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Hoghan

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Hoghan
La neige, le froid, lorsque Luke se réveille, il ne se souvient de rien sauf de son nom. La quête de ses souvenirs va l'entraîner aux quatre coins du monde, poursuivis par une étrange secte priant des démons plus ancien que le monde lui même.
Luke va découvrir que parfois, il ne vaut mieux pas se rappeler de son passé...
Parmi la magie, la guerre et la trahison, retrouver ses souvenirs ne sera pas une tâche facile.
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Hoghan
La Cité-Monde est la plus grande et puissante ville du monde connu. Dans ses profondeurs, les richesses cachés dans le mystérieux donjon du Créateur attire toutes les convoitises.

Tout change lorsque le Roi-Dieu, l'élu capable de prédire l'avenir, n'arrive pas à voir plus loin que son prochain anniversaire, celui de ses 28 ans.

La Cité-Monde tout entière va se retrouver entraîné dans une succession d'évènement qui décideront de la survie de ses habitants, mais aussi de l'univers entier.
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Hoghan
Guillaume claqua sa porte de voiture, avant de s’avancer vers l’immeuble le plus proche. Il avait garé sa Mercedes-Benz S 560 n’importe comment, mais pouvoir se mettre « en merde » n’importe où, était bien un des rares avantages de sa fonction. De toute façon, à cette heure-ci, personne n’allait se plaindre d’une voiture mal rangée. Il salua mollement les quelques policiers à l’entrée du bâtiment, avant de rentrer le bel immeuble. Guillaume réalisa en soupirant qu’il n’y avait pas d’ascenseur et se dirigea vers les escaliers par dépit. Il avait pensé pouvoir ménager sa carcasse vieillissante, mais pas le choix. Guillaume bailla sans retenue en passant le premier pallier. On l’avait réveillé trente minutes auparavant et il avait dû se faire violence pour sortir du lit. Pour une fois qu’il avait réussi à trouver le sommeil. Tout en grimpant, il essayait tant bien que mal de se rappeler ce que son second lui avait dit. Vraisemblablement il s’agissait d’une affaire de meurtre, même si Alexandre n’avait pas l’air très sur de lui au bout du fil. Le nom de la victime ne lui revenait plus, inutile de forcer là-dessus. En revanche ils se souvenaient très bien des derniers mots de l’appel, s
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Défi
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Antoine laissa échapper un long bâillement, signe qu’il était peut-être enfin temps d’éteindre son téléphone pour aller se coucher. Il mit l’écran de l’appareil en veille, et se retourna dans son lit pour atteindre l’interrupteur de sa lampe de chevet. La lumière disparue et Antoine sursauta en apercevant deux points rouges l’observer dans le noir. Il tâtonna pour trouver l’interrupteur et ralluma rapidement. Rien, en tout cas rien de spécial, juste le t shirt noir qu’il avait posé sur le dossier de sa chaise. Il soupira en secouant la tête, il avait vu des formes dans le noir. Il plia le t-shirt dans son placard tout de même, il avait toujours été un peu froussard. Il allait se replonger dans l’obscurité quand il remarqua que la fenêtre était ouverte, il oubliait tout le temps de la fermer ces temps-ci. L’adolescent se leva pour fermer le store, dehors les lampadaires étaient éteints et seule la lune éclairait faiblement les rues. Antoine remarqua que quelqu’un passait devant chez lui en marchant lentement. C’était un drôle d’horaire pour une balade nocturne, mais Antoine ne chercha pas à en savoir plus. Il commença à baisser le store quand il réalisa qu’il y avait quelque chose d
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—Vous êtes sûr que c’est ici ? demanda le chauffeur sous son épaisse moustache. —Oui, enfin j’espère. Léonard descendit tendit deux billets au conducteur et le remercia en descendant du taxi. Il l’avait déposé juste devant le portail qui menait à un immense manoir délabré, enfin portail, la grille de fer pendait lamentablement sur le côté, elle grinçait bousculée par le vent. La voiture démarra avant de s’éloigner rapidement. J’aimerais bien faire de même, songea Léonard. Il resserra les lanières de son sac et sortit la lettre qu’il avait plié en quatre dans sa poche. Il voulait la lire encore un fois, foutue anxiété. Monsieur, Nous vous invitons à participer à la soirée de célébration du décès de votre arrière-grand-père, Monsieur Andross Regnivir. L’adresse ainsi que la date vous est indiqué sur un document qui sera joint à cette lettre. Votre présence est requise et nécessaire, nous devons répartir l’héritage de votre ancêtre, ainsi que ses dettes. Si par malheur vous ne pouvez pas être présent, la totalité des dettes vous incombera. Nous nous réjouissons de vous rencontrer. Katarina Estrel Léonard avait d’abord cru à une mauvaise blague, depuis quand pouvait-on forcer quelqu’un
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