme un remède contre l'ennui, quoi que, peut-être même pas.
Après, comme tu dis, c'est très perso.
Je vais tenté avec un sucre ...
Alors, publier un petit truc sachant qu'on n'aura pas de correction à faire, pour moi c'est imparable dans le remède anti-frustration. C'est juste ça, juste publier une fois un truc qui n'engendrera aucune frustration question correction ;)
Sinon, je comprends maintenant le côté "juste pour le fun", même si je n’adhère pas.
Du coup, lorsque tu le termine, tu le gardes pour toi ou tu le note en texte final?
Angie Edengac ça ne m'est pas adressé, mais jamais satisfait totalement.
Parfois je retente une publication pour tester ;)
Ce qui rend nostalgique, pour ma part en tout cas, c'est la notion de fin d'une époque et de début d'une autre. On a passé des heures, des jours et/ou des nuits à écrire, réécrire, transformer, annoter, repenser, corriger, reformuler un texte.
À peu près satisfait, on publie pour avis et autres corrections, on a de nouvelles corrections, reformulations, transformations, annotations... Puis plus rien.
Le texte est terminé. C'est la fin d'une grossesse. C'est le début de la vie de l'œuvre.
Certains dépriment quand ils coupent le cordon, Pour ma part, je suis nostalgique un instant, puis un autre projet me happe et j'y replonge volontiers. Ces grossesses-là sont moins compliquées que les vraies, mais parfois tout aussi douloureuses.
( je pars loin, la vache)... Nostalgie donc, pour toi aussi ^^
(Et n'allez pas sortir cette phrase de son contexte hein !)
La déprime, non... mais une nostalgie, sûrement...
Les corrections ne me gênent pas mais en règle générale, je laisse cela à des pros, surtout si cela doit être publié officiellement... ;)
Sinon, personne n'est parfait ;) (j'adoore).
(j'ai pas compris "vous aviez une timpo", c'est quoi une timpo ?)
Oui, mais quand la correction concerne justement scribay... Lorsque les lecteurs ont terminé et que vous avez fait le tri, puis relu par-dessus. Attendre de nouveaux ?
Et toi Vicomte comment gères-tu tes corrections? (c'est forcement de moi qu'il faut parler XD)