Une petite histoire porter sur un jeune adolescent critiquer battue par ces proches a cause de sa différence.

J'ai essayer de faire un poème a ma manière, basé sur la différence ainsi que la déception.

Je ferme les yeux tout en prenant une grande inspiration. Il fait froid, un frisson me parcourut le long de mon dos et descendit jusqu'à mes ppoignet. La nuit est tomber depuis un petit moment je ne saurais dire qu'elle heure il est, tous se que je peux te dire, c'est que le ciel est vraiment magnifique, il est bleu nuit avec des touche de blanc quand les nuages passe devant la lune. Elle est vraiment magnifique cette lune entouré de ces milliers d'étoiles. Moi aussi j'aimerais être entouré de mes étoiles. Même si je suis bien conscient que c'est impossible. Alors chaque jour je me lève, je me prépare faisant semblant de ne pas entendre les pleures de ma mère. Et je part en cours, même si ça ne m'intéresse plus. Il n'y a plus rien qui ne m'intéresse désormais seul un vide obscure règne en moi. Quand vint le moment de manger je me force pour éviter de paraître trop maigre, mais chaque boucher que j'avale est un supplice, cela m'écoeur, manger me rend malade, pourtant avant j'aimais bien, enfin il me semble que j'aimais bien ça. Quand je rentre chez moi après les cours je vais directement dans ma chambre, j'essaye dignoré les remarque de mon père. Il m'inulte, me dis que je ne suis qu'un bon a rien, que je suis une erreur que je devrais disparaître. Je ne réplique pas, je ne me sent pas plus triste non plus, parce que je sais qu'il a raison. Maman elle ne dis rien, au début elle lui disait de ne pas me dire ça, mais plus le temps passe moins elle prend ma defense, je ne lui en veux pas, elle aussi elle devrais être en colère contre moi, d'ailleurs je suis sûr que ces le cas, mais elle ne le montre pas. Un soir papa devais acoir soif car il avait vider toute les bouteilles d'alcool, quand je suis rentrer il ma demander si j'en voulais une, je lui ai dis que non alors il c'est enerver, il a commencer par lever la voix, puis il a lever sa main et il l'a abbattu sur moi. Il enchainer les coups tout en hurlant.
-Elle ne sont pas bonne mes bouteilles ? Sale merdeux, c'est toi qui aurais du crever ce jour là, tu n'est qu'un bon a rien.
Je ne dis rien et je me laissa faire parce que, il avait raison. C'est moi qui aurait du mourir ce soir là. C'était mon idée de sortir tard le soir avec mon frère et des amis. Je voulais juste fêter son anniversaire comm il se devait, mais tout a dérapper quand vint le moment de rentrer. Un ami qui n'avais pas bue une goutte d'alcool a pris le volant, et une voiture en sens inverse a fais je ne sais quoi et nous a foncer dessus