« Les nues incendiaires laissèrent place à sa silhouette, son bruit, sa vie.
Battue par les rafales, la Cité suspendue s'accrochait aux roches arides. Ses os s'étalaient jusqu'à l'horizon, insultant le Vide à la faveur de ses ancrages.
Son nacre étincelait entre deux mondes éteints.
Elle préférait briller devant le jour naissant, oubliant le Vide et son inéluctable gravité. »

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| PREMIER JET |

« Au Commencement, un cri. Un très long cri. »

Un été, Frans disparaît. Et après ?
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Références de la couverture : Suffocate, by cateloo.
TW : pas de gore à outrance mais quelques scènes sanglantes/sombres que je ne recommande pas à ceux qui y sont sensibles. Vous êtes avertis. :)
Je suis tout à fait ouver...

Milo avait juste besoin d'un café, et l'univers entier se met à déconner !

Que feriez-vous embarqué de crimes flagrants en aventures déflagrantes, sans plus de queue ni de tête qu'un poisson étêté et équeuté ? Vous perdriez la tête, bien sûr. La queue, peut-être pas. Mais qui sait ? Un accident est si vite arrivé.

Roman de SF burlesque tantôt philosophique, tantôt déjantée. Mais plus déjantée que si c'était moins.

Si la cabine s’effondrait, ils auraient une chance de s’en sortir, ils venaient de dépasser le premier étage. Pas si haut, non ? À moins qu’ils restent suspendus, vacillants dans le vide. Si le plafond ne les écrasait pas entre temps. Bon sang ! Un dernier assaut de la cabine le terrassa, sa tête heurta une arête saillante, ses genoux se dérobèrent et en une fraction de seconde Liam se retrouva à terre. Les lumières s’éteignirent définitivement, ...

Aujourd’hui, Jeanne ne voulait pas d’histoire d’amour ni de coup d’un soir avec un homme important du Gouvernement Mondial.
Ses doigts jouaient de nouveau sous l’accoudoir, là où se trouvaient les commandes.
Aujourd’hui, Jeanne voulait de l’action, de l’excitation ; elle voulait rêver d’aventure et de danger.
Bien installé dans le fauteuil, les capteurs fixés sur sa peau blanche et lisse. La jeune femme voulait avoir des anecdotes roc...