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Alsensei

Alsensei
Après des années passés à penser les bases de l'oeuvre, en ce qui concerne l'histoire et l'intrigue et plus d'un an passé à peaufiner l'univers que je vous présente, je vous souhaites la bienvenue dans mon monde :

Un mélange d'inspirations multiples et diverses allié à une myriade de scénarios riches en rebondissements servant une intrigue et une histoire issue de mon imagination et d'un travail mûrement pensé au fil des années.

Action, drame, humour, combat , exploration et mystère : Bienvenue dans une aventure qui se transcrira en Odyssée, une Odyssée qui se changera en légende et une légende qui se transformera en épopée.

L'ombre du Phénix plane au-dessus de nos têtes.
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Défi
Alsensei

Flag- Si la lecture est un voyage, alors les mots sont des navires. Bienvenue à vous, nous sommes le 24 décembre 2021, dans votre émission préférée : Jet Oidéf Leur ! Avec comme d'habitude l'interwiever préféré des auteurs, moi-même, Flag Orneur! Aujourd'hui nous accueillons Alsensei qui nous parlera de son oeuvre : Phøenix. Avant tout, comment allez vous ? Et en passant, vous êtes encore plus élégant en vrai.
Al- Bonjour, euh...Merci Mr. Flag Orneur...
Flag- Je vous en prie, appelez-moi Flag.
Al- Flag, Je suis honoré d'être parmi vous ce soir.
Flag- C'est nous qui sommes honorés de recevoir l'auteur de la saga Phøenix, l'histoire majestueuse de trois aventuriers se lançant à la découverte d'un monde fantastique. Alors avant tout, quelque chose m'a intrigué dés le début, ça me démange de vous poser cette question, c'est en rapport avec le titre.
Al- Mais...je vous en prie, allez-y, je suis là pour cela, n'est-ce pas ?
Flag- Eh bien, cela va vous paraître futile, mais certains fans, y compris moi, se sont demandés pourquoi le o de phoenix dans le titre du livre est barré ?
Al- Mais votre question ne me parait pas futile du tout; voyez vous, le O barré est un indice sur la fin de l'oeuvre, en quelque sorte un code, je travaille toujours le plus possible pour essayer de glisser quelques subtilités de ce genre afin de rendre l'oeuvre plus vivante.
Flag- Oh mon Dieu, incroyable ! Je n'en attendais pas moins de vous ! Je pense que ce soir, des millions de fans dont moi même, vont se creuser la tête pour en trouver la signification.
Al- Hahaha, merci Flag, c'est gentil.
Flag- Alors dites-moi, en parcourant ces pages, on constate pas mal d'inspirations diverses, qu'elles soient historiques, géographiques, religieuses ou par rapport à certains personnages et personnalités du monde réel; des inspirations de toutes parts qui se melangent agréablemment pour fournir ce que nous lisons, mais d'où vous est venu l'inspiration de créer un tel chef-d'oeuvre ?
Al- Eh bien, mes inspirations sont nombreuses.
Flag- Mais encore ? Vos fans veulent savoir! Quel auteur ? Quel endroit ? Quelle période ?
Al- Flag, vous l'avez dit vous même, mes inspirations sont nombreuses, alors nous n'en finirions pas pour aujourd'hui, si je devais toutes vous les énumérer, mais si je peux vous citer un nom parmi une centaine d'auteurs ayant inspiré ma plume, je dirais, Eichiro Oda, le créateur de One Piece. L'histoire de One Piece est à mon sens la plus complète au monde, car l'auteur a fait en sorte, que même la plus petite phrase anodine prononcé par un personnage lambda puisse être liée, voire bouleverser l'intrigue principale. La construction de l'intrigue et des mystères est interressante, l'univers est riche en personnages, qui ont tous leur propre histoires, rien n'est négligé, rien n'est posé au hasard. C'est cette habilité, cette méticulosité qui m'a enormémment plu.
Flag- Eh bien ça alors! Et je peux dire que l'on retrouve cette habilité dans votre oeuvre. Je pourrais vous décrire encore plus brillemment si vous me le permettez ?
Al- Euh...Merci Flag, mais ça ira.
Flag- Dommage... Je rappel que Phøenix comporte plusieurs centaines de chapitres actuellement, et... Nous nous rapprochons dangereusement de la fin. Quel est votre sentiment à ce propos ? Par ce que nous en tant que fans, nous avons hâte d'en voir la conclusion mais en même temps, nous savons déjà que nous serons très tristes quand tout cela sera terminé, tout ça va nous manquer.
Al- Oui, je partage le même sentiment que les fans, j'ai vraiment hâte de publier la fin, car c'est avant tout pour cette fin que j'ai écrit cette histoire.
Flag- Vous pourriez nous donnez un indice ?
Al- Je l'ai déjà fait Flag, regardez le titre !
Flag- Hahahahaha ! Mais quel farceur... Un autre indice ? Un mot pour la fin ? Vos fans veulent savoir ! Faites leur ce cadeau pour Noel ?
Al- Bien, Flag, j'ai même dix mots pour vous.
Flag- Oh c'est vrai ! Allez-y, le monde entier est suspendu à vos lèvres !
Al- Pour la fin, je dirais ceci : Vous n'êtes pas prêt pour ce qui va se passer.
Flag- Oh ! Vous alors, hahaha ! Nous n'étions déjà pas prêt pour ce qui arrive alors... Ah on me dit à l'oreillette que l'on arrive à la fin de cette émission, nous nous retrouverons très bientot, pour la parution du prochain tome avec votre auteur préféré, Alsensei, ainsi que votre interwiever préféré Flag Orneur, à votre service; dans votre émisssion... Préférée : Jet Oidéf Leur !
Al-Merci pour tout Flag, et merci à tout ceux qui lisent mon oeuvre et qui m'ont toujours soutenus.
Flag- Merci Al, j'ai hâte de vous recevoir à nouveau, en attendant je pense que je vais relire ce livre encore. A bienôt ! Et ne manquez pas surtout pas la prochaine émission, nous accueillerons le fantastique Mr. Scrib, qui nous présentera son nouveau roman poignant "Bay".
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Alsensei


Alors que je finis de coucher mes mots sur le papier, Alex pénètre dans mon bureau l’air abattu :
- Al ! On m’a dit que tu refusais le traitement ? Tu sais bien que tu ne survivras pas si tu ne le fais pas ! Pourquoi ?! gémit-il.
Je pose calmement ma plume, puis me retourne lentement vers lui :
- Qu’est-ce que tu racontes ? Je ne mourrais pas ! prononçais-je tout sourire.
- Tu te moques de moi ? Alors que je cherche à t’aider ?! s’emporte-t-il.
Je prends une grande inspiration, mon regard change :
- Je pense que c’est le moment de te parler de mon père, lui annoncé-je, d'un ton sérieux.
À ces mots, Alex se calme, semblant vouloir entendre la suite. Il le sait déjà : la maladie que je porte en moi est génétique, je l’ai hérité de mon paternel.
- Il y a dix ans, dans ce même bureau, assis à la même place que moi, mon père écrivait son dernier roman lorsque je fis irruption de la même manière que toi, alarmé et en colère. Il avait refusé les multiples opérations qui lui auraient donné une infime chance de survivre, au prix de quelques souffrances et effets secondaires non négligeables. Je ne comprenais pas au début lorsqu’il m’a lui aussi dit, tout heureux, qu’il ne mourrait jamais, et je lui en ai voulu pensant qu’il avait abandonné. Mais les jours passaient et son sourire ne ternissait point, tandis que la colère et l’incompréhension me gagnaient de plus en plus.
Puis vint le jour de l’enterrement. Àprès être rentré du cimetière, abattu, je me suis précipité dans son bureau. Fou de rage, jetant et cassant tout ce qui me passait par la main. M’approchant de la table de chevet, je me saisis de son roman posé là, m’apprêtant à le jeter par terre quand je repris mes esprits.
C’était son trésor, la dernière œuvre de sa vie, son ultime message au monde et j’allais l’abîmer…Non, je ne pouvais pas faire cela. J’ouvris spontanément la première page et me mis à lire son œuvre : Le Dock de Poplère.
Et plus je lisais plus je me sentais réconforté…Je m’imaginais sa voix en train de me narrer les mots, et j’avais le sentiment qu’il était près de moi malgré tout : C’est là que j’ai enfin compris.
Alex, en larmes, semblait avoir lui aussi saisi où je voulais en venir :
- L’écriture… lâche-t-il en balbutiant.
- Aujourd’hui, son livre est lu par des milliers de gens, issus de cultures et de croyances différentes et son message est transmis par-delà le continent, transcendant même les barrières de la langue, laissant une partie de lui vivre en nous pour toujours.
Ému, il se contenta de me lâcher une affirmation : - …Oui !
Soulevant mon dernier roman, en le lui montrant, je repris alors ma conclusion :
- Écrire c’est refuser de mourir.
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Alsensei

Laura était une jeune et belle femme, âgée de dix-huit ans, vivant dans une famille modeste. Elle était l'unique enfant et à ce titre, son vieux père Victor n'hésitait pas à la gâter. Il la couvrait tout le temps de cadeaux et repondait au moindre de ses caprices.
Elle obtenait tout ce qu'elle voulait, et même lorsque sa mère Élisa, qui était une femme autoritaire, sermonnait son mari afin qu'il soit plus strict dans l'éducation de sa fille; rien n'y faisait. Il suffisait d'un ''Papa s'il te plait'' agrémenté de quelques larmes de crocodiles pour faire vaciller le coeur du vieil homme.
La jeune fille en profitait aussi pour saper l'autorité de sa mère, qui avait au passage repris la cigarette pour calmer ces nerfs après les disputes répétées, auprés de son paternel en lui glissant quelques commentaires dès que celle-ci le critiquait sur n'importe quel sujet; si bien que quelques mois aprés son 19ème anniversaire , ses parents se séparèrent.
Que voulez vous? Victor est un homme trés influençable.
Insouciante et gâtée, la jeune femme ne se rendait pas compte du malheur dont elle était l'origine et n'y voyait là qu'une opportunité de voir ses moindres désirs se réaliser.
Un an plus tard , alors que sa mère qui était repartie dans son pays natal vivre là où ses parents fûrent enterrés, succomba d'une grave maladie, son père qui avait accumulé les dettes , pour les beaux yeux de sa fille, fut retrouvé mort dans la ruelle adjacente à sa maison. La police avançait même l'hypothèse de l'assasinat.
Qu'en est-il de Laura ? Et bien, selon le souhait de Victor, il fut entérré auprés de sa femme, et on en arrive au momment fatidique où la jeune fille se trouve devant la tombe de ses parents, pleurant de toutes les larmes de son corps : Elle ne s'était jamais sentie si seule.
Mais elle n'était pas encore arrivée au bout de ses peines car elle allait bientôt découvrir la dure réalité de la vie, elle qui n'était jusqu'à présent que la fille à son papa se retrouvait désormais livrée à elle même.
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Alsensei

Plateau du World Bid Journal :
-Regina, tu sais, en rentrant chez moi hier je suis tombé sur une super affaire de promotion canapé, je me suis dit que ça t'interresserais ?
-Quoi ? repond Regina.
-Rajoute un peu de maquillage ici! Voilà ! Donc je parlais de pro-mo-tion ca-na-pé !
Un cri provient du fond de la salle : - Vous êtes en directe depuis trentes secondes.
Le presentateur fixe la caméra pendant quelques secondes, les yeux grands ouverts.
Regina- Oh mince! je...
Il la pousse brusquement et rapidement hors du champ de vision :
Regina- Ahhhh! (bruits de materiels qui tombent par terre)
-...Bonjour à tous et à toutes, il est vingt heure et une minute , ravis de vous retrouver au très très sérieux, Wall Bild Journal, je suis Martin Posteur, votre presentateur JT préféré! Et tout de suite les titres de cette journéé : Un tsunami frappe la région de Sumatra causant plus de cent blessés....ou mille, je ne vois pas très bien là. (Dit-il en mettant ses lunettes de vues). Ah ! l'info a déffilé,... au moins il n'auront pas de problèmes pour construire de piscines!
(Voix du fond)- Contente toi de lire le prompteur, et c'était pas drôle du tout!
Martin- Humm, oui, nous retrouvons tout de suite notre envoyé spécial Charles Atan au confins de l'Afganistan, en plein milieu des obus, pour un repportage poignant :
Charles Atan (portant un teeshirt abimé, troué de partout, haletant)- Bonsoir Martin, je suis actuellement, comme vous pouvez le voir, en plein milieu des bombardements, en plein milieu de la guerre, de la violence, de la...
Martin-Euh...Charles, excusez moi de vous coupez mais... (en chuchotant) on voit la piscine...
Charles-...Sous ce soleil de plomb, dans la misère et la pauvreté, dans la...
Martin- Charles ! (Toujours en chuchotant) On voit la piscine, le coktail, votre maillot de bain et les transates, on voit même le magnéto qui diffuse les bruits des bombes! Charles, le caméraman a mal cadré la scène!
Charles-...Dans la promiscuit...quoi ?...Oups! Coupez! Coupez!
Martin-Euh...il semblerai que nous assistions à quelques problèmes techniques...passons tout de suite aux faits divers, avec notre spécialiste Mr. Bar Atineur!
Bar-Bonsoir Martin !
Martin-Bonsoir Bar! Vous pouvez y aller.
Bar- Fait divers : Le peroquet criait ''Maman la police!", il est placé en détention. En effet, l’oiseau appartenant à une famille de dealers, aurait été formé à prévenir ses propriétaires de l’arrivée de la police à leur domicile.
Atteint d'alzheimer, un conducteur de Soixante-dix ans se fait arrêter par la police àprés avoir fait Cinquante fois le tour d'un rond point, car à chaque tour il oubliait le précedent.
Lors d'un vol commercial les flatulences répétés d'un passager ont occasioné une forte gêne auprés des autres clients forçant le pilote à procéder à un atterissage forcé, ses deux voisins de cabines ont déclarés avoir essayé de le raisonner, mais le malotru n'a rien voulu savoir et à continuer de lacher des pêts dévastateurs.
Il l'a supprime de Facebook, elle appelle... les pompiers.
Bien entendu, on termine par la partie des ivrognes, qui nous rappel de toujours boire avec modération! N'est-ce pas Martin ?
La caméra se fixe sur Martin en train de siroter un verre: - Euh...oui! qu'il s'empresse de balancer hors champs de la caméra .
(Bruit de verre qui se casse) Regina- Aieee !
Martin-...Poursuivez!
Bar-....Bien, donc je disais de boire avec modération, allons-y :
Ivre, il s'endort pendant un cambriolage.
Ivre, il s'enterre vivant pour batrre un record...et meurt.
Martin- Hahaha! C'est ce qu'on appel gagner du temps.
(Voix du fond) - Martin! Contente toi de lire le prompteur!
Bar - Ivre, il conduit nu pour ne pas froisser son pantalon.
Ivre, le voleur tue le poisson rouge pour ne pas laisser de témoin.
Et un dernier pour finir ; Ses voisines toussaient trop fort, ivre, il les poursuit au fusil à pompes.
Martin- Bien, merci Mr. Bar Atineur, c'est l'heure de rendre l'antenne, merci de nous avoir suivit dans le très très sérieux World Bild Journal! C'était Martin Posteur, il est vingt heure et quinze minutes, tout de suite, la météo de Mme Phallange, suivit de votre série préférée Adeline ange gardien et de votre émission favorite la maison des secrets présenté par Benjamin Casvaldi!...Je vous demanderais donc, d'etteindre vos téléviseurs.
(Voix du fond)- Je t'ai dit de ne lire que le prompteur !

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Alsensei

(En réponse au défi et suite à la demande de coopération de Lyanna Stark ^^
La suite sera donc écrite par elle, vous trouverez le lien du chapitre 2 dans l'espace commentaire et à la fin du premier chapitre une fois qu'elle l'aura publiée. Bonne lecture.)
Cité de Vingardetown :
Au siège de la Towerpolt, la réunion hebdomadaire est sur le point de s’achever. Le sergent Renfril termine son rapport :
- Et pour conclure, il faudra renforcer les patrouilles près du Dock de Poplère. On nous a signalé divers agissements plutôt louche ces derniers jours de la part de la mafia. Voici vos nouveaux assignements…
Tandis que les hommes écoutent attentivement le rapport du sergent, le capitaine Drake, affiche un air d’agacement :
- Mais ou est-ce que j’ai pu le mettre ? s’interroge-t-il en tapotant ses poches précipitamment, une cigarette à la bouche.
Son visage se délie, il a enfin trouvé son briquet. Il ne perd pas de temps et porte ce dernier à sa bouche et allume sa clope. Il tire une première bouchée puis en expire la fumée lorsqu’il est interrompu par son second :
- Encore une chose, capitaine Drake.
- Quoi ?
- Une nouvelle loi a été adopté dans notre département. Dorénavant il est interdit de fumer dans nos locaux. Cette décision a était approuvé par l’ensemble de nos effectifs.
- Qu’est-ce que ?! C’est impossible ! Hé, Ralf ! Toi tu fumes non ? Tu n’es pas d’accord avec ça dis moi ?!
Il se tourne vers ce dernier qui se pince le nez :
- Moi j’ai arrêté de fumer, dit-il, en évitant de le regarder.
Le capitaine bouillonne de colère.
Le sergent reprend alors la parole :
- Vous êtes le capitaine de notre brigade, vous devrez donner l’exemple non seulement à vos subordonnés mais aussi aux citoyens dans les rues. Il est temps de grandir capitaine et de faire preuve d’un sens du devoir qui vous incombe. Vous devez être notre guide, mais vous passez votre temps à inhaler ce poison. Même si au vue de la loi ce n’en n’est pas une, il n’en reste pas moins vrai que c’est une drogue dangereuse.
Le capitaine semble gêné, tous les regards semblent unanimes quant à cette décision.
Le sergent s’avance vers lui et lui hôte la cigarette de la bouche avant de l’éteindre dans le cendrier.
La réunion est terminé, il sort du building et s’en va patrouiller mais la remontrance de son cadet lui reste cependant en travers de la gorge. Il lui faut en griller une pour se détendre.
Il rentre donc dans un café, s’assis confortablement, commande un verre d’eau, porte sa cigarette à la bouche et demande un cendrier à la serveuse.
- Il est interdit de fumer ici Mr, le dévisage-t-elle en lui montrant la pancarte non-fumeur.
Furieux, il se précipite hors du restaurant toujours clope en bouche, et sort son briquet, lorsque le regard indigné des passants l’interpelle. Un panneau d’interdiction de fumer en place publique se tient devant lui.
Que ce soit les devantures d’épiceries, les parkings de centres commerciaux, les parcs en plein air ou les trottoirs, il tombe systématiquement sur le même panneau, au point d’en casser ses cigarettes de colère à chaque échec.
Alors qu’il ère, non sans peine dans les rues, il aperçoit son salue. Un espace fumeur.
Il accoure vers l’endroit en toute hâte :
- Je l’ai trouvé… Mon Oasis !
Le voilà devant la poubelle à cigarette. Il tire sa dernière clope de son paquet et l’allume enfin.
Tout à coup le grand écran de la place publique diffuse une information :
- Dans le cadre de la protection de l’environnement et la couche d’Ozone, il a était décrété une semaine sans tabac sur Terre. Toutes les dispositions ont étaient prises, nous vous encourageons à tenir cet engagement. Ce sont les petites actions de chacun qui contribueront à sauver notre planète. Les distributeurs de tabac ont étés fermés et les espaces fumeurs ont étés modifiés à cet effet. Merci.
À peine le flash-info terminé qu’un jet d’eau jaillit de la poubelle au-dessus de laquelle il se tient, mouillant sa cigarette par la même occasion.
Le capitaine est abattu. C’était sa dernière cigarette, s’en était trop.

Quelques heures plus tard, au sein d’un vaisseau spatial :
- Ah, c’est formidable ! Qui aurait cru qu’un jour nous pourrions visiter des planètes comme des pays ! se réjouit un vieil homme assis sur son siège. Dit-moi jeune homme où vas-tu ?
- À Narmek ! lui répond le capitaine, bouillonnant.
- Narmek ! Mais il n’y a rien là-bas à part des champs de tabac !
- Oui, justement ! Je vais fumer une clope !
Une réponse qui fait sursauter le vieux d’étonnement.

Narmek, champs de ruine :
Il aperçoit un vieil homme à la peau particulière, de couleur verte :
- Hé vieil homme ! Je suis venu pour fumer des cigarettes !
Le vieil homme le fixe un instant. Il sort une boîte en or de sa poche et l’ouvre. À l’intérieur, déposé sur un coussin de velours, se trouve une cigarette :
- Nous avons était attaqué par un mercenaire de l’espace, Grizeur… Tous les champs sont en ruines. Tous les habitants sont morts… Voici la dernière la cigarette, prenez là, brave voyageur, balbutie-t-il.
- Grand père ! Non ! C’est la dernière cigarette qu’a faite Papa ! lance un jeune Narmek en pleurs qui se jette sur lui. 
- Ça suffit Derdé ! Ne penses-tu pas que ton père serait fier de voir sa dernière œuvre fumée par ce brave voyageur, plutôt que de pourrir dans une boîte !
À ces mots, le jeune enfant à la peau verte se calme. Il se saisit de la boîte. Il avance lentement vers le capitaine et la lui tend, les larmes aux yeux.
Le capitaine complètement déconcerté face à cette scène ne sait plus quoi faire.
De retour dans le vaisseau spatial :
- Alors jeune homme, comment ça s’est passé ? lui demande le même vieil homme, tu l’as fumé ta cigarette ?
- Non ! Je m’en vais botter le cul de Grizeur ! répond t-il d'un ton colérique.
- Quoi ? Tu n'étais pas censé fumer une cigarette ?!
- Si… Je suis sûre qu’il doit en avoir sur lui ce Grizeur ! lache-t-il, irrité.

Il arrive sur la planète Rock, et ne met pas longtemps avant de tomber sur la personne en question :
- Alors, comme ça tu veux te mesurer à moi c’est ça ? Admire la puissance du grand Grizeur ! prévient le mercenaire de l’espace.
Il se met en position de combat et une énergie lumineuse semblable à des flammes roses, émane de lui.
- File-moi tes clopes ! Je n’ai pas de temps à perdre !
Le capitaine dégaine son sabre et l’envoie valsé d’un coup.
- Incroyable… Tu serais donc le super-terrien de la légende ?
- Quoi ?! C’est qui ce super terr… ?! Bref, donne-moi ce que je cherche !
- Tu m’as vaincu…je…
Il vomit une boule visqueuse sur laquelle quatre étoiles sont inscrites.
- Prend la, tu l’as mérité !
- Qu’est-ce que je vais faire de ça ?! C’est dégoutant !
- Une fois que tu auras réuni les 7 boules visqueuses, le dragon visqueux t’accordera un souhait ! lui avoue Grizeur avant de perdre connaissance.
- Hé ! J’en ai rien à foutre de ton dragon visqueux je veux mes clo…
Il est coupé par des pleurs. Il se retourne et aperçoit un homme en train de fondre en larmes au-dessus d’un cadavre.
- Qu’est-ce que ?!
- Brillin !!! Mon ami Brillin est mort ! Si seulement j’avais les 7 boules visqueuses ! Je pourrais te ramener à la vie ! éclate-t-il en sanglots.
Quelques minutes plus tard, dans le vaisseau spatial :
- Alors mon petit, tu as retrouvé ce Grizeur ? As-tu trouvé tes cigarettes ? Que vas-tu faire maintenant ?
- On va ressusciter Brillin ! répond-t-il d’un air agressif.
- Salut ! Moi c’est Yemtcha !
- Quoi ?! Je ne comprends plus et la cigarette ? s’exclame le vieil homme, avant de rajouter, mais ce n’est pas l’ex de Bulma à côté de toi ?!
Il se réveil dans son lit, tout en sueur, et jette un œil à l’heure :
- Merde ! Ce n’était qu’un cauchemar… Bizarre… Bon je dois me dépêcher, la réunion va commencer ! Je pense que je devrais arrêter de fumer…
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Défi
Alsensei

José était un homme quelconque comme tant d'autres, il avait un travail normal, des fréquentations normales, allant de temps en temps avec un ou deux amis regarder des films d'horreur au cinéma le week-end, rentrant chez ses parents pendant ses congés, en bref une vie normale, rien ne le prédistinait à devenir celui qu'il est aujourdh'ui et pourtant..
En effet , la vie de José a basculée le jour ou ce dernier rencontra par hasard une jeune femme du nom de Claire qui avait cassé son talon et peinait à marcher , en rentrant du boulot à 19 heures comme tout les jours.
La femme à la belle chevelure blonde lissée , avait physiquement de quoi faire tourner la tête à la plupart des hommes, de par ses lèvres douces et pulpeuses à ses grands yeux verts , qui ornait son visage d'un teint de pêche , et de son allure sportive qui se dessinait sous sa robe noire moulée, en passant par son sourire délicat. Ce fut le coup de foudre pour José.
Ce dernier timide par des temps habituels pris son courage à deux mains comme si il était poussé par une force mystérieuse tant il était attiré par Claire et fit sa connaissance en lui proposant de l'aide. José n'en cru pas ses yeux en remarquant la gentillesse et la politesse de cette dernière, lorsqu'il la raccompagna jusqu'à chez elle, il se sentait vivre un rêve éveillé qu'il en oublia de lui rendre sa chassure au talon cassé.
Distrait au travail, ne mangeans plus, s'isolant peu à peu de ses amis et de sa famille,perdu dans ses pensées, il s'imaginait la vie qu'il aurait bientôt avec elle, les enfants , le chien, la maison tout y passeé, et plus il y pensé plus il désesperait de la revoir un jour, et c'est là que ne pouvant résister , la pensée de la jeune fille l'obnibulant nuit et jour, qu'il pris la décision de partir s'arrêter à son pas de porte attendant de la revoir, en prenant sa chaussure avec lui , s'imaginant que tout aller se passer comme le conte de Cendrillon peut-être?. Que fut sa surprise lorsqu'il l'apperçut l'élut de son coeur rentrer chez elle avec un autre homme! José pris de panique se cacha , son coeur battait à la chamade, il ressentait une douleure comme jamais auparavant, c'était son premier chagrin d'amour. Mais notre homme n'était pas au bout de ses surprises, un malheur ne vient jamais seule; en effet on lui apprendra par la suite que sa mère inquiète pour lui avait fait le déplacement pour venir le voir mais qu'un terrible accident avait eu raison de cette dernière.
Les jours suuivant l'enterrement passent, il ne va plus au travail, il se contente de rester chez lui en repensant aux erreurs qu'il a pu comettre lorsqu'il a rencontré Claire, à pourquoi il n'avait pas pris son numéro, pourquoi n'a t-il pas tenté quelque chose sur l'instant, des ''peut-être'' et des ''si" lui trottaient dans le crâne à longueure de journée. Quelques fois , il la maudissait lui rejettant la faute de son malheur , d'autes fois il se disait qu'elle n'y etait pour rien et qu'il était le seul coupable. Cela dura des semaines, puis des mois. Plus le temps passé plus José se renfermé sur lui même, jusqu'à le fameux jour ou le jeune homme sort exceptionnellement de chez lui pour aller payer une baguette de pain, en effet viré de son travail et vivant sur ses économies, il en était arrivé à se rationner en mangeant de petites quantités de pain avec du beurre de cachuète , qui faisait office de son principal repas.
Sur le chemin du retour la tentation est trop forte, il passe devant la maison de la demoiselle et que ne fut pas sa surprise lorsqu'il la voit devant le pas de sa porte semblant attendre quelqu'un, il en laissa tomber sa nourriture même pour se précipiter comme un fou vers elle criant son prénom '' Claire'' Claire"! Du fait qu'il avait dépérit , la jeune femme ne le reconnut pas , et pris peur : Qui êtes vous laissez moi! A l'aide!'' A ce mment précis, le même homme que la dernière fois arrive en voiture, et descend précipitemment accourant vers la blonde, ''Que se passe t-il? Ce fou t'inportune?'' dit-il en lui envoyant un coup de poing propulsant le pauvre José dans une falque d'eau sur le trottoîre. Ce dernier était sans voix et ne pensait qu'à une seule chose ''Elle m'a oublié''
Claire monte dans la voiture de son ami, tandis que ce dernier mennaçe José d'avertir la police la prochaine fois qu'il le verrait roder près d'ici, avant de faire de même et de s'en aller.
José pris d'angoisse rentre chez lui en pleure, ne pouvant accepter la dure réalité de la vie, il en devient fou, commençant tantôt à en rire ou tantôt à en pleurer, il en devient..fou au point de vouloir se suicider.
Aujourdh'ui José n'existe plus ou du moins ce n'est plus lui qui est commande, celui qui subsiste de ce corps , celui qui a repris la vie de ce dernier en main, se fait appeler ''Trévor''. Trévor le collectionneur de talons''
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Alsensei

Stanley est un jeune homme âgé de 28ans , mais pour autant qu'il se dirige vers la trentaine, il mène toujours une vie de procrastination , n'ayant pas de boulot, et se faisant de l'argent au besoin pour payer le loyer ou faire la fête, en rendant service aux voisins du quartier pour n'importe quel tâche comme promener le chien ou descendre le chat coincé dans l'arbre ou en empruntant de l'argent à ses deux collocataires et amis Adam et Eva, plus jeunes que lui.
Il est 7h du matin , Stanley ouvrent les yeux: ''Hmm..Il est quel heure? je suis mort de faitgue, hier j'ai traîner avant de rentrer''. Il essaye de tourner sa tête vers son réveil pour voir l'heure, mais n'y arrive pas. ''Mais qu'est ce que ...! Je n'arrive pas à bouger! C'est trop bizzare.'' Adaaam! Evaaaa! Je...je n'arrive pas à parler non plus, je suis muet comme une carpe,mais qu'est ce qui se passe?'' Il commence à paniquer, essayant de se débattre pour bouger au moins un orteil mais rien n'y fait, ''Attend, on se calme, je sais! J'ai déjà entendu parler de ça , il parait que parfois un esprit vient se coucher sur toi, et que tu ne peux plus bouger'' des gouttes de sueurs coulent le long de son front à cette idée, il faut préciser que Stanley est un grand froussard dans certains cas ''Hé! Psst mr. l'esprit , s'il vous plait descendez, mr. le fantôme? madame?.. je vous en prieee! arghhh je vais avoir une crise cardiaque!''se dit -il en imaginant le fantôme sur lui.
Il est 9h du matin , Stanley..n'a toujours pas bougé d'un pouce: ''C'est fini, je vais mourir! Non pire je serais paralysé à vie comme ce gars sur sa chaise roulante, Stephen Hawking! Je communiquerait par un ordinateur! Qu'est ce que je dis , je n'ai même pas les moyens de m'offrir sa!'' et alors qu'il se faisait des films sur son avenir, il enttend du bruit , c'est ces deux collocataires Adam et Eva qui sont en train de prendre le petit déjeuner dans la cuisine :
Emma - C'est pas possible, il dort encore! Staaaan, debout!...Ohh il m'avait promis de m'accompagner chez le vieux Paulo pourtant, je vais aller le reveiller!
Stanley ''Ouiii , Emma tu es géniale! Je savais que je pouvais compter sur toi, tu es la meilleure , tu es ma sauveuse! Emmaaaa dépêche toi j'en ai marre!"
Adam -Non attend. Laisse le dromir.
Stanley "hiiin? Adam qu'est ce que tu fou? laisse la venir me reveiller, je ne suis qu'un bon à rien, il faut qu'on me pousse hors de mon lit Adaam!"
Emma- Non , sa suffit il est assez tard. Il est capable de ne pas se lever de la journée, si on le laisse comme çà!
Stanley ''Emma oui! C'est sa ne te laisse pas faire, Ouiiii!"
Adam -laissons le se reposer pour une fois, c'est pas grave, je t'accompagnerais moi même, je n'ai rien à faire avant 11 heures''
Stanley"Adam soit maudit! tu veux ma mort je le savais"délire t-il! ''Je viendrais chaque nuit t'immobiliser, tu verras!''
Emma - Bon , si c'est comme ça...ok! on y va, ils prennent leurs affaires et se dirigent vers la porte de l'appartement , en passant juste à côté de sa chambre.
Stanley ''non mon dernier espoir s'envole! Adieu monde cruel!'' pensa t-il.

Ils claquent la portent et tout à coup Stanley sursaute de son lit tout en sueur!
- Je..je suis libre! Je ne le crois pas! Je peux bouger haha, dit-il en haletant, avant de rajouter: à partir de maintenant je jure de changer.
Espérons que Stanley tiendras parole ;)




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Défi
Alsensei


Le voile est-il un signe d’oppression ?
Avant tout il faut savoir qu’il y a différents types de voiles chez les musulmans :
L’hijab ou voile classique, cachant la chevelure.
Le niqab recouvrant tout le corps et cachant la figure à l’exception des yeux, imposé par les salafistes
La burqa qui est très peu rencontré en dehors de l’Afghanistan qui est similaire au niqab sauf qu’il y a un tissus ou une grille au niveau des yeux.
Comment se fait-il qu’il y est tant de versions du voile ?
Tout comme l’on a les catholiques et les orthodoxes qui se différencient par divers points. Par exemple l’église orthodoxe accepte les prêtres mariés mais refuse le mariage après l’ordination tandis que l’église catholique impose le célibat. On a différentes divisions dans l’islam mais principalement deux branches à savoir le chiisme et le sunnisme.
Pour la culture générale, le chiisme reconnait les descendants du prophète, les imams, comme ses successeurs tandis que le sunnisme rejette cette idée, suivant les descendant d’un homme politique qui avait fait assassiner tous les imams jusqu’aux enfants et qui s’était emparé du califat par la suite.
La branche du sunnisme représentant 80% des musulmans dont une partie mineure se radicalisera par la suite, pour donner diverses sectes ou groupes, aux interprétations et aux idéologies différentes, certaines étant plus politiques que religieuses, et qui imposeront des lois sous le couvert de la religion.
Il est pourtant dit dans le Coran que la femme par égard pour son mari doit laisser tomber un voile sur sa poitrine pour se protéger du regard des autres hommes, exception faite des enfants et de la famille. J’ai l’impression que la phrase est sortie de son contexte, puisque l’on voit des tenues masquant même les yeux.
Alors oui le voile peut être oppressif, et l’on peut comprendre pourquoi certaines femmes quittent leur pays, non pas à cause de la religion mais à mon sens à cause de l’homme et de sa propagande religieuse.
Cependant, en ce qui concerne l’hijab, le voile simple, je reste plutôt positif :
Il faut savoir que le voile dit aujourd'hui islamique est antérieur de plus d'un millénaire au prophète Mohammed. La première mention de son port obligatoire remonte aux lois assyriennes attribuées au roi Téglat Phalazar Ier (vers 1000 av. J.-C.). Il s'appliquait aux filles, aux épouses et aux concubines d'hommes libres, ainsi qu'aux prostituées sacrées mariées. Ces femmes voilées ne devaient pas être touchées, alors que les femmes non voilées (esclaves, prostituées non sacrées ou non mariées) ne disposaient d'aucune protection de leur corps.
C’est donc quelque chose d’antérieur aux religions, et selon certains historiens à l’époque où il n’y en avait aucune, les hommes considéraient qu’avoir une fille était une honte, certains enterraient même leur bébé vivant : Oui l’homme a toujours était de nature stupide et cruel…
Néanmoins, historiquement, dans les trois grandes religions, le voile a servi de protection et non d’oppression et a était obligatoire dans chacune d’elle :
Il ne faut pas oublier que les sœurs chrétiennes, en portent par exemple, et qu’il était obligatoire par le passé à toutes chrétiennes jusqu’à ce que St Paul n’en limite l’obligation qu’au moment de la prière.
De même pour la communauté juive et le port de la kipa et du voile qui étaient également obligatoire jusqu’à l’époque médiévale, avant que le rabbin Israel Isserlein n’estime qu’il n’y avait aucune interdiction à se promener la tête nue.
Le problème est que sous couvert de protection la France agit comme l’Arabie Saoudite ou l’Afghanistan en interdisant un code vestimentaire :
Le 06 mai 2016, une adolescente de 16 ans convertie à l'islam n'a pas eu le droit de rentrer dans son lycée de Seine-et-Marne. Sa proviseure estimait que ‘‘porter des robes longues dans un établissement public n'est pas tolérable.’’
En avril 2015, à Charleville-Mézières, Sarah, une élève de troisième, âgée de 15 ans, s'était vu refuser à deux reprises l'accès à son établissement pour ce même motif.
Au vue de ses recherches, je me pose la question suivante : Est-ce vraiment le voile qui dérange ou l’islam ?
En disant vouloir les protéger pour détourner la question du laïcisme, on tombe dans l’hypocrisie. Le chiffre qui fait mal : La France est l’un des pays qui légifère le plus sur la tenue des femmes après l’Arabie Saoudite et l’Afghanistan. Mais à la différence de ces derniers elle se dit laïque.
(Je tiens à préciser que je ne dénigre aucune religion, ce sont les résultats de mes recherches effectuées afin de répondre au défi en argumentant de mieux possible, merci, de m’avoir lu.)
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Défi
Alsensei


Détachant son bandana de son bras pour se le mettre autour de la tête, il est la définition même du mot ‘’badass'’. Un personnage qui après deux décennies continue toujours de nous fasciner : le symbole de la détermination d’un homme qui ne perdra plus jamais, d’une rencontre faite sous le soleil et d’une promesse faite sous la lune.
L’incarnation d’un code bien particulier et d’une écriture profonde faisant de l’ombre à celui qui autrefois dans la culture populaire partageait le même nom : Je parle ici de Roronoa Zoro.
Un tigre féroce, focalisé sur un seul objectif : La victoire.
Un démon à plusieurs visages, monstrueux et sans pitié, fondant la brume argenté de ses trois lames, mais aussi un guerrier respectueux, honorable et humain qui par sa simple détermination et volonté va serrer les dents, mordant de toutes ses forces pour atteindre son but : devenir le plus grand épéiste du monde.
L’histoire d’un tigre sur terre voulant tuer un faucon dans le ciel, ou comment oser rêvé grand ?
Suivant l’odeur du combat, seul élément utile à sa progression, Roronoa Zoro a fait son choix, devenant le pilier central de son équipage, ne laissant jamais ses émotions le contrôler, rappelant à l’ordre son capitaine et endossant son rôle quand ce dernier est absent.
Partageant alors une relation très particulière avec ce dernier. Il est le seul qui tacitement comprend celui qui est toujours incompris, le seul à lui avoir tenu tête à plusieurs reprises, laissant même croire qu’il est aussi puissant que le protagoniste de l’histoire dans laquelle il évolue.
C’est aussi le seul qui voit son ambition emprunter le même chemin que son capitaine, le prévenant alors dès leur première rencontre de ses intentions. Mais sa philosophie inébranlable évoluera, preuve que le personnage n’est pas seulement un monstre d’ambition, mais qu’au fond de lui sommeille un enfant qui a un rêve et qui pour le réaliser va devoir se transformer.
Un homme qui face à la réalité, arrivant dans un nouveau monde cruel ou l’humanité n’a pas sa place, laissera derrière lui son rire innocent qui au fur et à mesure, que nous lecteurs, tournons les pages, disparaitra.
Un sourire bienveillant devant ses amis qui se transformera en un rictus sadique devant ses ennemis.
Un homme devenu monstre, qui par sa simple rhétorique paralyse ses adversaires n’ayant "jamais vu une bête féroce sans avoir la certitude qu’elle ne mordrait pas".
Un monstre devenu démon, qui par son caractère et son esprit rend ses interactions encore plus intéressantes car au final, Zoro n’a pas d’amis seulement des compagnons : pour devenir plus fort il doit abandonner son humanité…Mais pourtant, un sentiment continue de battre en lui, laissant ses démons de côtés pour sauver la veuve et l’orphelin, des réflexes qu’il ne contrôle pas : il est le fort qui protège le faible.
Mais plus encore, il est celui qui malgré ses sacrifices et son ambition va radicalement changer pour quelqu’un. Et alors que la durée de l’œuvre ne permet pas de s’en rendre compte explicitement, il est pourtant le changement le plus important de toute l’histoire : Zoro va à deux fois offrir son rêve et sa vie à quelqu’un. Le monstre d’orgueil va se mettre à genoux devant celui qu’il a juré de battre un jour, bafouant tous ses idéaux, ravalant sa fierté et piétinant son égo, acceptant la torture et frôlant la mort, car il en est persuadé : son capitaine est l’homme qui deviendra roi.
Le monomythe par excellence de l’homme qui va apprendre de ses défaites et dépasser ses faiblesses. L’histoire de celui qui aura coupé des montagnes en deux et perdus des litres de sang mais aussi de celui qui confond sa droite de sa gauche, rappelant que derrière ces dents de tigre et ce masque de démon, il y a un enfant qui avait un rêve et qui a fait une promesse, pas seulement de devenir le meilleur épéiste du monde mais de l’être pour quelqu’un d’autre, pour que son nom résonne jusqu’au ciel et pour que là où elle se trouve elle puisse l’entendre.
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Alsensei

Nous nous retrouvons aujourd'hui pour dresser le portrait d'un jeune homme extra-ordinaire selon ses dires :
Prénom : Tiro
Nom : Flan
Âge : 25 ans
Sexe : Masculin
Créature : Homme

Physique : Selon lui, il possède un corps doté d'un énorme potentiel et il aurait surement entamé une carrière footbalistique ou de boxe s'il ne s'était pas fait les ligaments plus jeune...
D'après sa petite soeur, il n'a cependant jamais réussi à la battre au bras de fer malgré tout.
Mais ne vous inquiétez pas, notre sujet du jour nous avouera qu'il fait exprès de perdre.

Caractère : Toujours d'après lui, il est généreux, fiable, courageux. Son intellect dépasse largement la moyenne mais il préfère faire profil bas.
Ses parents confirment , il est très intelligent ! ... mais très paresseux.
Son entourage trouve juste qu'il est paresseux mais drôle.

Passions : Quand on sait tout faire, tout est passionant d'àprés lui. C'est peut-être pour cela que son entourage dit qu'il n'a aucune véritable passion ?

Points faibles : On lui a dit un jour qu'il était trop gentil. Ses amis nous disent : paresseux, narcissique, impatient, maladroit et très naïf !
Pour exemple aprés s'être lancé brièvement dans la carrière d'influenceur, il a fait un voyage en Afrique et s'est retrouvé le premier jour au milieu d'une foule de gens. Ce jour là on pouvait voir sur sa story : Trop bel accueil pour mon arrivée ! au centre de centaines de personnes criant et chantant. Ce jour là on pouvait aussi voir aux infos : Manifestations en vue des prochaines élections... nous confie un proche.

Points forts : Il ne s'abessera pas à se vanter devant nous en enumerant la longue liste de ses points forts cachés, ce qui est selon lui un point fort en soit : L'humilité.

Métier : Sans entrer dans les détails de sa vie privée, il travaille dans le cinéma. Cependant ses amis nous ont apportés une petite précision : il travaille devant le cinéma.

Famille (père, mère, fratrie ) : Un père, une mère et une soeur, mais en sa qualité d'homme avisé et de son expérience de vie il se considère comme un frère voir un père pour beaucoup de gens.
Pouvoir(s) : L'optimisme d'aprés les autres, le charisme d'aprés lui.

C'est ainsi que s'achève notre portrait du jour... aussi spécial que contradictoire, merci de nous avoir suivit jusque là !
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