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Elizabeth Fendel

Quelque part en France ;3.
Retrouvez-moi sur https://chez-crayonne.fr/
Elizabeth Fendel
Les dragons n'ont pas tous disparus pendant la dernière grande guerre. Certains ont trouvés le moyen de se camoufler parmi les humains, attendant l'heure de se venger...
Fille d'un elfe et d'une humaine, Jaelith est l'une des rares femme paladin du royaume. Comme sa mère avant elle, elle suit la voie de la lumière.
Freyki, le roi loup, contemple la dure reconstruction de sa cité, détruite par les dragons il y a des années. Il attend le retour d'une femme qui lui a fait une promesse.
Caché dans l'ancienne cité des nains, le terrible dragon Varen Draze attend son heure... Il est bien décidé à terminer ce qu'il a commencé.

***

Il s'agit de mon premier véritable récit. Un univers purement fantasy dans lequel on y trouve des dragons, des elfes, de la magie, des paladins... C'est un projet qui me tient à cœur depuis plusieurs années. J'ai commencé à imaginer la trame du récit lorsque j'étais au collège, pour dire que ça date (j'ai même retrouvé ce vieux cahier de devoirs de 1997 avec la première trame qui a méchamment prit la poussière).
Bien entendu, je suis ouverte à tout commentaires, conseils et suggestions.

***

➙ Récit terminé (46 chapitres)
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Elizabeth Fendel
L'ombre des dragons ne menace plus la cité de Goldrynn et la paix semble être revenue en Fereyan.
Jaelith à fort à faire entre sa relation avec le souverain Freyki Ewall Nenvel et sa nouvelle charge de capitaine paladin. La jeune femme est incapable de faire un choix entre son bonheur et sa liberté. Mais bien plus important que ses problèmes de coeur, une guerre civile vient d'éclater dans la contrée de Saleah, royaume des elfes. Deux sœurs se livrent une bataille sans merci et pourrait se solder par une terrible guerre... Ou une nouvelle alliance. C'est seule que Jaelith, moitié humaine et moitié elfe, décide de se rendre là-bas, s'éloignant par la même de celui qu'elle aime plus que tout.

***

Suite directe de l'Ombre des Dragons, on y retrouve les même personnages, évoluant toujours dans le même univers typé Fantasy. Je suis ouverte à tout conseil, suggestion et commentaire.

***

➙ Récit terminé (41 chapitres)
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Elizabeth Fendel
Ronan Laguna, agent du gouvernement, mène une petite vie tranquille sur Equinox. Sa vie change lorsqu’il fait la rencontre d’une Nu-man amnésique qu’il prend sous son aile. Il la baptise Lorelai et en fait son assistante. Le passé de cette dernière reste un mystère, pour elle comme pour les autres. Quel est son véritable nom ? Qui est son propriétaire légitime ? Pourquoi était-elle seule dans les rues de Solstice ?
Les questions sont nombreuses pour la jeune femme qui n'obtient aucune réponse, ce qui la désespère. La seule chose qui la raccroche à son passé est un cauchemar récurrent dont elle ignore la signification.
Le jour où Ronan est envoyé en mission pour enquêter sur un accident, Lorelai ne se doute pas un seul instant que ce sera le début des ennuis dont elle n’imagine pas l’ampleur… et des réponses qui changeront le cours de leurs vies.

***

Mes premiers pas dans le monde du NaNoWriMo et de la science-fiction.
Je suis ouverte à toutes critique et tout commentaire qui me permettrait de m'améliorer.

***

➙ Attention, scènes pouvant choquer les personnes sensibles (Langage grossier, discrimination, sexe, violence, scènes de torture, etc.)
➙ Récit en cours d'écriture dans le cadre du NaNoWriMo2018
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Elizabeth Fendel
"Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants."
C'est ainsi que se terminent la plupart des contes de fées, mais il y en a qui ne se finissent pas aussi bien. Des princesses qui ne trouvent pas de preux chevaliers pour les sauver, des voyageurs qui rencontre des fées malfaisantes, des sorcières qui préféreraient renier leurs pouvoirs, des rois complétement fous, des jeunes filles rancunières...
Bonne lecture de ces contes à ne pas mettre entre toutes les mains.

****

Il s'agit de mon premier recueil de contes. La plupart d'entre eux ont été écris il y a quelques années et ont simplement subis quelques petites corrections. Je suis ouverte à tout commentaire et à tout conseil.

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➙ En cours de réécriture
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Elizabeth Fendel
Une petite fille parle avec les murs. Et les murs lui répondent. Personne n'y fait vraiment attention. Ni ses parents, ni son frère, ni les autres.
Les murs sont ses seuls amis. Elle les écoute. Et elle fait tout pour qu'ils ne soient pas tristes.

****

➙ Réécriture d'un texte bien plus long que j'ai décidé de morceler et d'étoffer un peu.
➙ Les fautes de syntaxe sont tout à fait normales dans ce texte au vu de l'âge de la narratrice (pas les fautes d'orthographes par contre).
➙ Récit terminé (15 chapitres)
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Elizabeth Fendel
Arx, la grande cité de lumière...
Les Chevaliers de l'Ordre font la chasse aux sorcières et autres démons, n'hésitant pas à organiser des purges dans certains quartiers. Lucian, l'un d'entre eux, observe ces massacres gratuits. Ne se sentant pas à sa place, écœuré par tant de violence gratuite, il aimerait abandonner sa condition de chevalier. Mais lorsque son père en est le général, et son frère l'un des meilleurs éléments, difficile de ne pas continuer à simplement prendre sur soi et les suivre...

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➙ Attention, scènes pouvant choquer les personnes sensibles (Langage grossier, discrimination, sexe, violence, scènes de torture, etc.)
➙ Récit en cours d'écriture
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Elizabeth Fendel
Une femme qui prépare le repas en vue d'une soirée tranquille. Le téléphone sonne. Tout bascule en quelques secondes. En quelques mots. Une jeune fille écrit des histoires, puis les publie sur son site internet. Mais quand la fiction rattrape la réalité, tout bascule. Il suffit de quelques secondes, de quelques mots... Pour que la réalité ressemble à un affreux cauchemar.

***

Ceci est un petit recueil d'histoires horrifiques écris il y a... une vingtaine d'années. Je suis ouverte à tout commentaire ou conseil.

***

➙ Terminé
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Elizabeth Fendel
Inge est une jeune fille vivant à Same, un petit village de pêcheurs au bord de la mer.
Elle s’ennuie dans cette existence des plus banale et rêve de partir à l'aventure sur les flots.

***

Il s'agit de petits textes concernant la vie passée d'un personnage que je rôle dans un RP.
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Elizabeth Fendel
Je suis un garçon comme tout les autres. J'ai des parents, et une petite sœur infernale. Mon père a été muté dans une autre ville il y a quelques temps. Le reste de la famille et moi même on fini par aller le rejoindre... Le seul problème est que le voyage en voiture ne s'est pas passé comme prévu.
Pour le coup je suis perdu au milieu de nulle part. Je ne connais pas du tout le coin. Ma mère et ma frangine ont disparu. Je n'ai aucune idée de l'endroit où elles peuvent être. Mais bon, je ne vais pas rester dans la voiture vide à me tourner les pouces en attendant que le temps passe. Je vais aller les chercher, et on va partir d'ici.
C'est ce que j’espère...

****

Petite nouvelle d'Horreur en plusieurs petites parties. Comme toujours, je reste ouverte à tout commentaire et conseils.

****

➙ Récit en court de réécriture
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6
Elizabeth Fendel

Je me suis toujours demandée si ce que j'écrivais était cliché. Si ma "fantasy" était clichée. Je me suis relue encore et encore, et j'ai modifié pas mal de passages. Mais j'ai toujours l'impression que mon histoire (L'ombre des Dragons/L'Espoir du Loup) est bourrée de clichés. Alors j'me suis baladée sur le net, et j'ai trouvé un petit questionnaire plutôt sympa qui pouvait peut être m'éclairer sur la question (et qui pourra peut être éclairer d'autres personnes au passage, alors je partage) : http://rinkworks.com/fnovel/
Et traduit ici : http://jeunesecrivains.superforum.fr/t5546-univers-est-ce-que-j-ecris-de-la-fantasy-originale

***
1. Est-ce que rien ne se passe durant les cinquante premières pages ?
-L'héroïne perd sa mère dans le prologue, son père se fait assassiner dans le premier chapitre, elle entre à l'académie des paladins et elle part en mission pour combattre un dragon. Il se passe peut être trop de choses en cinquantes pages en fait...
2. Est-ce que votre personnage principal est un jeune commis de ferme aux origines mystérieuses ?
-Un jeune commis ? Non. Des origines mystérieuses ? Pas vraiment. On sait qui sont ses parents dès les premières pages.
3. Est-ce que votre personnage principal est l’héritier du trône mais ne le sait pas ?
-Oui et non ? Enfin... Pas vraiment, mais en fait si, et puis c'est compliqué...
4. Est-ce que votre histoire porte sur une jeune personne qui devient adulte, gagne un grand pouvoir et défait le grand méchant pas beau ?
-Elle est déjà adulte quand commence l'histoire, donc nope. Après oui, c'est en partie elle qui bute le grand méchant. Mais juste un peu.
5. Est-ce que votre histoire narre une quête pour un objet magique qui va sauver le monde ?
-Non. Y'a un objet magique parmi d'autre mais il ne sert pas tant que ça.
6. Ou alors à propos d’un objet qui va détruire le monde ?
-Non plus. Je n'ai qu'un seul objet qui répondrait un peu à ce critère, mais il ne détruit pas le monde et pour l'utiliser, ce n'est absolument pas gratuit.
7. Est-ce que votre histoire se déroule autour d’une prophétie parlant de l’Elu” qui sauvera le monde, tous les gentils clampins et les gentilles forces du Bien ?
-Il y a une "prophétie", mais elle ne concerne pas d'élu ou l'avenir du monde. Et ça touche juste l'héroïne alors bon.
8. Est-ce que votre roman contient un personnage dont le seul rôle est d’apparaît au hasard et de donner des informations ?
-Non. Je n'ai pas ça dans mon panel de personnages. Les seules personnes qui donnent des infos n'apparaissent pas comme par magie et ne dépopent pas de la même manière en mode yolo.
9. Est-ce que votre roman contient un personnage qui est en réalité un Dieu déguisé ?
-Si j'avais continué d'écrire au delà du second tome, oui. Une déesse déchue de ses pouvoirs qui cherche juste à retrouver l'amour de sa vie qui doit être réincarné quelque part sur terre. Mais ça ne s'est jamais fait finalement.
10. Est-ce que le grand méchant pas beau est en vérité le père du personnage principal ?
-Mais non ! En fait c'est un ami de son oncle par alliance de sa grande soeur et... Ah non. En fait ils n'ont aucun lien.
11. Est-ce que le roi de votre monde est un gentil roi abuse par un méchant magicien ?
-Par un méchant magicien, non. Par des conseillers, des marchands, des généraux... Ce genre de personne.
12. Est ce que le terme “magicien distrait” décrit un de vos personnage ?
-Non.
13. Pareil pour « un guerrier puissant, au coeur tendre mais un rien limité sur le plan intellectuel » ?
- Hmmm… Freyki serait un peu limite d’appartenir à cette catégorie, je l’avoue. Mais il sait réfléchir un minimum, sinon il ne serait pas roi.
14. Pareil pour « un sage, aux grandes connaissances, mystique qui refuse de donner des indications sur le déroulement de l’histoire pour des raisons personnelles et mystérieuses » ?
-Je n'ai pas ça dans mon panel de personnages.
15. Est-ce que les personnages féminins de votre roman passent beaucoup de temps à se faire du mouron sur leur apparence physique, surtout quand le personnage principal traîne dans le coin ?
-Absolument pas.
16. Est-ce qu’un personnage féminin est uniquement là pour être capturé et secourut ?
-Oui et non. Jaelith se secourt toute seule. Pas besoin d'aide pour ça.
17. Est-ce qu’un personnage féminin n’existe que pour incarné les idéaux féministes ?
-Je ne sais pas trop.
18. Est-ce que les termes « une aide cuisinière plus confortable avec une poêle à frire qu’une épée » décrit un de vos personnages féminins ?
-Non.
19. Est-ce que les termes « une guerrière plus confortable avec une épée qu’une poêle à frire » décrit un de vos personnages féminins ?
-Non.
20. Est-ce qu’un personnage de votre roman est parfaitement décrit avec les termes « un nain refrogné » ?
-Non.
21. Même chose pour “un demi-elfe déchiré entre son héritage humain et son héritage elfe » ?
- L’héroïne est une demie-elfe. Mais elle n’est pas déchirée plus que ça par son héritage. Elle a toujours vécu avec des humains.
22. Avez-vous fait en sorte que les elfes et les nains soient amis, juste pour faire différent ?
- J’ai des elfes, j’ai vite fait parlé des nains… Mais j’en ai pas encore mis dans mon histoire.
23. Est-ce que tous les personnages d’une taille inférieure à 4 pieds sont uniquement là pour le comique ?
-Non.
24. Pensez-vous que les deux seules utilisations d‘un bateau sont le piratage et la pêche ?
- Non. Pour voyager aussi entre deux villes éloignées ou deux continents, c’est pas mal aussi.
25. Ignorez-vous quand la machine à faire des bottes de paille a été inventée ?
-Oui. Je vais de ce pas chercher la réponse à cette question sur Wikipédia. A partir su 19ème siècle on utilise des machines pour faire des bottes de paille. Avant c'était fait à la main par des botteleurs.
26. Est-ce que vous avez dessiné une carte pour votre roman qui indique des lieux tels que « Les Terres Maudites », « La Forêt de la Peur », « Le Désert de la Désolation », ou n’importe quoi qui contient « de la Ruine » ?
- J’ai une carte mais elle ne contient aucun de ces termes.
27. Est-ce que votre roman comprend un prologue incompréhensible tant que nous n’avons pas lu tout le livre, et encore ?
-Non
28. Est-ce le premier tome d’une trilogie ?
-A la base ça devait être une trilogie mais le tome 3 ne servait vraiment pas à grand chose. C'était centré sur les gosses des héros et ça ressemblait vachement au scénario de Final Fantasy VI. Donc j'ai rapidement laissé tomber. Les seuls choses qu'il en reste sont des dessins fait comme ça dans un moment d'inspiration.
29. Voir de 5 ou 10 tomes ?
-Non
30. Est-ce que votre livre est plus épais que l’annuaire (pages jaunes et pages blanches) de Paris ?
- 300 pages pour le premier (en A5), un peu moins de 200 pour le second (en A5).
31. Est-ce que rien ne se passe dans le précédent livre que vous avez écrit, mais que vous pensez que vous être encore très loin de finir votre « histoire » et que cela nécessite un grand nombre de séquelles ?
-Mais non roh.
32. Est-ce que vous écrivez des préquelles à votre série de livres, même si celle-ci n’est pas encore finie ?
-J'avais eut l'idée d'écrire une petite nouvelle concernant les parents de l'héroïne mais j'ai laissé tomber.
33. Est-ce que votre nom est Robert Jordan et que vous avez menti comme un arracheur de dents pour allez aussi loin ?
-Je... Mais... Non... Non ?
34. Est-ce que votre livre est basé sur vos parties de jeu de rôle avec vos amis ?
-Non.
35. Est-ce que votre roman contient des personnages transportés du monde réel vers un monde fantasy ?
-Non.
36. Est-ce que certains de vos personages principaux ont une apostrophe ou un tiret dans leur nom ?
-Non. J'ai une épée qui a une apostrophe dans son nom, ça compte ?
37. Est-ce que certains de vos personnages ont un nom de plus de trois syllabes ?
-Non.
38. Est-ce que vous ne voyez rien d’anormal à avoir deux personnages venant du même petit village appelés "Tim Umber" et "Belthusalanthalus al'Grinsok" ?
-Que... Quoi ?
39. Est-ce que votre roman contient des orcs, des elfes, des nains ou des hobbits ?
-Juste des elfes et des nains.
40. Pareil pour des “orkens” et “Nahins » ?
-Mais qu'est ce que c'est que donc que ça ?
41. Est-ce que vous avez une race qui commence par « demi- » ?
-Jaelith est désignée comme étant une demie-elfe mais je n’aime pas ce terme.
42. A n’importe quel moment de votre histoire, est-ce que les personnages principaux prennent un raccourci à travers d’anciennes mines naines ?
-Non, mes personnages ne passent pas par la Moria.
43. Est-ce que vous écrivez vos chaînes de batailles après les avoir jouées dans votre RPG favori ?
-Non.
44. Est-ce que vous avez créez les fiches de personnages de tous vos personnages principaux dans votre RPG favoris ?
-Non.
45. Est-ce que vous faîtes des piges pour Wizards of the Coast ?
-Non.
46. Est-ce que des tavernes existent dans votre livre uniquement pour que vos personnages puissent s’y bagarrer ?
- Non. Mes personnages y mangent et s’y reposent. Des fois ils s'y font des câlins aussi.
47. Est-ce que vous pensez savoir comment le féodalisme marchait alors qu’en vérité, vous n’y connaissez rien ?
-Je l'avoue, je n'y connais pas grand chose. Mais j'essaye de me renseigner j'vous l'jure !
48. Est-ce que vos personnages passent une quantité de temps démesurée à voyager d’un endroit à un autre ?
- Ils voyagent un peu, je l'avoue.
49. Est-ce que l’un de vos personnages principaux pourrait dire aux autres quelque chose qui pourrait vraiment les aider dans leur quête mais qui ne le fait pas rien que ne pas gâcher l’intrigue ?
-Non.
50. Est-ce que vos utilisateurs de magie lancent des sorts facilement identifiables en temps que « boule de feu » et « éclair » ?
-Non.
51. Avez-vous déjà utiliser le terme « mana » dans votre roman ?
-Non. C'est pas très joli comme terme dans un roman. Personellement je préfère énergie magique. Mais comme mes personnages n'utilisent pas de "magie" à proprement parler, alors bon...
52. Avez-vous jamais utiliser le terme «armure de plates » dans votre roman ?
-Oui, deux fois. Fouettez moi !
53. Les Cieux aient pitié de vous, utilisez-vous le terme “points de vie” dans votre ouvrage ?
-Mais non ! C'est horriblement horrible !
54. Ne réalisez-vous pas combien l’or pèse en vérité ?
-Bah c'est lourd. Mais après, c'est pas comme si mes personnages se baladaient avec des bourses de 500 pièces d'or.
55. Pensez-vous que les chevaux peuvent galoper toute la journée sans se reposer ?
-Non. Les pauvres, faut bien qu'il dorment et mange à un moment donné non ?
56. Est-ce que, dans votre roman, un personnage se bat pendant deux heures en armure de plates complète, chevauche pendant 4 heures puis fait délicatement l’amour à une servante consentante dans la même journée ?
-Non.
57. Est-ce que votre personnage principal a un marteau, une hache, une lance ou toute autre arme magique qui revient automatiquement quand il la lance ?
-Non.
58. Est-ce que dans votre roman quelqu’un plante une personne avec un cimeterre ?
-Euh, non.
59. Est-ce que quelqu’un plante une personne portant une armure de plates ?
-Non.
60. Pensez-vous que les épées pèsent 10 livres ou plus ?
- Ça pèse lourd oui. 10 livres ou plus ? J’en sais rien, je l’avoue.
61. Est-ce que le héros tome amoureuse d’une femme inaccessible, qu’il atteindra plus tard ?
- L’héroïne tombe amoureuse d’un mec qu’elle pense inaccessible. Sauf que lui est ultra consentant.
62. Est-ce qu’une large partie de l’humour de votre roman consiste en des jeux de mots ?
-Non.
63. Est ce que votre héros est capable de résister à plusieurs coups de l’équivalent fantasy d’un marteau de 10 livres mais est quand même menacer par une frêle donzelle avec une dague ?
-Non.
64. Pensez-vous qu’il faut, habituellement, plus d’une flèche en pleine poitrine pour tuer un homme ?
-Ca dépend si la flèche a touché des organes vitaux ou pas. Mais le mec qui l’a reçue va morfler un moment avant de mourir de toute façon.
65. Ne réalisez-vous pas qu’il faut des heures pour faire un bon ragoût, ce qui en fait un mauvais choix pour un repas « sur la route » ?
-C'est un très mauvais choix oui. Le mieux c’est du pain, de la viande séchée et des fruits secs.
66. Avez-vous des barbares nomades, vivants dans la toundra, et consommant barils sur barils de d’hydromel ?
-Non.
67. Pensez-vous qu’hydromel est juste un joli mot pour remplacer bière ?
-C'est pas du tout la même boisson !
68. Est-ce que votre histoire implique un certain nombre de races différentes ayant toutes exactement un roi, un pays et une religion ?
- Pour le moment les humains ont plusieurs pays et plusieurs rois, et mes elfes ont un pays, une impératrice et une « religion ».
69. Est-ce que la guilde des voleurs est l’organisation la mieux organisée et comptant le plus de monde dans votre monde ?
-Il n'y a pas de guilde de voleur. Juste une guilde avec des marchands et c'est juste pour la capitale d'un des royaumes humains.
70. Est-ce que le grand vilain pas beau punit les erreurs insignifiantes par la mort ?
-Non.
71. Est-ce que votre histoire raconte les aventures d’une équipe de guerriers de top niveau qui prennent en chemin un barde nul en combat mais qui joue du luth ?
-Non.
72. Est-ce que le « Commun » est la langue officielle de votre monde ?
-Non.
73. Est-ce que la campagne de votre monde regorge de tombes et de cimetières remplis d’anciens objets magiques que personne n’a pensé à voler durant tous ces siècles ?
-Non.
74. Est-ce que votre livre est, de façon basique, une réécriture du Seigneur des Anneaux ?
- Non. De toute façon, je n’arrive même pas à lire le seigneur des anneaux alors bon… J’abandonne après 3 ou 4 chapitres. Et je sens que je vais me faire lyncher après avoir avouer ça.
75. Relisez cette question et répondez franchement.
-Mais j'ai répondu franchement !

***
8 oui pour 75 questions. Si j'en crois mes réponses, mon histoire n'est pas vraiment clichée. C'est rassurant. Mais alors, pourquoi j'ai toujours l'impression que c'est aussi cliché ?
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0
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Elizabeth Fendel
La grande catastrophe que tout le monde redoute est à nos portes. J'ai fait construire un bunker au cas où. Mon ex-femme m'a laissé ma fille ce week-end. Mais je n'ai pas la tête à m'occuper d'elle. J'ai d'autres idées noires à l'esprit.
Et la catastrophe eut lieue, comme je l'avais prédit.

***

➙ Récit terminé
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15
6
Défi
Elizabeth Fendel

"Le sommeil me prit et je m'endormi rapidement. Quand d'un coup, je sentis le souffle du vent le long de mon visage; J'ouvris les yeux, j'étais à des kilomètres du sol en chute libre. "


Quand ? Comment ? Pourquoi ? Je n’en avais aucune idée. La seule chose dont j’étais sûre et certaine, c’était que j’étais en train de tomber. Je sentais mon cœur battre à tout rompre dans ma poitrine. Est-ce que j’allais mourir ainsi ? Combien de temps me restait-il avant de toucher le sol ? En bas, il n’y avait qu’un paysage verdoyant. Aucune ville ou village en vue, aucune bâtisse, aucune route, aucune construction. Juste de la verdure à perte de vue. C’était… étrange. Déconcertant. Déstabilisant. Et ça ne me disait absolument pas où est-ce que j’allais m’écraser. Peut-être que c’était un coin paumé au fin fond de la campagne ? C’était la solution la plus envisageable, mais ma question, un peu inutile à cet instant, ne trouverait pas de réponses. Et puis mince, j’étais en train de tomber, qu’est-ce que j’allais m’ennuyer avec ce genre de questionnement ? Il ne me restait plus beaucoup de temps, alors je devais peut être penser à des choses beaucoup plus importantes, comme ma famille, mes amis, mes proches. Ou alors même me lamenter sur mon sort, pleurer toutes les larmes de mon corps, ce genre de choses que l’on ferait normalement dans ce genre de situation…
J’attendais sagement, continuant de tomber, sentant le vent dans mes cheveux. Mais la fin de la chute n’arrivait pas. J’en arrivai même à grogner d’impatience. Qu’est-ce que c’était long bon sang… J’avais beau tomber en chute libre, il y avait cette impression désagréable que je ne toucherai jamais le sol. Dans un sens, j’avais envie de penser que c’était un soulagement. Ça voulait dire que je ne mourrai pas écrasée contre le sol, telle une crêpe fourrée à la fraise. Mais d’un autre côté, ça voulait dire aussi que j’allais tomber, encore et encore, pendant un temps qui serait long, très long, trop long. Bien trop long à mon goût. Je soupirais, telle une gamine qui ne pouvait pas attendre la journée du vingt-cinq décembre pour ouvrir ses cadeaux.

Je ne sais pas combien de temps s’était écoulé depuis que j’avais compris que je tombais. Une heure ? Deux heures ? Une journée ? Plusieurs jours ? Je n’en avais aucune idée. La seule chose dont j’étais certaine, c’est que c’était long. Et que j’étais toute seule. Et que le sol ne semblait pas se rapprocher de moi. C’était énervant. Si au moins je pouvais flotter dans les airs, ce serait peut-être plus agréable. Je pourrai me promener, visiter cet endroit que je ne connaissais pas, et même, sait-on jamais, faire quelque rencontre ? En espérant ne pas tomber sur des pigeons ou autre volatiles qui ne comprendraient pas un traitre mot de ce que je raconterai. Et puis mince, qui irait discuter avec un piaf ? Comme si j’allais en voir un, me poser tranquillement et lui demander le plus naturellement du monde : « Oui bonjour, je suis en chute libre depuis quelques jours, comment est-ce que vous allez ? Pas trop froid dans les hauteurs ? » J’éclatais de rire. De toute façon, personne n’allait m’entendre, j’étais toute seule. Enfin, c’est ce que je croyais.
Bonjour ?
La voix d’une jeune fille me sortit complètement de mon délire avec des oiseaux parlants. Je me tournai alors vers elle pour la détailler rapidement d’un coup d’œil. Elle devait avoir une dizaine d’année, pas plus. Une petite blondinette aux grands yeux bleus, habillée d’une jolie robe rose à froufrou. Le genre de robe que j’aurai adoré porter à son âge. Elle avait l’air de tomber elle aussi. Je me raclais la gorge et reprit un air plus sérieux pour lui répondre, car on ne plaisante pas avec la politesse.
Bonjour. Toi aussi tu tombes indéfiniment ?
Elle acquiesça d’un signe de tête. Bon, au moins, je n’étais pas toute seule dans cette galère. C’était un peu rassurant quelque part. Avec un grand sourire, je lançais d’une voix assurée :
Je m’appelle Marzia. Et toi ?
Agnès.
C’est mignon. Et ça fait longtemps que tu tombes ?
La jeune fille secoua négativement la tête, puis m’expliqua :
J’étais dans mon lit, je voulais juste dormir, et je ne sais pas comment mais je me suis retrouvée ici.
Un peu comme moi en fait. C’est ce que j’allais lui dire, mais elle ne m’en laissa pas l’occasion, parce qu’elle continua de parler.
Ce n’est pas la première fois. Avant j’étais toute seule ici. La fois encore avant, il y avait un garçon. Et encore avant, une autre dame…
Je ne sais pas à quoi ressemblait ma tête quand elle a dit ça, mais ma mâchoire devait toucher le sol qui était des kilomètres plus bas. Je confirmais juste ce que je pensai depuis u moment : j’étais coincée dans un rêve, ou un cauchemar. Ce n’était pas très clair. Et je n’étais pas la seule. Ma voix résonna comme si j’avais une boule dans la gorge.
C’est un genre de rêve commun ? Ça veut dire que n’importe qui peut se retrouver à tomber ici ?
Nouveau hochement de tête de la petite Agnès. C’était donc un rêve super bizarre dans lequel je m’étais fourrée. Et il n’y avait pas d’échappatoire, il fallait juste que j’attende le moment où je me réveillerais. Mais en attendant cet instant qui mettait quand même un sacré moment à arriver, il fallait que je m’occupe. Ou plutôt qu’on s’occupe, parce que je n’étais pas toute seule dans cette galère.

Agnès et moi avons d’abord chanté quelques comptines que nous connaissons toutes les deux, avant d’enchainer sur des devinettes et des charades. Je me suis même surprise à rire alors que certaines énigmes étaient du niveau Carambar. Mais cela nous faisait passer le temps. Et puis nous nous amusions bien malgré la situation étrange dans laquelle nous étions. Bien sûr, avec le bruit du vent dans les oreilles, il fallait parfois crier pour se faire entendre, et j’en avais mal à la gorge au bout d’un moment. Ma petite camarade de jeu aussi. Mais on s’amusait bien, je ne pouvais pas le nier.

Le temps continuait de s’écouler, toujours trop lentement à mon goût. Mon répertoire de charades était rapidement arrivé à sec, idem pour les blagues ou autres devinettes. Au final, nous avons simplement continué de discuter de tout et de rien. De ce rêve, de la réalité, du décor, du bruit du vent, ce genre de choses sans importances… Et pendant que j’étais en train de parler de Ratus, mon petit rat qui s’était amusé à grignoter le câble de mon chargeur de téléphone, Agnès m’interrompit.
Je dois y aller. J’entends la voix de maman.
Tu dois déjà te lever ?
Oui, je me réveille toujours très tôt pour prendre un petit déjeuner et après je pars à l’étude du matin avant la classe.
Bizarrement, ça voulait dire que je n’allais pas tarder à me réveiller aussi. Et avant d’avoir eu le temps de temps de dire quoi que ce soit, Agnès avait disparu. Comme ça. Simplement. Comme si elle n’avait jamais existé. J’étais un peu triste de ne pas avoir eu le temps de lui dire au moins « au revoir ». Et je restais là, à tomber en chute libre, seule. Il ne restait plus que le bruit du vent dans mes oreilles. C’était un peu triste. Et c’est alors que j’entendis un bruit désagréable. Un bruit que je détestais. Un bruit strident qui me faisait mal aux oreilles.

J’éteignis le réveil d’un geste, puis me roula dans ma couverture. Je n’avais pas envie d’ouvrir les yeux et de sortir de mon lit. Je voulais juste y rester quelques minutes de plus. Et repartir dans ce rêve, ou ce cauchemar. Je ne savais pas trop comment le nommer, mais est-ce que cela était vraiment important ?
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