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Mijak

Clermont-Ferrand.
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Défi
Mijak
Je profite de cette réponse au défi pour étoffer le lore de mon univers fictif de Panium ^^
Ici il sera donc question d'un journal tenu par un soldat Tèque, les premiers mois de la Guerre des Anciens Royaumes, après l'invasion des Garde-morts au nord-est de Kerk.
Je vais essayer de continuer ça dans les jours à venir, comme la consigne le demande :p
Je ne peux, par contre, pas vraiment dater le journal comme IRL, vu que le calendrier n'est pas le même :/
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Mijak
Une nouvelle de SF planifiée et structurée d'avance, en 5 chapitres, dans l'optique d'un appel à texte (edit : en fait elle sera trop longue donc osef), ainsi qu'un prétexte pour tester l'efficacité de Bibisco dans le développement imaginaire d'un projet d'écriture. N'hésitez donc pas à apporter des suggestions de corrections, s'il vous en vient en cours de lecture. La suite arrivera progressivement.

L'idée, donc :

Dans le futur, l'apparition d'un homme surgi du passé va amener deux enquêteurs à découvrir le projet scientifique d'une communauté qui a vécu des siècles en marge du temps.
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Défi
Mijak
Réponse au défi "Cliché" où il fallait bourrer un MAX de clichés en restant dans un style correct. Alors, bon, ce n'est pas "décalé", d'ailleurs le défi est particulier ; les clichés n'étant pas une tare, mais étant surtout révélés par un certain style, déjà à la base. Du coup ce style est présent, j'avais l'impression d'être un ado en train d'écrire, et souvent c'était même reposant, car plusieurs détails de cohérence ou de réalismes passent aussi à la trappe, justement, pour favoriser le cliché.

Du coup vous l'aurez compris : c'est un texte hyper cliché, je ne vais pas les énumérer mais c'est les personnages, l'intrigue, la mise en scène, les dialogues... Je pensais faire ça en 3 ou 4 pages, au final bon, ça a été un peu plus long et j'y ai passé deux jours. On a du young-adult à plus savoir qu'en foutre.
Je remercie une amie pour avoir emprunté son personnage que j'ai clichéisé, désolé. Mais, comme j'ai dis, elle est badass, alors ça va.

L'histoire donc : c'est celle de Vincent, un adolescent qui a vu toute sa famille se faire assassiner une nuit par un groupe d'assassins. Recueilli par une bande agissant dans l'ombre, il va apprendre à se défendre et fomenter sa vengeance à venir... Twists et émotions fortes à venir !
likez et mettez des coms bisous !
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Défi
Mijak

1. Si tu cuisines de la choucroute chaque jour, ta choucroute s'améliorera chaque jour.

2. Ce qui est ennuyeux pour tes lecteurs, c'est quand tu écris.

3. Établis une poutine et mange-là.
4. La poutine n'a pas à rimer. Le cassoulet, si.
5. Résistes aux méchants et combat la monarchie.

6. Si tu es convoqué au Pôle Emploi, offre-leur une choucroute.
23. Fais des listes, lave-toi les mains, range ta chambre, ne sors jamais sans ton écharpe.
59. La morale est un concept surfait. Apprend à t'en défaire. Le cas échéant, bois ton chocolat chaud.

95. Écraser ses ennemis, les voir mourir devant soi, et entendre les lamentations de leurs femmes.
6,626 069 57×10-34. Mange des champignons, grimpe aux arbres et promène toi tout nu, puis trempe ta plume dans une mare de sang.
2 + 2 = 4. Jette ta télévision, cuisine ton patron, assassine tes amis et brûle ta maison, ainsi te sera révélée la puissance du Soleil qui luit dans les abîmes aux reflets chatoyants, où résonnent les échos des puissances cosmiques qui jettent sur l'humain un regard compatissant en mangeant des chips.

42. Relie tous les point numérotés de 1 à + l'infini

¢. Apprend à écouter la voix qui te parle dans la nuit et à l'accepter comme ton égale, car elle aussi à droit à ton respect.
?. Laisse moi tranquille et va jouer dehors.

¬. Fais ce que voudras.
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Mijak
Réô,se ai féo 'aveigme pi spirf" Pi k'ao écrot i, texte emes uieix ferùés/ Et ma ^rése,tatop, aisso; ùa,ofesteùe,t:
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Mijak
Réponse au défi "Retour en enfance", où il est question de réécrire un texte ancien dans notre style actuel.

Donc un texte originalement écrit (selon les métadonnées du fichier .doc) en 2001 (ou bien, selon mes souvenirs, 1999 et numérisation en 2001), donc quand j'avais 13 ans (ou 11).

Il s'agit de l'histoire d'un garçon qui trouve une épée dans un arbre étrange, et du début de son aventure. (Oui il n'y a jamais eu que le début)

Vu que Scribay ne permet pas les sous-chapitres, la version originale est en bloc dans un premier chapitre, le remake est dans un second, plus long.
(edit : Vu que j'ai DÉCOUVERT l'organisation en parties, j'ai distingué les deux versions ainsi :p)
La version originale n'est - évidemment - pas faite pour être corrigée. En revanche, si il y a des remarques sur la version remake...
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Mon texte sur le défi "avoir les crocs (1ere partie)", ou il est question d'une drogue puissante.
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Réponse au défi "Mort annoncée". Oui j'avoue, je ne me suis pas foulé. Mais bon, c'est marrant aussi comme ça, les défis :)
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Mijak
J'ai essayé d'être réaliste.
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Mijak
Hommage plus ou moins véridique envers un être important.
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Mijak


Je sens la rage infuser en moi tandis que je fixe les barreaux de l’étroite ouverture qui file plusieurs kilomètres à travers le sol vers la surface, pour m’offrir la seule source de chaleur dans cette cellule.
Jiggha. Je n’ai été qu’un pantin à sa solde durant ces derniers mois où j’ai bossé pour lui. Il m’a fait croire à une réelle complicité, une association bénéfique pour nous deux, et voilà qu’à la place d’une fortune partagée, il empoche le résultat de nos efforts tandis que je croupis dans cette prison souterraine au fin fond d’une galaxie miteuse.
Dans quelque temps la nuit tombera, et je me prends une dernière fois à ressasser les souvenirs du moment où ils sont venus pour m’arrêter. Il a feint la surprise et l’impuissance face à mon arrestation, l’odieux bâtard. Il les a regardés m’emmener tandis qu’il tenait encore la queue de billard avec laquelle il avait empoché la mise de sa victoire. J’ai eu envie de lui hurler d’intervenir, de fracasser leurs crânes, mais j’ai vu ce qui se dissimulait derrière son visage. J’ai compris pourquoi il ne bougeait pas. Je lui ai jeté un sourire mauvais, en secouant la tête, hurlant ma promesse de le retrouver. Mais il a continué à protester avec véhémence, inutilement, ridiculement.
Le gong retentit. Je quitte avec rétiscence ma cellule par l’ouverture creusée dans le mur et rejoint la grande pièce principale, avec les autres prisonniers. Je regarde le gouffre devant nous ; chaque soir c’est la même routine, mais cette fois, ce sera mois qui tomberai. Je me rappelle soudain une sensation de mon enfance, sur la côte de la mer Kichari, en haut de cette falaise qui surplombait l’étendue argentée. Je me souviens de la sensation de puissance, et la peur du moindre pas, de l’impulsion qui pouvait me faire périr à tout moment. Mais à la fois, cette hauteur, ce surplomb sur le royaume des Océïdes. La sensation d’être tout-puissant.
La mer était un miroir pour l’infini rouge qu’était le ciel de la planète Kariba. C’était durant ces contemplations que j’avais pour la première fois, enfant, eu le désir de voyager au-delà du ciel.
De retour au présent. Le gouffre noir plonge dans les entrailles de Namirun, où est localisé le pénitencier.
— Qui, ce soir, offrira à Namirun le don de sa vie en échange de la survie de tous ses frères ?
La voix résonne dans les cavernes immenses creusées sous la surface invivable de ce monde oublié. Je fais un pas en avant vers le bord de l’abysse.
— Je propose l’offrande de mon corps à la déesse, Sentinelle.
— Prisonnier Kéthanon, acceptez-vous la fusion corale de votre être à sa Grandeur Majestueuse, pour le salut de vos frères ?
— Je me soumets volontiers à Sa faim dévorante et accepte le repos éternel.
— Ainsi soit-il.
La voix se tait et je garde mon regard fixé vers l’abysse. Ce soir, il n’y aura pas de drames, pas de combat acharné, de luttes pour la survie. Les prisonniers soufflent, je sens une main compatissante se poser sur mon épaule. Les pas s’éloignent et tous retrouvent leur cellule, près de l’ouverture minuscule qui dispense la maigre chaleur rémanente d’un soleil qui tout le jour a incendié la surface de Namirun.
Désormais seul, le cœur battant, je ferme les yeux et dis adieu à cet enfer misérable.
Le vide défile autour de moi alors que je tombe. La chute semble durer éternellement, et je me prends à douter de ma décision. Voilà que je regrette, même. Non, je ne peux pas paniquer. Je ne dois pas. Je dois être fort.
J’ai désormais atteint la limite de ma vitesse de chute. Droit comme un piquet, j’active le dispositif. Les picotements parcourent mon épiderme, j’entends des claquements d’arcs électriques. Et si ça ne fonctionnait pas ? Mon imagination me fait déjà ressentir la chaleur du cœur de Namirun. Mais c’est impossible.
Et puis soudain, tout mon corps se contracte, saisi par une tension électrique immense. Mon cœur manque de se crisper lui aussi, je le sens se serrer dans ma poitrine. Je hurle.
Et puis tout s’interrompt. Bourdonnement d’un réacteur ; un son familier. Je reprends une respiration que j’avais bloquée sans m’en rendre compte. Je reconnais autour de moi le décor métallique courbé et inutilement alambiqué d’un vaisseau Sintronide.
— J’ai mis les gaz. La Sentinelle doit déjà avoir repéré la téléportation. Content que ce vieux modèle électrique ait fonctionné.
Je lève les yeux et sourit à mon compagnon synthétique. Je saisis la main qu’il me tend et le suis vers le cockpit. Il est temps de recommencer à penser à Jiggha.
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