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Lard Olivier

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Œuvres

Lard Olivier

Le devenir de l'homme passe par des interrogations substantielles. Le nectar des dieux ce nectar se confond en des tasses de maté. Le zen a du bon et dans cet état de coordination entre la motricité et le devenir de certains de ces actes fondateurs il n'y a que le sol de la terre pour exorciser ces mauvais karmas. Alors … La subtilité réside dans le fait que la nuit certaines nuisances peuvent être ainsi dé fracturées. Le moment ou la lune pointe le bout de son nez apparaître comme une sorte de kill bill. La venue sur cette Terre de moments agréables donnent un aspect de récurrence à ces moments de détentes bien mérités. Le fragment de ces musiques anciennes corrobore certaines vérités qui nuisent à l’appât. Le bien dénommé Fabien sera en fait un leurre pour mieux accorder des vérités que dictent sa pensée. Le renom de ce nom proclame haut et fort une tour de guet. LA muraille resplendira de mille feux quand au couchant une personne ira s'asseoir sur ce banc. La montée des sens doit se faire en accentuant des sources des brides de musique. L'appel du large le confinement dictera des points névralgiques que quand la rumeur selon laquelle le vaccin fonctionne sera de mise. L'écho se fera sentir de mille feux. La diction, l'articulation de ces caravanes venus d'Afrique dicteront des masses de données partagées avec les chercheurs. Le bonze. L'acuité. Les sens sur développés. La magie de cet être humain. Exponentielle.
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Là on ne rigole plus. D'autre le feront pour mieux cerner ces glapissements. Le retour sur le terre ferme endossera quelques minutes de satisfaction. Divisions avérées cela passe par une montée de sérotonine bien entrevue. Le sort la magique nuit pour des milliards de gens. Joli garçon. Beau garçon. Les flegmes et les relents de bonne présure feront le reste. La diversité en somme est une façon à moi de dire que le monde peut et doit surtout aller mieux. Les peuples ; Les hommes ; les femmes ; les enfants. Tout se corrobore en un lieu saint cette chambre de tous les délices. Comment ne pas dire que les autres ceux qui sont vilains apprivoisent avec emphase leur diction. La proportionnalité de cette nouvelle épreuve doit servir l'avenir des plus petits. Rendre les armes signifierait une très bonne avancée. Alors que le mal est en train de se calmer le bien l'emportera je ne lâcherais pas mes principes. Le bien. Alors rit tant que tu peux et j'aurais ardemment envie de soulever ce voile. Pour toi et uniquement toi. Alors...
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Lard Olivier

Il est de ce que l'homme veut bien donner. Il se tord dans mille sens pour essayer de se défaire de ces affaires dont il a un certain sens. Démêler cette vérité profonde pour mieux être. La vie n'a pas été si magnificence jusqu'à il n'y a pas si longtemps. Il est un être rempli de bonnes intentions et se dicte des principes graduels. L'espoir, l'espérance peut e fait faire de grandes choses. Les jours passent et lui se retrouve de plus en plus seul dans cette grotte qu'il affectionne. Se dire que les tempêtes psychologiques sont des événements marquants dans la vie d'un homme. Ces ennuis envolés il se dicte une présence factuelle qui corrobore des faits et gestes qui l'ont marqués. Fini les galères il est dans une attitude de penseur.
Héros malgré lui. Il est quand même et avant tout un homme.Un être humain malgré tout. Certaines de ses aspirations sont en cours d' exécution comme ce livre qu 'il s'est promis d'écrire un jour. Alors il prend son courage à deux mains et trouve des ressources mentales pour tenter de sauver les apparences. Multicolores comme ces arcs-en-ciel.
Il aime la vie et se défait de ces pratiques de ces rituels qu'il a. Son devenir ou plutôt le devenir de chacun le préoccupe. Il semble être armé de patience et de générosité pour accueillir dans sa maison spirituelle ceux qui veulent le suivre.
Abords dégagés il file fumer ; s'en griller qui sera aussi bonne que ces merveilles. La tour penchée. Les gâteaux que lui faisait sa famille. Déroutante apnée ; il vogue tel un marin à la barre de son bateau pour mieux entrevoir l'avenir. Il sera bien. Enchanteur. Alors ses doigts glissent sur ce clavier pour mieux conserver cette vie. Écrivain en herbe il dicte à travers ces textes des idées qui lui sont siennes. La naissance, la renaissance il ne sait pas trop sur quel pied danser. Sa boisson maintenant : le thé. Cela le pacifie. L’entraîne sur des chemins de traverse que lui dicte son esprit. C'est un bon homme, un bonhomme sur lequel on peut compter. Il est vertueux. Son axe de vie : le bien des hommes. Il se sait attendu au tournant et alors que les étoiles scintillent dans le ciel ce soir il ne dormira pas. A la place il effleurera ces touches comme pour exorciser ces vieux démons qui l'ont accompagné durant ces quelques années de vie.
Il demeure et reste humble face à ces péripéties que sont le désordre mental. Son éclosion fait transparaître de nouvelles qualités. L'obéissance lui dit de parler mais les mots couchés sur du papier l'affectent plus. Il semble comme transposé dans vie qui est et restera graduelle.
Un rêve alors : oui c'est cela exaucé. Une chose alors rayée de sa liste. Un gros poids sera en fait enlevé de sa personne de son âme. Alors c'est une grande chose de dire que les toutes ne sont pas bonnes à dire mais le ressenti est avant tout commun. Il a appris à travers le temps à se dégourdir les neurones. Ce soir il se videra de tous ces maux pour mieux apprendre à se lever et dire qu'il l'a fait. Cette nuit sera une bienfaitrice de souhaits.
L'amendement est tel que par exemple une chose qu'il a connue est l'alcoolisme notoire. De défaites en défaites il s'est défait de ce mal non sans mal. Il lui est resté à chaque rechutes un espoir de guérison. Mais attendez une chose vraie et réelle c'est que on ne guérit pas de l'alcool. C'est sur. On en un à vie. Le petit truc qu'il a trouvé une fois c'était le fuite par rapport à ce mal. Alors il se trahissait. D'évitements en évitements il se barrait d'un trait sa vie. Il se cachait sans cesse. Il fuyait cette dure réalité et ne faisait que de dire qu'il allait loin et surtout bien. Il était tout simplement dans le déni total et parcourait les zones rouges d'un autre regard.
Il n'était pas assez mature pour dire que comme un enfant il se donnait des mauvaises récompenses : un verre. Puis un autre et la bouteille. Le sol de sa salle à manger ressemblait à un champs de bataille ou trônait par terre des cadavres inanimés. Toujours plus était se devise dans ces moments de délivrance ou il sentait la chaleur de ce liquide parcourir son être. De failles en failles il se rend compte aujourd'hui du fric qu'il a laissé dans cette merde. Le repli sur soi-même, l'éboulement de cette partie de soi-même cette perte de connaissances. Heureusement que des neurones repoussent car autrement il en serait un: un légume. Et puis il y a cette odeur que vous ne sentez vous mais que les autres ressentent. Vous vous sentez mal à l'aise en société les seuls moments de délivrance dans cette maladie c'est quand vous sombrez moralement et psychologiquement dans une déroute sociale. Perte de tout et de plus le regard. Les yeux ne mentent pas. Mal dans sa peau.Perte d'estime de soi. Le seul moment ou la sérotonine prend le dessus c'est dans l'accueil du premier verre. Celui-là c'est le pire. Mais le meilleur pour la tête. L'état de manque, les sueurs blanches ; les tremblements. Et elle la petite voix intérieure qui résonne et ding don g l'heure est venue. De quoi ? De boire. Il était une loque humaine le linge puant la dérision d'un autre monde ou les explications ne servent à rien, les mises en garde conventionnelles se déchirent dans ce vase clos. Sa plus grande victoire : avoir eu ce déclic pour mieux se transposer dans une autre vie mais c'était la même oui et non car seul la grande victoire peut passe pour des leçons. Des leçons de vie. Une école alors. Oui celle des sentiments ou paraissent compter la valeur de l'homme. Une seule et unanime. On peut s'en sauver si je l'ai et déjà d'autres y sont arrivés avant moi. Il faut savoir être patient et chaque rechute vous mène vers l’autonomie personnelle. Ce n'est qu'à nous de pouvoir dire non et non les amis la famille qui eux souffrent. Le fameux déclic. C'est dans la tête que cela se passe et les changements opérés après celui-ci change et transforme l'existence. On est un autre avec une telle évolution et puis tout ce temps ou il buvait ne peut être rattrapé. Du temps foutu en l'air. Des raisons d'espérer, l'espoir fait vivre. Il ne faut jamais baisser les bras. Avoir trouver la force en nous de lutter contre cette merde. Contre mauvaise fortune bonheur. Il faut savoir se dire que les choses s'arrangent dans la vie et il peut dire que les réjouissances sont bienheureuses et réconfortantes.
Tout simplement il faut savoir accepter les choses de al vie. Se dire que derrière l'arbre se cache la foret. Derrières les bouteilles se cachent une certaine harmonie. Vivre est tout simplement un idéal que tout les malades peuvent avoir. Il s'est brisé tellement de rêves. Une vingtaine d'années passés dans les addictions. Autant de bonheur envolé d'illusions imparfaites détruites. A l'aube de ces quarante cinq ans dans deux ans il pourra souffler les bougies d'un gâteau sereinement. Il est mieux mais les épreuves de la vie ne s’arrêtent pas là. Que peut-on dire de la longévité ? Qu'il faut se forger une carapace pour mieux définir des orientations. Alors il prend son mal en patience et accepte de toute les manières il n'en a pas le choix. Le destin était ainsi écrit. Regrette-t-il?Es-t-il amer. Est-il bon de rappeler aussi et là il a touché du bois qu'il n'a pas contracté de maladies lié à l'alcoolisme. Sobre depuis quelques années il ne retouche pas à ça. Il est passé à autre chose . Des plaisirs anodins que des gens ne peuvent pas savoir à quel point cela a été dur de se confronter mais il est dans une certaine acceptation de faire des courses dans un supermarché sans avoir des pulsions. Ou de prendre dans un bar un café tout en étant au contact de buveurs. Il préfère maintenant se frotter aux ivresses de la lecture, de la peinture qu’il a un peu délaissée mais cela reviendra. Ce sont juste des cycles. L'appartenance aux abstinents est des siens. Des lignes écrites et publiées pourront peut être aider des gens à mieux cerner la mal ; le tout est de ne froisser une personne qui souffre. Lui donner des chances de se refaire une santé mentale. Il faut dire que dans chaque rechute un alcoolo apprend toujours de ces erreurs. Le cerveau enregistre tout. Même le plus petit détail. Les paroles mal placées un discours de façade fait d'encouragements donne t un peu plus de valeur humaine. Essayer de créer un lien. Il sait que l'attente est grande mais des paliers sont nécessaires pour arriver à un stade ou la confiance a regagner est grande. Remis dans des retranchements il se braque et n'a plus toute sa lucidité pour tenter de sauver les apparences. Le lien est très important pour certaines personnes. Pour lui ours qu'il est la solitude il aime cela se retrouver face à lui-même. Être devant des réponses à des questions qu'il se pose. Trouver sa route, sa voie de sortie ; espérer des jours meilleurs cela est bien de trouver un sens à sa vie. Elle est tellement courte que chaque moment a son importance. Il faut l'aider à sauter les obstacles pour que le parcours soit dégagé.

Deuxième temps la drogue. Il n'en est pas fier mais ce chemin va de pair entre le cannabis et l'alcool. Cela fait boom boom. Depuis des années il fumait déjà adolescent au lycée. Pour se faire accepter de certains de ces camarades il s'est vite mis à al page. Trop vite. Il était traité de caliméro une tête de turc qui la emprisonné dans une sorte de bulle. Il ne pouvait se défaire de cette risée. Cela l'a très jeune baisser de barrières qui pouvait l'aider à lutter contre ces ségrégations psychologiques. Il était un supplice à lui-même. Il ne mésestimait et cela l'a rendu opaque aux yeux des gens. Très vite dégradé, il s'est encore plus refermé et non éclos comme une fleur. Deux ans de brimades. Il n’oubliera jamais ces moments de régressions psychologiques. A jamais cette adolescente brisée ne rapportera un brin de nostalgie. Peut-il seulement croire à un effacement de ces moments de solitude. Non il ne pourra pas. L'effet de cette drogue l'emmenais vers des mondes différents ou la réalité n'est pas la même. Enfin aujourd'hui il peut aussi jouir de cette liberté tant espéré. Abstinent.









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