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martial m
essai de début dune nouvelle épopée dans un nouveau genre littéraire :l'érotique-fantasy... je sais pas trop encore... je voulais faire une histoire avec une princesse et des chevaliers... mais j'ai dérapé... pardon
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à lire d'une seul main...
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C'est l'histoire d'un mec, amoureux d'une fille qui est amoureuse d'un autre mec, et l'autre mec c'est le meilleur ami du mec. Mais l'autre mec il veut la larguer à cause que il doit devenir empereur et pour ça il doit pas se marier avec la fille, mais en fait c'est parce qu'il est pédalo et qu'il est amoureux du mec. Alors le mec (le premier) il se dit qu'il peut se taper la fille, mais la fille veut pas trop..... Alors il parlent tous vachement beaucoup, et il boivent aussi vachement beaucoup tellement ils sont tristes, et à la fin il se passe rien…
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la sagesse indéracinable de nos anciens, tous les jours de saint en sein...
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scenes de mœurs champêtres...
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tout est dans le titre... et même plus...
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Défi
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une maison de retraite en alpes suisses...
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Défi
martial m


Cramponné à ses hanches tel l’ivrogne épuisé à la rampe trop raide de l’interminable escalier, il farfouillait vainement depuis de longues minutes déjà, de sa queue raidie par la peur, le trou de ce cul offert si large aux délires de sa tête embuée. La lassitude de l’instant étendait perceptiblement ses ailes ouateuses d’ennui gluant sourd et étouffant. La pénombre visqueuse et moite de la trop petite pièce était à vomir. Tout en continuant lacement à piler de la merde de son casque percé rougeoyant douloureusement aux parois rugueuses du conduit, il se surpris à compter mentalement le nombre de mouches assoupies et hagardes comme lui qui sautillaient mollement de poses en poses aussi inutiles que stériles. La chaleur ambiante suffoquait depuis plusieurs jours les moindres recoins de la ville et les souffles rauques de la fenêtre ouverte ne parvenais qu’à faire transpirer le silence lisse et plat. Nul refuge, nul instant, rien de plus que les soupirs étirés brûlant d’un embarras sans fond où tout et tous sombrait comme la folie sourde s’empare de âmes inertes et avachies dans ce décors apocalyptique de vides décombres et de limpide décadence…
C’est alors que, par il ne savait quel miracle météorologique ou astrologique ou qu’importe, une infernale bouffé de vent glacial s’engouffra dans l’exiguïté de la pièce somnambule. Le claquement de mâchoire de la fenêtre qui venait de voler en éclats et de se répandre comme autant de perles de miroir dans l’air saturé et mou sembla annoncer l’aboutissement ultime et beau de son œuvre. Indignement surprises, les lèvres de l’anneau rectal où son vit sévissait s’ébrouèrent d’incontrôlables audaces , qui, on ne saurait le dire, cherchaient tour à tour soit à éjecter cette barre, soit à l’avaler toute entière ou encore à l’immobiliser dans de vaniteuses et loufoques poses de lutteurs romains suant et louchement virils.
Tout surpris par ces soudaines et incontrôlées vigueurs jointes aux glaciales morsures du vent froid qui tourbillonnait infernal la petite pièce, il s’accéléra sans même y avoir pensé. Les lames du défunt store se mirent à vrombir lugubres. Les mouches folles d’inédite rage heurtaient de mur en mur leur angoisseuse détresse. Ses oreilles palpitèrent de leurs bras de noyé dans dans l’air agonisant saturé d’électriques striures verticales qui tournaient et chaviraient à chaque instant dans des allures de naufrage. Les orteils de ses pieds s’écartelaient en de splendides éventails chinois et battaient et rebattaient le sol flasque qui semblait étrangement se solidifié sous lui, mais d’une solidité de glace antique que nul soleil n’avait encore percé. Puis, soudain comme l’éclair, ce sol de marbre veineux et gonflé comme lui du sang fou circulant en tornades pointues dans les canaux en feu de son cerveau tout prêt d’éclater en une ultime explosion qui donnerait enfin à sa tête les dimensions de l’univers, ce sol qui depuis un instant semblait perdre ses allures de polaire banquise, ce sol si soudain et si froid, dur, bouillant, volcanique, criant et hurlant comme du cristal et suppliant d’audacieuses densités comme un météore filant à la vitesse du cheval au galop, ce sol impatient de tant de troubles impatient et troublé de son impatience bruyante, ce sol céda, se liquéfia brusquement et l’univers tout entier chavira pour tout entier sombrer dans ce subit océan de tendresse et de détresse mêlé aux relents flasques de sa sauce prête à jaillir. Ses yeux gonflaient ses orbites de flammes. Ses ongles entraient si fort dans la chair que le sang jailli et précipita les assauts des mouches excitées sur ce corps moite et tendu vers l’ultime résolution de cet amour tectonique aux allures impatientes de catastrophe. Alors, s’abandonnant au naufrage de ce monde, il lâcha les voluptueuses saccades de l’irruption de son gland aux profondeurs grotesques de ce ventre ouvert et chaud comme celui de la terre où l’on entasse pêle-mêle les cadavres et les pleurs, les rires et les souvenirs, les espoirs et les peurs et touts les herbiers d’improbable désir palpitant comme des soleils à la nuit éteinte de ses ténèbres.
Il rempli si bien ce ventre de ces instants si précieux, que, bientôt, tout le jus de ses couilles fini par jaillir abondant aux narines dilatées de son hôte. C’est alors qu’il se rappela désagréablement en lui même ces moment où les plaisirs les plus purs nous astreigne avec l’évidence et l’obligeance d’une loi divine à nous plier aux règles jointes de l’hygiène et de l’amabilité qui nous commandent de trouver dans les suites immédiates antérieures à l’accouplement, un moyen de s’essuyer.
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Défi
martial m
une lettre
la fin d'une histoire... peut etre le debut de la notre
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martial m

philipe solers est un trés grand lecteur, il a beaucoup lu, beaucoup de livres, il site beaucoup de livre : les siens....
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