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Lilas :)

Si la détresse était personnifié, quel visage aurait-elle ?.
Lilas :)
Hello tout le monde ! C'est juste pour prévenir que je vais changer de compte, je vais m'en créer un nouveau. Pourquoi ? Parce que sur celui-ci il y a tous les écrits que j'ai accumulé depuis quatre ans et qu'un gros tris s'impose. Et aussi parce que mon identifiant est "yukilove" et qu'il est impossible de le changer sauf que pour parcoursup et les professionels qui voudront voir mon profil d'écriture afin de (peut-être) m'embaucher, ça risque de faire un peu tâche. Quoi qu'il en soit, ne vous inquiétez pas je ne quitte pas Scribay et j'essaierai d'être un peu plus active. Voilà, bisous <3 (Désolée si je vous mentionne tous en commentaire, c'est pour que vous recevez bien le message pour pas que la supression de ce compte ne vous inquiète)
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Défi
Lilas :)
Je me suis vraiment impliqué dans l'écriture de ce texte, j'ai adoré ! et pour une fois, je me suis relue plusieurs fois ! je pense que je me suis trop attaché à Crayon et la Mystérieuse lectrice... je crois que je ne vais pas laisser un seul chapitre. Il y aura une suite. Une réponse de la Mystérieuse Lectrice !
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Lilas :)
C’était une simple robe qui descendait sous mes genoux. C’était des hommes qui avaient le double de mon âge, pour qui une mineure en robe était une tentation à laquelle ils savaient ne pas y avoir droit. C’était une angoisse qui prenait à la gorge et faisait pulser mon cœur dans tout son corps, comme un écho tragique dénonciateur de vérité. C’était un jeu pour eux, et une menace pour moi. C’était une interdiction muette de ne plus porter de robes ou de jupes.
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Lilas :)
Des gens comme toi, Gabriel, il y en a partout. Des garçons, des filles comme toi, il y en a dans le monde entier. Eux aussi ont eu un parcours difficile, eux aussi ont fini comme toi. Mais il y en a d'autres, qui ont réussi. Ils ont réussi grâce à des gens qui les ont compris, qui les ont acceptés et aidés.
Toi, Gabriel, tu n'as pas eu cette chance. Tes parents n'étaient pas compréhensifs, tu n'avais personne à qui parler...
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Lilas :)

Immobile et silencieux. Voilà comment je me décrirais en ce moment. Je suis tordu dans une position inconfortable, caché par les odeurs multiples. Je me fonds dans le décor, retenant ma respiration pour me faire passer pour une plante. Ma planque est stratégique. Je vois tout sans qu'on me voit. Je ne suis pas loin de ma victime, dos à moi qui ne se doute de rien. Je suis face au vent, si bien qu'elle ne peut pas sentir mon odeur.
Je plisse les yeux, retiens ma respiration et réfléchis à un plan d'attaque. Ma mission est claire, dangereuse mais importante, je me dois de l'accomplir, c'est mon devoir. J'attends le signal pour m'élancer sur ma victime.
Soudain, je l'entends. Les bip-bip suivis d'une odeur patissière me font frissoner. Enfin...
Je bondis en l'air, d'un saut magnifique et fonds sur ma victime qui pousse de terribles hurlements, prise de surprise. Aaah ! Papa, arrête tu me chatouilles !
Ma petite Eloïse, haute comme trois pommes m'inonde de son rire fort. Elle a un rire très particulier, fort et joyeux, on dirait qu'elle roucoule. Certains de ses camarades de classe se moquent de son rire mais moi, je le trouve très joli.
Elle se tortille pour échapper à mes guilis et je m'exclame en prenant une voix sauvage : Ahaha ! Tu ne m'échapperas pas ! Je t'ai eu, depuis tout ce temps où je te cherche ! Je vais te dévorer tout... Guillaume ! Eloïse ! On passe à table ! Résonne le cri de Sophie ma merveilleuse femme. Soit, je consens à te libérer, murmurais-je à ma fille. Mais seulement pour manger, après je t'enferme dans ma tour, en attendant de te cuisiner...
Eloïse accepte, se relevant déjà et court vers sa mère sur la terrasse. Je me relève en souriant. Quelle belle famille j'ai !
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Défi
Lilas :)
Ta voix caressait mes lèvres, tes mots couraient sur mon cou, tes « je t’aime » embrassaient mon ventre, tes promesses effleuraient mes cuisses, ton souffle décoiffait mes cheveux. Tu étais l’ardeur qui me permettait de me réveiller le matin. Tu étais ma motivation, ma raison de vivre. Tu étais la brise qui ravivait mon feu intérieur. Tu étais les mots que je n’arrivais pas à poser quand je pensais à l’amour. Tes mains étaient mon soutien-gorge et tes bras étaient mon collier. Tes lèvres étaient les miennes, ton sourire mon antidépresseur. Par ta présence, tu me comblais. Tes sourires recouvraient mes cicatrices. Ta présence suffisait à illuminer mes journées et ta lumière faisaient fuir mes monstres intérieurs. Alors pourquoi ta vie t’a quitté si rapidement ? pourquoi le chirurgien a dû m’annoncer son échec ? pourquoi n’as-tu pas pu lutter ? Le vide que tu as laissé derrière toi me hante et me poursuit. Mes journées sont mornes, mon cœur est vide, ta voix n’est plus qu’un souvenir lointain.
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Défi
Lilas :)
Voici ma réponse au défi. Je l'ai aussi publié sur mon blog (le lien sur mon profil). J'aime beaucoup cette histoire et j'espère qu'elle vous plairai aussi!
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