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Cuando la vida se s'apague
La muerte vendra
Cuando la muerte venga
La tierra se derrumbe
La hulanidad desaparecera
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Défi
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Ce jour où tout a basculé, cet escalier venait de l'enfer. Je devais rejoindre, l'amour de ma vie au sommet de ses escaliers. Je montais avec difficulté ses maudits escaliers. Je n'avais pas le choix de courir, sinon elle ne pourait plus être au sommet à m'attendre. Arriver enfin à ce sommet, je l'as vis au loin ! Je l'appelais désespérément en espérant, qu'elle se tourne vers moi ! Mais beaucoup trop tard, elle disparaisser dans l'obscurité. Je vis là ou elle descendit, au troisième. Je n'avais guère le choix de redescendre à vive allure. Epuiser de la descente, arriver à l'étage elle n'y était plus. L'ascenceur indiquait maintenant, le dernier étage ! Je décidais de remonter au sommet et enfin l'a retrouvé.
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Bonjour à vous cher lecteur, ce que je vais vous conter est une veieille histoire du passé.
D’un passé loin très loin derrière moi, dont je peux avancer. Je vis enfin après toutes ses années ! Bref, voici l’histoire, tout d’abord commençons par le début.
Nous sommes le 05 du mois de juillet de l’année 2007, je n’étais qu’un enfant innocent et timide. J’avoue quand ce temps, je n’étais pas très ouvert. J’étais même renfermé sur moi-même. Ce jour-là, mon père devait m’accompagner au forum non loin de chez moi. Disons qu’il était en face de chez moi, je le voyais depuis mon balcon.
Il était vers les coups de huit heures du matin, quand je me levais pour mon premier jour. J’avais la boule au ventre ! J’aillais à la rencontre de jeunes de mon âge.
Ma mère était déjà debout, elle me préparait mon petit-déjeuner, de simples céréales avec du lait et un verre de jus de fruit.
Je voyais l’horloge tourner et le stress monter. Ma mère me disait, d’aller me préparer et que tout ce passerai bien.
Vers les alentour de huit heures et trente minutes, je finissais de me préparer. Puis les aiguilles continuaient à tourner, jusqu’à arriver à huit heures et cinquante minutes.
Je passais là porte, tout en faisant un signe d’aurevoir à ma mère et en lui disant à ce soir.
Ce que je ne savais pas, ce jour là que c’était le début d’une fin. Mon père et moi arrivions au passage piéton prêt à aller de l’autre côté. Ma boule au ventre, ne cessait d’augmenter. Je n’arrivais pas à l’éliminer, cette sensation était atroce. Arriver au forum à neuf heures, mon père me laissa au main de la directrice.
La directrice me pris la main et m’emmène dans le hôle de la cafétéria ou se trouver mes futurs camarades. Elle me laissa à son tour au main de l’animateur du centre.
Il me demande d’aller m’assoir avec les autres. Quand j’arrivais, à une table ou se trouver un groupe de jeune plus âgé. Je ne fais guère attention, de prime abord. Je peux l’avouer, j’étais assez nerveux ! Cependant, je voulais m’intégrer à un groupe et me faire des amis. Quand soudain, un parfum me chatouiller les narines ! Une odeur de rose fraichement couper à la rosée du matin. Je ne compris pas, ce qu’il m’arrivait, mon cœur battait rapidement. Je ne sentais plus, cette boule au ventre, du moins différemment. Puis une voie apparait, t’elle un ange.
- Bonjour mon petit bonhomme, tu as l’air fragiliser comme du verre. J’ai bien l’impression, que tu hésites. N’hésite pas à ouvrir ton cœur, tu pourrais trouver le bonheur. Je m’appelle Annya et toi comment t’appelles-tu ?
Sa voie me transcende dans tout le corps, une fille plus âgé s’intéresse à moi. Comment cela se peut-il ? Pourquoi ? Annya se mis m’a hauteur et me dis :
- Qu’est ce qui ne vas pas ? Je ne mords pas, tu as du travaille à faire. Aller n’est pas peur, je ne te ferai aucun mal. Je suis là pour t’aider, à avancer.
Tout ces phrases m’apaisaient, donner confiance en moi ! En revanche les sensation, que j’ai en sa présence, était toujours présente et m’étais inconnue. Mais, j’arrivais à lui parler finalement :
- Euh, bonjour je m’appel euh Quenton, euh qu’est ce que tu euh me veux ?
- C’est un joli prénom Quenton, je voudrais que tu reste à mes côtés. Je t’aiderais à vaincre ses angoisses et à te présenter mes amis. En espérant, qu’ils seront les tient.
Elle me prit par la main, et m’emmenait à leur table. Je ne pourrais pas vous dire leurs prénom, celle qui m’a marqué le plus c’est elle. La journée est finie, je rentrais à la maison. J’ai tout raconté à mes parents, je me souviens que ma mère m’avait dit ce que je ressentais est l’amour.
Passons à la semaine suivante, j’étais comblé par la présence d’Annya. Elle prenait soin de moi, me réconforter quand je n’étais pas bien. Elle m’aida, comme elle le disait à avancer. Je me fis des amis, je la considérais comme une grande sœur. Même plus, je l’aimais de tout mon cœur. Ce que je me souvenais le plus, c’était son parfum hypnotique. Elle sentait tellement bon.
Mais le rêve, était disons de courte durée, son vrai visage prenez vie. Le lundi de la semaine d’après, j’allais la rejoindre. Quand tout à coup, je ne compris pas ce qui c’est passer. Je me suis retrouvé, par terre sur le bitume. Quand mon regard à croisait le sien, il avait changé ! Un regard froid aussi glaçant que la banquise et perçant comme une balle de révolver. Pourtant son parfum était toujours autant hypnotique, féerique, l’odeur d’une rose. Pour moi elle était, mon ange gardien tout. Qu’est ce j’avais fait pour mériter cela ? Puis je ne compris pas, sa réaction elle me pris ensuite dans ses bras. Mon corps était contre le sien, chaleureux, réconfortant. Elle me dit :
- Je suis désolée mon petit, je ne savais pas où tu étais ? Ne t’éloigne plus de moi.
Je l’ai crue naïvement, pour moi elle s’inquiétait, j’avais de l’importance à ses yeux.
Puis un autre jour, je décidais d’aller voir mes autres amis. Sans demander ça permission, d’ailleurs ce n’était pas ma mère. Quand soudain Annya m’appelait, je décidais d’aller la rejoindre par amour, mais arriver devant elle le même regard. Puis elle me prit par le bras, m’emmène vers le gymnase non loin du court de poterie. Ce qui était bizarre, c’est que ses amis étaient en bas. Ils y en avaient qui ricanés, d’autre avec un grand sourire. Je ne compris pas, ce qu’elle attendait de moi. Arriver devant la porte, des toilettes d’un jaune solaire. D’un mur blanc éclatant, comme la lumière d’hôpital. Cette pièce était étroite, j’avais une impression que les murs étaient proches. Puis elle me tourne violement, face à elle. Elle me dit :
- Tu n’as pas respecté, ce que je t’avais ordonnée ! Voila ta punition, rentre dans ces toilettes et plus vite que ça !
- Attend ! Qu’est ce que j’ai fait d’aussi terrible pour mériter cela ?
Elle ne répondit pas, me frappa et je rentrais dedans assis sur le trône de l’enfer. Elle ferma la porte et éteignait la lumière. La panique me monter, puis j’entendis des histoires à faire pâlir le diable. Même des rires sombres, des moqueries d’une telle puissance que cela me fit une douleur vive dans la poitrine. Je l’appelais sans cesse, pour qu’elle me délivre, j’en pleurais de peur. Puis les quinze minutes sont passés, elle ouvrit enfin et me pris dans ses bras pour me réconforte. Le prochain jour, elle était plutôt contente, car je l’avais obéis. Elle m’apprit, les échecs j’y prenais goût. Jusqu’à ce qu’elle décide, sur un coup tête de me demander de la suivre. Ce que je fis, elle allait surement me récompenser de ma bonne conduite. J’aurai préféré que ce ne soit pas le cas. Elle me ramener à ses fameuses toilettes, je ne compris pas. Elle me poussa dedans, je lui demande :
- Pourquoi m’avoir ramené ici ? Je ne t’ai pas désobéi, à ce que je sache. J’aimerai sortir !
- Depuis, quand tu donnes les ordres ! Pourquoi tu voudrais sortir, tu n’as pas eu ta récompense. Enlève ton pantalon !
- Quoi ! Non je refuse !
Elle m’en colle une, d’une force que je ne puis désobéir. J’enlevais mon pantalon, comme elle me l’a ordonné. Bon, je vais vous passez les détails. Tout ce que je vais vous expliquer, que cela était très douloureux et je ne pouvais pas hurler. Elle avait mis sa main, sur ma bouche. Cela couvrir, pratiquement mon visage, je sentis toujours son parfum de fleur. Je pleurais de douleur, je ne savais pas ce qu’elle faisait et pourquoi d’ailleurs. Elle est allée bien plus loin dans ses toilettes et pas qu’une fois. Toute ses tortures, était physique, psychologique et même pas très catholique. Cela dépendait d’une chose mon comportement, soit des punitions pour l’avoir désobéis, soit des récompenses. Annya me considérait plus comme son enfant, son objet qu’autre chose. Tout ce que je me souviens le plus c’est son parfum. Cette odeur de mon enfance, n’ai pas un parfum mais un poison. Depuis cette année là et jusqu’en mai 2021, j’étais dans les ténèbres. Mais finalement, je vais beaucoup mieux, j’avance vers la lumière et de plus l’écriture était mon refuge. J’adore écrire et je ne m’arrêterai jamais. Je ne veux plus être dans les ténèbres et je ne le serai plus jamais. Son parfum n’est plus qu’un vieux souvenir.
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Je suis à la poursuite, d'une ordure. Qui as son quarantièmes violes et tueris. Il violait ses victimes chez elle, il est gonflé ce monstre. D'après ces victimes, il avait un masque de lion! J'ai fait le tour de la France pour le retouver. Voici qu'on m'appele dans cette putain de ville, à 500 bornes de chez moi. Qui est d'ailleur la capital, quel monstre, le poursuivre encore et encore. Je me demande bien, quand je vais l'arrêter ! Bref, une jeune femme à appeler la police municipal, ce jour là. Pour nous avertir, qu'un individus a pénétré son domicile, sans jeu de mots bien évidemment. J'arrivais à son domicile, je commence par le rez de chaussée RAS, je continue vers le salon toujours rien. Cela signifier que cette ordure, a commencer déjà son dessin violeur et macabre. Je monte à l'étage, première porte à gauche. J'ouvris la porte, puis je le vois ce monstre ! Sur elle, prêt à faire comme avec toute les autres. Je hurle,
-  Police ! Vermine te voilà en fin ! Tu m'as bien fait courir batard ! Tu bouge, tu passe à travers la fenêtre !
La vermine, pris de panique ce jette sur lui sans réfléchir, prêt à me poignarder. Puis, il se pris les pieds dans la couverture qui gisser au sol. Cela le fait trébucher, son poignard qui se retouve en face de lui pour essayer de se rattraper. Finit à la fin de sa chute, directement dans sa cache torassique et transperce son coeur cela le tue sur le coup. Je commençais avoir quelque larme, pendant que je détacher. Je vous rassure, des larmes de fous rires. Après l'avoir détacher, nous avons rigoler de sa mort ridicule. J'ai appeler mon service pour qu'il embarque cette abrutti. Le lendemain matin, la première page du journal, parler de sa mort et elle présisait quel été dans les annales. Pendant ce temps, en enfer le gentlement macabre ce fait torturer par le diable en personne. Le diable lui dit :
- Hahaha, tu fais la une du journal. Franchement, tu m'épates...
- J'ai laissé ma marque, on me craint ! Je suis fière de moi !
- Alors ça tu peux le dire, mais pas pour se que tu crois. Tu es la risée de l'humanité, on oublie tes sois disant exploit. Tu es dans le guiness des records, pour la plus conne mort de l'histoire haha.
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