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Amoureuse des mots, ayant un monstre féroce dans les entrailles, avide de vivre l'imaginé qui fuse dans la coque d'os!

je me répète mais...

ça déborde! ça s'écoule en mots, en phrases, en poèmes, en romans!

et ça s'envole, comme dans le firmament!

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Œuvres

Plopolom
Ce roman est une fiction alimenter par mes ressentis et mon imagination. Comme un exutoire ã mes pensées qui peuvent parfois être chaotique. Puis aussi cette réflexion profonde qui reste toujours active au fond de soi et qui vous murmure la direction. Enfin, peut-être aussi, un fantasme mégalomane, un spectacle, aussi insensé que sincère, qui, je l'espère, vous emmènera dans une aventure qui vous marquera positivement. Avec tout mon amour.
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Défi
Plopolom

COmmencer, commencer en entonnant gaiement le levé des maintenant, des jours présents. Commencer à vivre le rêvé.
Commencer à finir ce qui fut commencer, commencer à tarir les rivières surannées, mettre à sécher les aquarelles trop retouchées.
Commencer à prendre soi en main, ne plus partir à veau-l'eau, commencer à se prendre à doux mots, commencer à se masser le dos.
Commencer à affronter ses peurs, à assumer ses erreurs, commencer à s'e'n donner le courage, à prendre sur soi les devoirs de son âge.
Commencer à écouter son âme, ne plus l'engloutir sous les vaines batailles, les drames surjoués de l'ego traumatisé. Commencer à devenir son meilleur allié.

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Défi
Plopolom
Elle avait retrouver sa cabane, son jardin, son village. Elle accomplissait, éguale, les devoirs de son âge. Son statut de mariée au moins la protégeait de toute attention gênante ou qui fut déplacée. Elle allait chercher du pain, les chiens sur les talons, les gens la saluait gentiment, avec compassion. Elle avait du temps, de l'espace, des plaisirs, elle pouvait lire et se promener à loisir. Elle avait réussie à réparer seule les outils délaissées depuis leurs écueils. Elle savait aussi qu'en elle grandissait le fruit de son amour qui jamais ne périrait. De part cette vie toute neuve qui était en train d'éclore, elle avait sauver son amour de la mort. Elle pouvait en décharger son coeur pour le remplir encore, d'un amour plus heureux, plus tendre, un trésor. Tant pis pour son mari. Il avait choisit. Elle aussi. C'était finit. Elle allait, en paix, avec toute la création, puisqu'elle mit au monde le plus beau des garçons. Cet enfant aux boucles d'or était si joyeux, que même par temps d'orage il rendait le ciel bleu. Elle se donnait corps et âmes pour lui offrir le mieux, et pour s'offrir à elle quelques temps seule, gracieux. Les animaux et les arbres près d'elle l'aidait à éduqu
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

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L'imagination me déborde...

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Avec Aslakia : la dérive infantile...
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