CHAPITRE 1: les premier vendredi du mois
Comme chaque premier vendredi du mois, Julie attendais ses amis au café de Shakon valley dans un des petites rue de St. Tropez,
elle s'installa à une table et mis ses écouteur a ses oreilles et chantonnais discrètement.
-salut miss !
Julie ne releva même pas la tête, trop absorber par la musique.
-hey!!! Dis plus fort la jeune fille en face d'elle.
Julie releva la tête et souris, elle enleva ses écouteur et lui sauta dans les bras:
-Émilie !!
- Ça va poule ? S'exclama joyeusement Emilie.
Émilie étais la meilleure amie de Julie, depuis la primaire elle ne s'était jamais perdue de vue.
-mieux que jamais ! J'ai enfin eu des nouvelles de mon frère ! Répondit Fièrement Julie.
-oh! Il est bien arrivé à Lyon ?
-bien sur ! Oh installe-toi Mimi!
Les deux filles s'assirent et regardèrent les cartes, la serveuse arriva aussitôt:
-mesdames ?
-je prendrais un jus de citron s'il vous plaît. Demanda Julie
-et moi, donnez moi un colonel !
-bien. Répondit la serveuse en notant, elle enleva les cartes et se précipita en cuisine.
Julie dévisagea son amie avec un sourire malicieux:
-un colonel ? Articula-t-elle, tu as laissé le régime dans ton internat ?
-on peu dire ça comme ça... Aller ! C'est le week-end ! Roucoula Émilie, mais... Ou est maxime ?
-maxime ? Répéta-t-elle, en retard comme d'habitude !
Ses mots déclenchèrent un rire chez les deux demoiselles, elles parlèrent ensuite de tout et de rien jusqu'à l'arrivé d'un jeune homme essoufflé qui se précipita à la table :
-désolée les filles ! J'étais à l'autre bout de la ville !
Emilie roula des yeux en souriant tandis qu'il s'asseyait à cotée de Julie:
-Tu veux quoi Max ? Lança Émilie
-rien merci ! Rétorqua maxime retrouvant enfin une respiration normale.
Julie regarda ses deux amis et sourit
-la JEM est enfin réunis !!! S'exclama-t-elle.

Il arrive parfois, qu'un jour, après avoir fait le tour d'une île et d'avoir réussi à en connaitre les moindres secrets, celle-ci devient hostile ou tout simplement nous semble ne plus nous correspondre.
C'est peut être ce jour qui est arrivé, ce jour où il n'y a plus de surprises ni même de passions pour ses ressources et ses qualités. Ce jour où il faut décider de partir à la découverte de nouvelles îles plus grandes, plus chaleureuses ou tout simplement plus adaptées.
Alors voilà je crois qu'il est temps de le dire :
"Adieu mon cher archipel, je crois que tout ces moments passés ici me manqueront, je ne les oublierai pas je ne ferai que l'abstraction de ces temps hostiles qui m'ont poussé à voguer vers une nouvelle île plus grande sur laquelle je construirai peut être ma vie mais surtout où j'espère pouvoir fonder un solide Fort.
Voilà les adieux d'un Robinson"
Maintenant que les adieux sont faits, une question se pose :
"Dois-je seulement me contenter de quitter cet archipel pour une île voisine ? Ou ne serait-ce pas plus profitable quelquefois de carrément changer de continent ?"
Car quelquefois il n'y pas que l'île qui ne convient plus mais le continent tout entier, l'environnement qui le compose, le climat, lorsque celui-ci est fait de nombreux orages causés par les dépressions.
Une dernière question se pose :
"Me voilà peut être maintenant en train de devoir choisir un nouveau continent, alors lequel choisir ? L’Europe,pour son côté très hétéroclite et le nombre inconditionnel de climats et de cultures ? malheureusement on y trouve trop peu d'archipels. Les continents proches des océans et pleins d'îles, je ne les connais que trop bien leurs climats tropicaux faits de chaud et de froid et de nombreuses intempéries. Et si je choisissais l'antarctique, ce continent froid, au repos éternel ?"
Voilà la fin d'une amitié et le début de quelque chose de nouveau.

Nous voici à présent dans les pensées d'un jeune étudiant dont on ignore tout le parcours nous ne savons que ce que nous parvenons à lire au travers de ses pensées grâce à un point de vue interne. Nous découvrirons au fur et à mesure du temps, sa personnalité, ses tracas et surtout son besoin enfouis d'être secourus. Ce n'est pas toujours lui qui racontera sa vie mais souvent ce narrateur qui lira pour nous dans les pensées de cette étudiant.