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SouDirty

SouDirty
Sésame ouvre-toi ! Et voilà la taverne des mille écrits est ouverte pour vous. Lisez autant que vous voulez !
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SouDirty
Quelques poèmes pour exprimer mes émois, mon désarroi, et mes peines.
Quelques poèmes pour soulager mon âme de ses cris, de ses chagrins...
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SouDirty
Elle était son élève pendant deux heures chaque jour, environ dix heures par semaine, et pendant toute une année scolaire. Professeur au lycée, quarante ans passés, célibataire qui ne tient pas vraiment à s'engager, pourtant ce drôle de personnage tombe amoureux d'elle, brutalement. Que faire de cet amour qui le ravage et qu'il laisse, malgré lui, transparaître dans chacun de ses gestes ? Y a-t-il quelconque avenir pour eux deux ? Ou le sort est-il déjà scellé ?
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SouDirty
Jeune étudiante fraîchement débarquée sur le campus universitaire, Yasmine essaie de croquer la vie à plein dents et profiter de sa liberté. Un jeudi, 17 octobre 2019, sous la douche, elle fait un malaise qui précipite sa mort pendant environ 60 secondes avant de reprendre conscience, plus vivante que jamais. Sauvée par le destin ? Par la chance ? Par un phénomène surnaturel ? Yasmine, à mesure que les jours passent, remarque des choses étranges autour d'elle : des cauchemars récurrents, des voix, des hallucinations. Et si au final, on l'a sauvée pour mieux la tuer ? Qui orchestre à présent sa vie et s'amuse à lui fair peur ? Yasmine ne tarde pas à le découvrir, et peut-être même, à y prendre goût.
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SouDirty
Le Genesis, le Fanaticus...
Toutes ces belles découvertes ont révolutionné la science. N'est-ce-pas le rêve de Docteur Gradys de s'attirer le regard de Gouvernemental par une quelconque création qui servirait leurs intérêts ? C'est son obsession. Son rêve ultime. Et c'est ainsi que le Processus du MepriSoi voit le jour.
Dans une nation où le peuple a perdu espoir, où le gouvernement est fortement corrompu, Gradys qui fut jadis enfant du peuple, n'a à présent en tête que la gloire, que cette obstination de se voir reconnu comme membre important et savant ingénieux. Quitte à oublier son passé, ravager l'avenir et semer une tyrannie absolue.
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Défi
SouDirty
Je réponds à ce défi avec une nouvelle de trois parties. J'espère que ça vous plaira et que je l'ai bien relevé !
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Défi
SouDirty
Quand on aime l'interdit, on sait bien que c'est l'envoi immédiat aux gouffres, mais l'interdit est séduisant, charmeur. Je me laisse aller à toi, à l'interdit que tu représentes, et je laisse les regrets pour plus tard.
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Défi
SouDirty
Si elle était là...
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Défi
SouDirty
Elle s'appelait Aurore car ses parents avaient choisi ce prénom pour son lien avec HARRY POTTER. Un geste d'amour, de complicité entre deux époux. Mais est-ce réellement vrai ?
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Défi
SouDirty

Je ne parlerai pas de l'amour, cet amour-là dont nous rêvons, celui qui fait battre le coeur, qui ébranle les entrailles, celui qui naît par hasard, celui qui, parfois, nous rend malades, timides, introvertis, complexés, cet amour-là que j'ai éprouvé certes et que j'aime à éprouver ne sera pas l'objet de mon débat. Loin de moi pour aujourd'hui l'amour amoureux. Il a déjà fait couler assez de mon encre !
L'amour. Il est là dans mon coeur. Dans mes gestes. Dans l'intonation de ma voix. Dans les larmes de mes yeux. Dans tout mon être. L'amour est là pour vous, il en déborde. De partout. Vers tous. Vers vous surtout. C'est cet amour-là dont nous devrions parler un peu plus fréquemment, cet autre amour qui ne se fane pas, que la routine ne tane pas, que la passion n'attise pas, que la distance ne tue pas. Cet amour, le vrai pour moi, celui qui naît avec nous, qui meurt avec nous. Cet amour. Celui que j'éprouve pour ma famille. Pour ma maman. Pour mon papa. Pour mes soeurs. Cet amour qui est là, qui me fortifie, qui me blesse, qui me revigore. Cet amour, ma faiblesse, ma force, mon chez-moi, mon dernier recours, mon énième sentiment, mon existence toute entière. Cet amour, celui qui ne mourra pas, celui dont je n'aurai jamais peur, l'amour qui sera là pour moi sans contrainte, sans attente, sans préjugés, car il est fontaine, il est éternel, là dans leurs coeurs à eux, là dans mon coeur à moi. On ne parle pas assez de cet amour, de ce genre d'attache.
Je parle de cet amour. De celui que j'ai pour mes soeurs. Cet attachement qui fait que je serai toujours là pour elles, quels que soient leurs devenirs, leurs choix, leurs actions. Cet amour qui abolit les jugements, qui ne s'intéresse pas à l'apparence, qui n'est pas le fruit d'une attirance farfelue ni d'une séduction démesurée. Cet amour qui fait que quelles que soient mes actions, mes doutes, mes hantises, elles seront là toujours pour moi, à me soutenir, à me guider, me conseiller, me remettre sur le droit chemin, me réprimander, m'aimer. C'est cet amour-là qui me fascine, qui me calme, qui me rend nouvelle à chaque matin car je sais que tant que je vivrai avec cet amour partagé, il n'y aucune peur, aucun échec, aucune chute qui mérite que je m'y attarde dessus.
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Défi
SouDirty

Je n'ai jamais été une aventurière dans l'âme. L'audace, souvent, me manqua même lorsqu'il s'agissait toujours de prendre des décisions, des choix, des chemins qui pouvaient être irréversibes, souvent dangereux. Je ruminais milles et une fois, indécise tout le temps à propos de la marche à suivre, si peu confiante en la hasard et le fameux destin. Je me disais, me répétais avec une fervente croyance : je suis maîtresse de mon destin, je me dois de faire les bons choix. Sauf que sur le chemin de ma gloire espérée, longtemps convoitée, mûrement réfléchie, intensément fantasmée, je n'eus point le temps de vivre et cela causa ma mort.
Si je m'imagine ma mort, je l'imaginerai avec le minimum d'action possible, aucun meurtre, aucune vengeance, pas de maladie physique qui me clouerait au lit ni rien de fantastique qui surgirait des ténèbres pour me détruire. Je ne suis pas l'héroïne des romans, je suis la protagoniste qui se meure sans qu'aucune personne ne cherche à la tuer. Je me meure toute seule. Je me tue. Si je m'imagine ma mort, ma fin, ma déchéance, ça serait dans ma propre tête car ce sont mes idées qui me renderont cendre et broussaille.
Je serai là, je m'imagine jeune fille à l'âge de la fleur, la tête pleine à ras le bord, les yeux ternes et tristes. Je serai souvent là, au bord d'un précipice imaginaire qui n'est souvent que le fruit de mon pessimisme puisque rien de ce que j'aurai vécu n'aurait satisfait ma convoitise. Je serai là, aucunement à l'agonie, mais toujours stressée des choses les plus futiles, enchaînant les inquiétudes, les cauchemars, traînant derrière moi toutes mes idées noires, sans jamais penser un seul moment à m'en défaire. Car j'aurai goûté assez suffisamment au pessimisme pour pouvoir à nouveau vivre au soleil des espérances.
Je m'imagine ma mort à présent puisque je sais indubitablement que la vie causerait ma perte. La vie avec ses bas me rend malade de psychisme, me torture l'esprit avec des questions existentielles qui n'ont pas lieu d'être ; et quand bien même il y avait un rayon de soleil, un espoir, un sourire, je me retrouve à demeurer sur mes gardes, aux aguets d'une abysse, oubliant tout le temps de profiter de ces accalmies. Et je suis écorchée à présent. Ma tête est enflée de toutes mes idées brumeuses, ma tête est tuméfiée, les tumeurs grandissent, prennent de la place, mon sang se raréfie, mon coeur se bradycardie, las de battre la démesure à chaque fois que rien ne va alors que tout allait le plus normalement du monde.
Si je dois mourir aujourd'hui ou demain, la cause n'est que mon pessimisme qui m'a rangée de l'intérieur, ma grande convoitise jamais assouvie, la vie si courte dont je n'ai que si peu profité pas cause bien sûr de stress permanent. Si je dois mourir aujourd'hui ou demain, j'aimerai me ressusciter en bonne santé un jour dans une autre version de l'existence, changer ma façon de voir les choses, profiter des bonheurs éphémères et souvent si petits et qui avant ne me satisfaisaient pas ; regarder du bon côté des choses, cesser de me lamenter, me laisser aller à un peu de hasard et de chance, croire en le destin, croire en la vie.
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Défi
SouDirty
Je suis pas très douée avec le genre horreur, donc j'espère avoir pu instaurer un peu de tension. Bonne lecture !
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