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Ayato Yamada

Ayato Yamada
Petit à petit mes souvenirs se sont effacés, pour y laisser un grand vide en moi. Mais au fur et à mesure que nous avançons j’apprend de nouveau à ressentir, à me souvenirs de mon passée, à me souvenir des douleurs que j’ai subi. Des épreuves que j’ai endurées, d’une réalité qui peut être bien plus sombre que ce que je pouvais imaginer.

(Ce roman est en cours de modification)
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Ayato Yamada
Des rêves, des cauchemars, ce genre de choses que l'on veux garder pour soi, que l'on veut y être indéfiniment, que l'on veut partir dès que l'on ferme les yeux.
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Ayato Yamada
Alyson, une jeune femme de 20 ans doit garder son secret bien cachée, mais plus le temps passe, plus ses colocataires se posent des questions sur ses absences fréquentes. L'un d'eux, Antonin s'approche petit à petit de la vérité et du secret qu'elle cache.
Le piège va rapidement se refermer sur Alyson. Est-ce qu'elle arrivera à rester sous son masque pour que son secret reste enfouit ?

/!\ Certain passage peuvent être violent

en cours de réécriture, y compris au niveau des temps utiliser.
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Défi
Ayato Yamada
Je vous raconte mon histoire, du début jusqu'à la fin.
Pourquoi c'est tombé sur moi ? Je me pose encore aujourd'hui cette question mais aussi
Pourquoi ne pas avoir continuer à être comme j'étais ?

Je vous conte mon expérience... spécial.

Moi, en tant que femme se nommant Arleen, 23 ans je vous propose une partie de ma vie
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Défi
Ayato Yamada
Les différents points de tristesses ; rupture, perte d'un membre de famille, perte d'un ami, les regrets, les abandons.
Au fur à mesure des semaines des textes apparaissent pour exprimé les larmes qui roulent en silence sur mes joues, le sourire que je perds pendant la journée.
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Défi
Ayato Yamada

Une tristesse incompréhensible, je suis désespéré, des larmes coulent sur mes joues, une peur immense et mon cœur se serre à l'idée de la revoir. Je descends souvent devant chez elle à vélo, en ayant aucun courage de sonner et de lui dire que je l'aime. Pourtant, pendant un mois j'ai tout fais pour elle. Tous les jours je la voyais, son visage rayonnant, ses yeux verts qui me glaçaient le sang quand elle me regardait avec noirceur, mais son regard ne changeait jamais. Ses prunelles aussi sombres que la nuit et pourtant quand je la voyait s'approcher vers moi, je discernais quelques étoiles qui brillaient qu'une intensité éblouissante.
Je voulais rester près d'elle mais une fois le mois terminé, elle voulait m'avouer ses sentiments envers moi; Elle qui m'avait cherché chez moi alors que j'étais encore en caleçon en train de jouer aux jeux-vidéos, je m'étais précipité en m'habillant, j'étais loin de ce qui pourrait être acceptable, mais tant pis. Elle était devant chez moi, attendant devant ma porte. Après m'être présenter dans un état lamentable, marcher quelques minutes dans la rue ensoleillé j'ai fait une erreur en lui disant que je voulais rentrer, NON ! Ce n'était pas mon erreur, mon cousin était avec moi. Je voyais dans ses yeux magnifique qu'elle voulait m'embrasser. Je me retenais de la prendre par la taille et passer des heures à l'admirer, lui donner des baisers, découvrir son corps caché systématiquement sous ses vêtements. Mais mon cousin, ce démon a anéanti tout mes désir, c'est lui qui à mis fin à ce rêves et lui qui à installer un cauchemar.
Quand j'étais partis de mon côté de sentais son regard se fixée sur moi, se remplir de larmes, et depuis, elle m'avait déposer quelques lettres pour me dire qu'elle me désirais jusqu'au fond de son âme, maintenant tous remplit de larmes.
Maintenant que je la revoie dans le bus, elle me regarde constamment, et quand elle passe devant moi pour descendre je suis hypnotiser, son regard noir, n'est remplit que de tristesse à cause de moi, NON ! J'ai dis que ce n'était pas de ma faute mais de celui de mon cousin, cependant je ne peux m'empêcher de me dire que c'est de ma faute que mon cœur est aussi déchirée autant que le sien. Qu'elle pleure chaque soir retenant son cœur de lui anéantir toute sa poitrine.
Les jours passe, toujours en compagnie de mon chagrin, et voilà le moment que je redoutais et à la fois espérait de tout mon âme, elle avait été forcé à se mettre près de moi. Moi qui m’agrippai tant bien que mal aux vieux tuyaux jaunes, pour me retenir de tomber sur les autre. Elle juste derrière moi ; Je sentais son parfum qui me rendait fou, sa chaleur qui me faisait rougir jusqu’à la dernière seconde qu'elle soit près de moi. Et voilà le moment que je redoutait, un ami à moi se rend compte que nous sommes tout deux côte à côte et fait cette réflexion que je regrettais à l'instant où il avait fini son dernier mot.
 – Hey, Dimitri, tu sais qu'elle est juste à côté. Dit-il en lui jetant un coup d’œil rapide, je pensais qu'il se rendrait compte plus tôt mais visiblement pendant un moment au lieu de la déesse qui était près de moi, se trouver un miroir de vide.
Je voulais lui dire tant de choses, l'enlacée avec passion, mais en aucun cas l’interrompre dans ses pensée le matin là. Elle et ses écouteurs, musique peut être à fond pour ne rien entendre, mon ami me lance un sourie qui veut clairement me dire que je dois tout faire pour la garder près de moi et la protéger, comme un verre en cristal, une pierre précieuse qui risque de s'écraser au sol.
Je lui répondis en baissant les yeux, signifiant que je n'est plus aucune chance. Que je laisse ce verre se briser, qui sûrement rattraper par quelque d'autre, qui l'aimera d’avantage que moi.
 – Elia, t'a vu il y a Dimitri. Tout en faisant son beau en bombant le torse, l'air fière de son acte, qui n'était qu'une succession d'erreur, elle répondit sèchement en le fixant, le regard noir méprisant.
 – Je sais. Les seuls et uniques mots qui était sortit de sa bouche, sa voix me provoqua un frémissement de plaisir. Cela faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas entendu. Or ces mots ne m'était pas destiner je voudrais l'entendre chaque jours, chaque minutes de ma vie, jusqu’à que mon plaisir s’estompe.
Mais hélas ceci est la réalité et ce que je pense n'est qu'un rêve qui me revient chaque soir, qui me torture, qui me fait verser des centaines de larmes coulant en abondances sur mes joues.
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Ayato Yamada
Une petite créature qui voit des millions de choses dans le monde.

Dans ce temps indéterminée, il cherche quelques choses qu'il ne sais pas lui même, mais un jour alors qu'il chasse pour succomber à sa faim, il trouve enfin, il a les réponses à ses questions étant petit.
Cet événement va bouleverser sa vie, peut être même sera-t-elle la dernière chance qu'il aura de renaître de ses cendres.
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Ayato Yamada

Tout à cause de toi, jamais tu ne m'as aimé, jamais je n'ai voulu que tu sois ma mère, et jamais je n'ai demander à naître, tu ma dis fait plusieurs fois comprendre que tu voulais que je partes, au point de me frapper. C'est bien dommage pour toi que je sois encore mineur et que mon père soit là, pour me retenir de mettre son visage en sang, tu m'as punis de ma liberté, tu m'as punis en me frappant. A cause de toi j'ai été longtemps seule, dans la cour de récréation, à regarder mes camarades, jouer au foot, voire des sourires sur leurs visages. Moi exilé, je rêvais d'être à leur place et t'oublier dire que j'ai une mère qui m'aime, qui ne me frappe pas au point que sa propre enfant saigne et se réfugie dans le fond du jardin, camouflé parmi les arbres morts.
Heureusement qu'il y a mon père qui n'est presque plus présent, souvent partit en déplacement, ou peut être qu'il soit avec une femme qu'il l'aime tel qu'il est, qui ne la juge pas parce qu'elle m’engueule pas son enfant, qu'il ne la frappe pas, mais au contraire essaye de la réconforté.
Depuis des années je suis confronté à tes désir violent, quand je me contrôle de ne pas me réfugier dans ma chambre en frappant tout objet que je trouve sur mon chemin, que tu me prends pour un simple bétail, qui n'a pas besoin d'avoir une mère qu'il l'aime qui ne lui prépare aucun repas, mais au contraire dès que j'avais eu la capacité à avoir la taille suffisante pour dépasser le four et les plaques, je devais me faire à manger, enfin plutôt, Te faire à manger et prendre ce qu'il restait pour ne pas m'affamer.
Je ne t'ai jamais aimé, le premier jour ou j'ai sentis ta main se rapprocher violemment de ma joue droite, je me suis aperçu que même si tu as eu mes deux sœurs avant moi, tu n'as jamais aimé tes enfants et tu les élevée, comme la tienne, c'est ce que tu raconte mais je pense que chaque jour de ta vie tu n'a pas eu de bleu sur le corps, de sang qui coulais jusqu’à tes jambes, que toutes tes blessures que tu as soit disant eu n'ont aucune cicatrice sur ton corps. Et bien moi OUI ! je garde des cicatrice sur le corps mais également sur le cœur, en me disant que je n'aurais jamais de mère qui m'aime, que jamais je n'aurais autant de complicité que je vois en regardant mes amis avec leurs parents, non moi je dois m'enlever de la tête ces rêves que j'ai longtemps espéré, mais cela fait bien des années que je voulais y croire, que certaine nuits des larmes coulais par la douleurs de mes plais mais aussi car tu ne seras jamais ce rêve.
Je veux partir, je ne veux plus te voir, quitte à me ôter la vie je veux que tu sois un terrible cauchemar qui s’efface de ma tête petit à petit que je suis loin de toi.

Une enfant qui n'a pas de maternel qui l'aime.
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Ayato Yamada
Il y a surement beaucoup de fautes, beaucoup de chose qu n'ont pas forcément de sens, mais t'en pis je l'ai écris sur le tas. J'avais besoin de l'écrire et je me suis dis : Pourquoi ne pas la partagé ?
Si vous ne comprenez pas tout, alors dite-le. Peut être que seulement 3 personne lirons ce texte ou tombera dans l'oublie, personne de le sais.
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