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Loïc Chapelle

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Œuvres

Défi
Loïc Chapelle

Ce fût un soir d'Halloween, nous étions partis au Japon pour se donner une bonnde dose de frisson en allant la nuit d'Halloween a la forêt d'Aokigahara.
La journée se déroula paisiblement , nous avions été acheter une table de Ouija a une boutique du coin en s'étonnant de la facilité avec laquelle nous pouvions trouver ce genre de chose.
A côté de cela nous avions également acheté un corbeau vivant, un rat, quelques bougies noires, un couteau sacrificiel ainsi qu'une craie blanche afin de faire un rite sacrificiel sans savoir réellement comment nous y prendre ni les dangers qui pouvaient nous attendre en faisant cela.
Notre seul but à ce moment ? Se faire peur !

Le soir tomba et avant de se déplacer jusqu'à la forêt nous décidions d'aller au cimetière de Koyasan aux environs de 19h. Le cimetière était relativement vide et nous avançames à l'intérieur. Au pied d'une tombe reculée nous décidames de nous arrêter et de sortir la planche de Ouija afin de discuter avec les morts.
Nous étions 4 et commençàmes à faire le petit rituel avant d'entrer en communication.
L'ambiance était lugubre, l'air était humide, il faisait sombre et un petit vent frais commença a se faire sentir.
Il n'y avait aucun bruit aux alentours ce qui nous metta dans une ambiance vraiment glaciale. Nous avions peur mais en même temps c'était un peu le but recherché en faisant cela.
Nous avions tout les 4 notre doigt posé sur la goutte quand je posa la question ultime qui sera le début d'une soirée vraiment flippante.

-"Esprit, esprit, es-tu là?"

Rien d'autre qu'un vent glacial qui devint de plus en plus violent se fît entendre.
Je recommença une nouvelle fois tout en me disant que si cette fois-ci il ne se passait rien nous prendrions la décion de partir pour la forêt afin de ne pas arriver trop tard. Il y avait quand même 6h de route pour y arriver.

-"Esprit, esprit, es-tu là?" répétais-je.

A ce moment précis la goutte se déplaca et alla se positionner sur le "Oui".
Forcément on ne voulait pas y croire et tout le monde dans notre groupe pensa que c'était l'un d'entre nous qui bougeait son doigt. Mais pour le fun on a voulu continuer, le but n'était pas de prouver que le paranormal existait mais juste de se donner une bonne dose de frisson.

-"Qui es-tu?"

Et la la goutte se déplace pour écrire : "Anata no saiaku no akumu" qui signifie votre pire cauchemar.
Au même instant nous entendîmes un cri strident, la tombe sur laquelle nous nous étions installés se fissura et un rire démoniaque se fît entendre. Là, ni une ni deux, nous prîrent toute nos affaires et courûrent à travers le cimetière pour rejoindre la voiture. La brume c'était levée , le vent nous brulait le visage et nous sentîrent commes des minis coupures sur les zones de notre corps qui n'était pas couvertes.
Une fois que nous vîrent la sortie du cimetière nous coururent encore plus vite afin de sortir de cet enfer.

Nous rentrâmes enfin dans la voiture après 5minutes de course effrénée qui nous a semblé être des heures. Nous reprîrent notre souffle et je démarra la voiture sans dire un mot.
Nous étions soulagé car la brûme était redescendu et nous pensâmes donc que cette chose ne nous avait pas suivi.
Nous prîrent la route de la forêt d'Aokigahara sans même le savoir. C'était comme si mon esprit voulait aller là bas. Je ne connaissais pas la route mais pourtant je n'avais pas besoin de me servir de GPS.
Au bout de 400km nous commencèrent a voir des ombres sur le bord de la route. Il nous restait que 30km avant d'arriver a la forêt et plus nous approchions plus les ombres se firent menacantes. Une fois arrivés nous descendirent et comme par reflex nous prirent les sacs contenant les matériaux nécessaire pour le rite sacrificiel.
Nous avançèrent dans la forêt jusqu'à s'éloigner des sentiers.
La forêt était très sombre on n'y voyait pas a un mètre et pourtant a aucun moment notre corps voulût faire demi-tour. C'était comme si nous étions attirés par la forêt.

Au bout de 30minutes de marche hors des sentiers nous nous arrêtames et installèrent les objets. Je pris la craie et dessina un pentacle sur le sol qui bizarrement était totalement sec malgré une fine pluie qui nous fouettait le vioutesage. Nous posèrent les bougies à chaque branche du pentacle et les allumèrent. Je pris le rat et passa le couteau sacrificiel dans la longueur puis vida son sang sur le pentacle. Dès que la sang coula sur les traits du pentacle il s'évapora et la brume s'écarta du pentacle. Les traits blancs devinrent rouge et de la chaleur émana du pentacle.

Je pris le corbeau encore vivant et lui coupa la tête puis le lança au milieu du pentacle tout en formulant des chants sacrificiels et appelant les démons a venir a nous.
Le corps du corbeau s'enflamma dès qu'il toucha le sol et les flammes se levèrent d'un coup . Au coeur des flammes nous virent une tête qui ne ressemblait a rien d'humain et qui possèdait des cornes.

Juste après cette vision nous quatres tombirent dans les pommes.

Le lendemain matin nous ouvrirent les yeux puis tout nous revint en tête. Dans la panique nous laissâmes nos affaires dans la forêt et nous coururent sans nous arrêter jusquà retrouver le sentier. Nous marchàmes sur le sentier jusqu'à notre voiture et repartirent directement à notre hôtel.

Depuis ce jour plus rien ne se passa ou en tout cas plus rien dont nous nous souvenons. Car effectivement cela nous arrive d'avoir des blackout de quelques heures encore aujourd'hui sans même savoir pourquoi. Les examens médicaux ne montrent rien d'anormal. Espèrons juste que nosu ne faisons pas de mal a de tierces personnes ou que nous ne faisons pas venir les démons sur Terre sans limite.
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Loïc Chapelle

En l'an 924, en Norvège, dans le village de Njardarheim, se trouve le jarl Ruaidrí et son fils, Merkis.
Comme tout les jours, le jarl est grandement occupé et prépare un assaut dans une contrée voisine afin d'agrandir son armée. Son fils lui, restera chez lui afin de ne pas faire honte à son père.
Effectivement , Merkis ne sait ni manier l'épée, ni la hache. Comment peut-il se montrer en public alors même que son père est le plus grand guerrier viking de la région ?
Il vit dans l'ombre de son père depuis sa tendre enfance. Depuis que sa mère les a quitté il n'a plus aucune joie de vivre et voit son père ammener des femmes différentes fréquemment pour assouvir ses désirs.
Sa mère est morte lors d'une tentative d'assault de leur village.
A l'époque, Ruaidrí commençait à peine a construire sa renommée et il se faisait donc beaucoup d'ennemi. Sa femme, Ilda, a donc été faite prisonnière et était torturée afin que Ruaidrí finisse par plier aux désirs de ses ennemis. Ilda, elle, ne voulait pas de cela et a décider, un soir ou tout était calme, de se faufiler jusqu'à la porte pour appeler ses ravisseurs, en assomer un afin de piquer sa hache et sachant qu'elle n'avait aucun espoir de survie elle se la planta pour mettre fin à ses jours.
Entre temps elle avait réussi à corrompre un de ses ravisseurs afin qu'il aille apporter la nouvelle a Ruaidrí pour qu'il soit au courant le plus rapidement possible et qu'il ne cède pas aux attentes de ses ennemis.
Tout viking digne de ce nom aurait chercher à se venger et c'est exactement ce que Ruaidrí fît. Il les traqua villageaprès village jusqu'à les avoir tous tuer. En revanche, Merkis lui, se renferma et se rapprocha des différents animaux qui l'entourait. Un loup l'accompagnait partout ou il allait et les corbeaux étaient ses meilleurs amis.
Une fois ne fût pas coutûme, lorsque son père fût sorti, Merkis se faufila par l'entrée de derrière et courût dans la forêt la ou le calme l'apaisa de tout ce raffût que le village apportait.
La journée se déroula plutôt paisiblement, sa petite routine se passa à merveille et il décida de rentrer une fois que la lune commença à se lever afin de manger et aller se coucher.
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