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LHMaud

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Œuvres

LHMaud
Aerin est arrachée à sa vie, du moins ce qu'elle pense l'être. Elle n'a aucun souvenir avant ses 9ans et pour elle, sa vie a toujours été auprès de Martia. Jusqu'à ce jour là.
De phénomènes étrange vont la faire basculer dans un nouveau monde, elle va découvrir qu'elle n'est pas la seule à être différentes et pourtant la seule à être si spéciale; que les secrets sont maitre mots dans sa nouvelle famille.
Heureusement Max son fidèle compagnon est à ses coté, mais est il vraiment ce quil semble être...?

Pour le moment c'est un premier jet, première foie que je fait lire ce que j'écris, les idées s'enchainent et je ne veux pas les laisser s'envoler d'où l'enchainement de beaucoup de chapitres, et certains chapitres non écrit car la formulation ne viens pas même si l'idée est là, voir bâcler peut être mais j'y remédierais au plus vite. Merci à ceux qui prennent le temps de lire, de corriger et notifier afin de m'éclairer pour une meilleur et plus agréable lecture.
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LHMaud
Pensées diverses, souvenirs et divagations...
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LHMaud

Par une très froide journée de mars 1989, elle me remercia, puis me souffla une bise avant de partir dans la direction opposée. Lorsque je l'entraperçus pour la dernière fois, , ce fut sur un de ces journaux jaunis par le café, oublié sur un banc. C'est ainsi que commencent les avis de recherche dans les villes d'ici.
Deux jours auparavant, nous avions écourté notre rendez-vous, pour quelle raison, je ne sais plus. Peut-être à cause de la chaudière qui venait de lâcher, du froid qui se faufilait jusque dans nos os, ou bien à cause de cette migraine qui l'avait assallit quelques minutes après avoir ouvert son courrier. Elle m'avait paru contrariée, remettant rapidement le bout de papier dans son sac, comme si la lettre aurait pu parler d'elle-même. Je ne saurais que bien plus tard ce qu'elle contenait.
Sa voiture avait été retrouvée en face du centre commercial, ce qui m'avait surpris en premier lieu, car elle était du genre à boycotter ce genre de grande surface. D'après le vendeur, elle avait paru ailleurs, lui demandant à plusieurs reprises de répéter ce qu'il disait. Elle avait acheté un de ces poisons qu'elle détestait tant, mais qui était radical pour soigner une migraine qui s'acharnait à creuser son trou. Elle était enssuite sortie, avait chaussé ses lunettes de soleil et en quelques secondes elle avait disparu. Le parking était pourtant vaste, le vigile en pause àa ce moment là, l'avait bien aperçue traversant la grande place, mais n'avait rien remarqué de suspect. Pas de cris, pas de voiture roulant anormalement.
Il était peu probable de croire que la sentinelle n'avait rien vue. A huit heures du matin, outre les quelques employés et retardataires pour mettre de l'essence, le parking était quasiments désert. Il eut beau dire le contraire aux enquêteurs, il est fort probable que, soit il n'était pas à cet endroit, soit il regardait ailleurs.

Les journées qui suivirent tourbillonnaient dans un halo ddoeo de brouillards. L'incompréhenssion grandissant tandis que nos espoirs s'amenuisaient. J'étais un somnambule errant dans les pièces vides de notre grande maison. Maison sans âme à présent comme si son coeur avait disparu avec elle.
La maison avait été retournée par la police, comme si les réponses étaient ici, allant jusqu'à prétexter une mauvaise entente, ou un de ces problèmes de couple que l'on aurait réduis au silence. J'avais beau expliquer ce qui était notre vie, celà leur paraissaient peut probable qu'un couple puisse vivre quatorze ans ensemble, sans qu'il n'y ai la moindre anicroche. Et pourtant c'était le cas.
J'avais rencontré Emma seize ans auparavant. Son franc parlé s'opposait à sa prestensse. Ses yeux couleur noisette, cachés derrière une frange grossière m'avait fait chavirer. Le dialogue étant maitre mot dans notre relation, non, je peu le dire, nous n'avions eu aucun accrochage verbale. Pour moi nous étions heureux. Du moins tout me le faisait penser.
J'ais donc essayé de me faire violence, au cas ou elle repasserait le pas de la porte. Un tel désordre l'aurait mise hors d'elle, nos retrouvailles en aurait été entachées. Je m'activais donc durement à nettoyer et ranger chaque recoins, essayant d'accélérer le temps, aux aguets du moindre bruit.

J'en avait presque terminé lorsque j'entrouvris la porte de son bureau. Cet endroit m'était interdit, elle prenait grands soins de le fermer à clef. L'idée d'appeler le réparateur pour changer la porte m'effleura l'esprit. Je progressait à pas de loup, comme si elle aurait pu surgir d'un recoin de la pièce. Elle m'aurait fusillé d'un de ses regards qui vous pique le coeur et vous coupe la respiration. Comme le reste de la maison, les tiroirs avaient été vidés. Tout étaient sans dessus dessous. Je me résignais a remettre à demain le rangement de se désordre, même si je savais qu'elle me ferait ma fête quand elle reviendrait. Des étrangers avaient profannés son jardin secret, ne les cotoyant pas sa colère ne les atteindrait pas. Mais la chose en serait tout autre envers moi, même si c'était la procédure.
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Questionnaire de l'Atelier des auteurs

Pourquoi écrivez-vous ?

J'écris depuis aussi longtemps que je me souvienne... Moments d'évasions a moi, je n'ai que très peu partagé mes écrits
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