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Enea Du Lys

Perdu quelque part dans les méandres de mon imagination..

Kikou.

Je suis du genre tête en l'air, je fais énormément de fautes alors pardon.

Sinon j'écrit des roman fantastique que je termine prèsque jamais puisque mon imagination a du mal a trouver des suites correct.

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œuvres
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défis réussis
11
"J'aime" reçus

Œuvres

Enea Du Lys
Dans le crâne d'Ariane, plus qu'un nom Thésée, son aimé. Mais son monde est en profond changement arrivera t-elle a garder en vue ses objectifs, sans se perdre elle même ? Entre famille et amis ? Entre elle est son peuple ?

Par ErizuTeriyaki et Enea Du Lys.
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Défi
Enea Du Lys

Conuma fait partie d'un ensemble appeler Drail, qui est une série d'histoires et de quêtes se passant dans un monde composer d'un seul continent (pour l'instant) composer de vingt-sept royaume, parmi ces royaumes onze sont des royaumes composer d'une ou plusieurs îles et parmi les royaumes (îles et continent) certaine appartienne aux divinités majeures qui sont : Drail (roi des dieux : tous les pouvoirs), Loa (déesse de l'air), Mio (déesse de l'eau), Xif (dieu de la terre) et Raé (dieu du feu) (classement provisoire)
C'est aux confins de Cotar, un petit royaume du continent, que naquît une jeune fille du nom de Conuma. Conuma était la fille de Loa la déesse des vents et de Waki son onako. Les onako étant les serviteurs des divinités, chacune en n'a quatre, les divinités en échange de mille ans de vie choisis parmi les humains leurs onakos suivant leurs propres critères, et chacun de ces serviteurs divins possède un talent parmi les suivant : la force, l'agilité, l'intelligence et la rapidité. Waki possédait l'agilité.
Conuma eu dès la naissance une étoile de sept branches dans le dos plus précisément sur l'omoplate gauche et chaque semaine Conuma mourait le dimanche à minuit pour renaître le lundi à la première seconde. Sa peau était aussi pâle que la lune, c'est yeux aussi bleus que l'Aigle Marine et c'est cheveux aussi noirs que l'Onyx. Plus elle grandit plus ces parents désespérait de son état, la jeune fille passait c'est dimanche à mourir dans les plus atroces souffrances et renaissait le lundi. Il se désaperait d'un jour voire leur fille grandir « normalement ». Ce qui était un bien grand mot car Conuma était une demi-déesse.
Conuma n'était passionnée que par une chose la chanson, cette passion lui venait du seul homme quelle aima, et chaque soir elle chantait d'une voix cristalline dans tout le palais de sa mère et depuis le haut de la tour centrale où chaque soir elle chantait la dernière berceuse qu’elle lui avait chanter, sa voix résonnait dans tout le continent, et tout particulièrement dans Les Terres Ocealize, une montagne au sommet de laquelle se trouve le palais de Loa.
La raison du fait que Conuma soit née à Cotar était que sa mère revenait d'un voyage Pabansia, le royaume donc la pointe est le plus au Sud du continent. Toutefois Conuma avait une particularité en plus d'être la meilleure chanteuse de son époque, lorsqu'elle chantait l'étoile dans son dos se mettais à briller et lorsque la nuit tombait elle brillait tant qu'on l'appela la première étoile, depuis lors chaque chanteuse naissant ce transformait à sa mort en une étoile accompagnant a jamais le chant de Conuma.
Je vais vous racontez l’histoire de Conuma et de Rai.
Conuma vivait à Ocealize depuis son enfance, entourer de divinité plus au moins puissante, mais ce qu’elle aimait c'était ce rendre discrètement dans les villages humain ; car les dieux vivait entre dieux dans leurs terres et il fallait au humain une permission pour y vivre, comme être un onako ou avoir été transformer en « ménagerie » de Xif ; Conuma savait qu’elle ne devait pas y aller pourtant ces pas la menait toujours au même endroit ou des années plus tôt elle avait entendu sa voix pour la première fois.
C'était lors d'une colère terrible contre là surprotection de ses parents qu'elle avait couru jusqu’à la lisière des Terres Ocealize, et sa colère s'était tout de suite apaiser lorsqu'elle avait entendu la voix de Rai. Il chantait une chansons d'un amour perdu, elle s'en approcha doucement porter par sa voix mélodieuse, toutefois elle ne fut pas suffisamment discrète et il la remarqua. Ils passèrent la journée ensemble, mais elle ne lui révéla pas qui elle était. Ils se revient souvent dès lors, sauf les dimanches où Conuma prétextais toujours être occuper sans pour autant donnez de détails. Puis un jour, Conuma voulu qu’il lui apprenne à chanter une chanson. Il lui apprit la première chanson qu'elle l'avait entendu chanter

« J'aurais voulu t'avoir auprès de moi
Tenir ta main, la garder avec moi
Que tu restes ici à tous jamais
Si tu savais à quel point je t'aimais

Maintenant que du es si loin de moi
Que puis-je faire si tu es loin de moi
Je t'aimais, je t'aimais, je t'aimais
Si tu savais à quel point je t’aimais »
(Je ne suis pas vraiment douée en poème et je l'ai fait en cinq minutes soyer indulgent(e))

Et ces deux couplets se sont graver à jamais dans son esprit, si bien qu'elle le fredonna sur le chemin du retour, puis chez elle puis le lendemain et le sur lendemain, et quand elle retournait voir Rai son répertoire s’agrandissait de chant épique, de poème d'amour, de berceuse, de chant à la gloire des divinités. Mais c’est en reconnaissant l'air d’un chant dédié à Loa que Waki, compris d'où venait la nouvelle occupation de sa fille. Il en parla à sa femme puisque dans leur couple c'était elle qui décidait de tout. Elle interdit à sa fille de sortir, mais Conuma n'en écouta rien et retourna voir Rai. Cette fois elle resta de longues heures ensemble, où ils firent plus ample connaissance, car Conuma comme Rai se rencontrer pour fuir leur quotidien et ne voulais en parler, il parlait la plupart du temps de chant, de la nature, des animaux qui venaient les écouter.
Comme à son habitude il était là dans la clarté de l'après-midi.

« - Bonjours, Rai ! Lança la jeune fille
- Comment vas-tu, lui répondit celui-ci. »

Ils continuèrent ainsi tout l'après-midi jusqu'au soir, où ils choisirent de fuir ensemble vers un lieu où ils pourraient vivre ensemble comme ils l’entendaient. Leurs choix se porta sur l’île d’Oum, une petite île de la Mer Opaline, les dieux y avait réuni des conditions de vie favorable aux cultures, et aux forêts denses peupler de gibier. Le seul détail que Conuma oublia de préciser à Rai était que chaque dimanche elle mourrait et chaque Lundi, renaissait.
En apprenant de la disparition de sa fille unique, Loa entra dans une rage folle. Il était temps que cela cesse, il fallait que Conuma reste auprès d’elle sa mère. Elle rechercha Conuma dans tout le continent en vain, celle-ci avait déjà atteint Oum. Le samedi Loa était en rage en rentrant dans son palais, personne ne semblait avoir vu sa fille sur le continent, elle se réfugia alors chez sa consœur Mio, la déesse de l’eau, celle-ci était en plein travail de purification de l’eau, sur son archipel, l’archipel Opaline. Loa se fit annoncer par Iloo, elle ne l’avait jamais vu avant elle se douta qu’il s’agissait de l’onako qui remplaçais la regretter Roari, morte quelque mois plutôt.

« - Loa, que me vaut ta visite. Demanda Mio de sa voix claire.
- Ma fille a disparu. Je l’ai cherché dans tout le continent et…
- La quelle de tes filles ? Tu en n’as plusieurs avec Beno, une avec Waki, sans parler de celle que tu as eu avec Xif.
- C’est Conuma, s’il te plait, elle a une étoile à sept branches sur le dos, retrouve là.
- Tu n’aurais pas un peu plus de détail ? Ce qu’elle portait, avec qui elle était ?
- Elle a des yeux bleu pâle et des cheveux noir, et la peau aussi pâle que la neige.
- Merci, je sais à quoi elle ressemble quand-même, je voulais sa longueur de cheveux actuel par exemple. Mes bébés, où êtes-vous ? »
Deux poissons l’un blanc aux yeux noir et l’autre noir au yeux blanc sautaient d’une cascade bleutée vers une source d’eau dans les tons vert turquoise, dont le fond était parsemé de coraux multicolores.
« Mes tous beau avec vous vu Conuma, une jeune fille aux cheveux noir, avec des yeux bleus, le teint pâle et une étoilé de sept branches dans le dos » Leurs demanda la déesse de l’eau.
Pour toutes autre personne que Mio, Loa aurait hurler et traiter de folles, mais Mio avait le pouvoir de parler à la faune aquatique, c’était un don, Loa pouvait parler aux oiseaux, Xif aux animaux des bois, et Raé au lézard. Cela était un cadeau de Drail. Loa aurait pu demander à Drail de retrouver sa fille en quelque seconde, mais Drail n’aimait pas être déranger par ce genre de problème familiaux. S’il avait élu quatre divinités c’est pour une raison, qu’elle l’aide et non l’inverse, elles devaient tenir le rôle qui est le leur : Gérer les éléments. Drail fessait très peu confiance pour donner du pouvoir, et pas très douée en relation social à long terme, il pouvait d’un claquement de doigt vous transformer en mortel (comme en divinité), ou autre créature. Et depuis quelque temps Loa n’était plus dans ces bons papiers, en surprotégeant Conuma elle oubliais son travail, confiant son pouvoir à ses onako, trop de pouvoir selon lui, de plus cette semaine pas une rafale de vents n’avait été produite en plein automne les feuilles ne tombais pas.
Mais loin de Loa l’idée de travailler. Mio lui annonça que sa fille que sa fille se trouvait sur une île, l’île d’Oum. Sans perdre une minute elle abandonna Mio qui se remit au travail.
Mio avait toujours pris à cœur son travail de déesse, elle était la pureté incarner, elle travail très bien et gardait toujours du temps pour elle et ces onako. Mais bizarrement elle n’avait pas eu en huit siècle d’existence le moindre enfant que ce soit avec un humain, un onako ou une divinité.

Loa se précipita vers Oum qui était un peu plus au Sud de l’archipel Opaline. C’est là qu’elle trouva sa fille avec Rai. Ils semblaient heureux, mais Loa n’écouta qu’elle et créa un courant descendant pour se poser au près des deux jeunes.

- Conuma, tu as osé me défier.
- Mère.
- Déesse Loa.
- Tu m’as fuis-moi ta mère pour un humain, un humain. Non, mais tu te crois où ? Tu es ma fille et en tant que tel tu me dois obéissance.
- Mais mère. J’ai cent dix-sept ans
- Hein ? s’étonna Rai.
- Mais tu n’es qu’une enfant.
- Les humains vivent moins de cent ans, j’en n’ai marre d’être sûr protéger.
Conuma et Loa se disputaient jusqu’au lendemain où Conuma dû abandonner car sa elle mourait, Rai, qu’elle n’avait pas encore prévenu de ces multiples morts, pleura toute les larmes de son corps devant l’état de Conuma, qui tomba dans le coma, Loa en profita pour duper Rai.
- Jeune homme, laisse-moi emmener ma fille, je sais comment la soigner.
Par dépits pour protéger la vie de son aimer, il accepta et Loa emmena Conuma. Loa enferma sa fille dans la tour. A son réveil, le lundi, Conuma frappa à la porte au point de saigner, sans parvenir à l’ouvrir durant toute la journée. Le soir elle s’approcha du balcon sa mère avait créer des vents pour l’empêcher de fuir. Conuma désespérer se mit à chanter. Dernière chanson qu’elle avait chanté avec Rai. Une berceuse.

« La nuit, à apporter, tout ce qu’on voulait
Rien ne pourrons-nous séparer désormais
Ensemble, nous somme réuni à jamais
Si on pouvait rester ainsi à jamais

Même si nos corps s’en venait
A Disparaitre. Ton âme
Auprès de moi resterais »
(Je m’excuse une fois encore pour le poème, je ne sais pas en faire, et donc.)
Rai entendue depuis Conuma depuis Oum. Et son étoile éclaira la nuit. Rai suivit la lueur émissent par l’étoile car soir, jusqu’au terre Ocealize où il prit garde d’éviter Loa, mais celle-ci le trouva dans son palais. Elle entra dans une colère noire. C’est alors que Waki intervient, Loa finit par céder et autoriser Rai et Conuma à se marier.
Ils eurent deux filles, des jumelles, mais les deux moururent le dimanche qui suivie leurs naissances mais aucune ne revient à la vie. Ensemble ils décidaient qu’il ne valait mieux avoir d’enfant. Et lorsque Rai murut Conuma chanta sur sa tombe comme elle l’avait fait pour c’est fille jusqu’au dimanche suivant sans jamais s’arrêter. Et chaque soir, comme elle en n’avait pris l’habitude depuis la mort de ces filles et malgré la douleur du dimanche soir. Elle chante une berceuse, durant toute la nuit, le jour elle rencontre les meilleures chanteuses de partout et invites les meilleurs à leurs morts à l’accompagner, mais passe également son temps auprès des tombe de ceux qu’elle aimait.
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Défi
Enea Du Lys

Derrière le rideau, à travers la fenêtre je vois l'échafaudage en métal qui sert aux ouvriers à reconstruire le bâtiment. Celui-ci user par les années entre aujourd'hui et sa construction. Puis derrière l’échafaudage un filet blanc les empêchant de tomber. Puis les rayons de la lune hachurer par le filet, et enfin la nuit, la lune, les étoile et les nuages. Malgré les travaux qui sont bruyant, l'échafaudage encombrant, et le filet blanc qui découpe le ciel, j'aime bien la vue de ma fenêtre, car il suffit d'un peu d'imagination pour les oubliés. Souvent je regarde par la fenêtre désirant voir quelque chose d'intéressant, qui me permettrais de m'évader de l'ennuis morne que provoque les devoirs, les devoir-maisons, les contrôles, souvent je vois la lune ou les nuages, et je m’évade quelques instants.

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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

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J'écris parce que j'aime ça, ça m'occupe et c'est plus intelligent que les jeux vidéo.

Discussions créées

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